| Sujet: Ce qui est hors norme est dans la norme [Terminé] Lun 3 Sep - 18:44 | |
|
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
| ♔Hybride♔ ♔Nom : Mercérat Whitehallow. ♔Prénom: Llueld-Adagio. ♔Age Apparent: 16-17-18 ans. ♔Age Réel : 20 ans ♔Infant Vampire / Infant Lycan / Sang-Mêlé(e) : Infant Vampire, son père est un vampire, sa mère une humaine. ♔Date et Lieu de Naissance : Le 17 octobre en terre Artoise. ♔Orientation Sexuelle : Libre, lorsqu'il croise quelqu'un, il ne s'intéresse pas de savoir si cette personne lui plaît ou non. ♔Nationalité: Hum, né en terre de France par une mère Française et un père Anglais? ♔Groupe : Hybride ♔Classe Sociale: Criminel
|
"Ce qui est fait de cuivre et d'ambre" "La vie n'est qu'une ombre..." [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] Ce qui est irréel peut parfois sembler réel. Cette chevelure, lisse souple et fine a emprisonné un rayon de soleil. Jamais sans reflets, elle est la définition même de ce qu'est l'or. Les quelques mèches rebelles venant chatouiller ses joues accentuent son allure fière, droite. Sa peau aux reflets marbrés et sans imperfections lui donne cette impression de chaleur. Comme si en l'effleurant des doigts, on pourrait sentir l'irradiation du soleil. Ses yeux, ayant capturé deux fragments d'ambre, sont sans cesse voilés par cette teinte cuivrée qui vient danser dans ces lueurs imperceptibles. Comme de minuscules flammes que l'eau ne pourrait éteindre. Si l'on regarde plus profondément, on décèlera dans ses perles une couleur émeraude, apparaissant à la lumière du jour et disparaissant aux lueurs diurnes. Ce regard fascinant, obnubilant et pénétrant semble constamment invisible, se fondant dans sa peau marbrée, dans sa chevelure dorée. Puis, si l'on désire décrire ce que l'on peut y voir, d'aucuns diront qu'ils ont vu la condescendance, la fierté, l'indifférence, mais encore plus rares seront ceux qui oseront dire avoir entraperçu un rire ou de la joie. C'est comme regarder dans un étang brouillé où il est impossible de se voir soi-même. Ses lèvres fines ne s'ouvrent jamais pour rien. Elles peuvent s'incurver vers le haut mais souvent, ce sera accompagné de ces airs hautains, moqueurs ou fiers. Cependant, les sourires réconfortants, chaleureux, amicaux ont déjà franchit la barrière de ses lèvres. À ce moment, il parait fraternel, social et soucieux d'autrui. De loin, son visage au menton élégant et au nez fin peut être confondu à celui d'une jeune femme mais on corrige tout de suite son erreur lorsqu'on s'approche un peu plus de lui. Si vous descendez plus bas... non pas si bas. Remontez, encore. Maintenant si vous regardez ses habits. vous verrez que pour son rang ils ne sont pas si démodés. Élégant, il ne portera pas une simple toile brune et une chemise. Des vêtements de goûts, souples et qui ne gêneront pas ses mouvements. Lors de ses envies meurtrières, vous le verrez alors parant de simples habits que l'on pourrait qualifier de "normaux". Vous pourriez tout simplement dire qu'il s'habille selon ses humeurs, selon le lieu et les coutumes. C'est plus pratique ainsi pour accomplir sa tâche. Peu importe car tout lui va, même les lambeaux. Puis, si certains curieux veulent s'aventurer sur un territoire privé, ils pourront voir un corps bien découpé, bien nourri et fort. Si certaines dames veulent être à ses côtés, elles apprécieront sa grandeur rassurante et ses muscles protecteurs ou offensifs. Ceux-ci font un bon - et non parfait - équilibre avec son corps souple, agile et rapide. Vous remarquerez également deux épées, une sur le flanc droit et l'autre sur le flanc gauche - eh oui il est ambidextre - ou tout simplement une seule épée selon son envie. Une seule est plus probable, c'est moins encombrant surtout lorsqu'on veut attaquer ou parer rapidement. Celles-ci sont ses gardiennes, les prolongations de ses bras. Ses armes de jugement ou de condamnation. L'une se nomme Cantatrice, l'autre se nomme Vendetta. Si vous l'observez, vous verrez l'élégance, la vitesse toute l'art d'un épéiste aguerri dépourvu de ses attraits fort belliqueux. Ses lames sont meurtrières et ne craignent ni les mousquets ni autres lames. Est-ce que tout cela vous sembles si irréaliste pour un hybride au sang vampirique? Il faut également préciser ce petit poignard, caché dans sa botte qu'il utilise pour les meurtres en silence ou pour se taillader la peau. Comment faire pour calmer ses quelques pulsions? Mieux vaut boire son propre sang... Bref, si vous voulez résumer son apparence, vous pouvez le comparer à un alliage impossible entre le cuivre et l'ambre. Entre l'élégance et le crime. Entre l'indifférence et la fraternité. Entre l'énigmatique et l'évidence. Tel peut être décrit Llueld-Adagio Mercérat Whitehallow. Quelque chose d'imperceptible en surface et qui vous happe en profondeur. "Une vie est tout aussi jetable que remplaçable." "... Un pauvre acteur qui se pavane..." [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] La banalité peut parfois se transformer en une chose hors norme. Il suffit toutefois de plonger... et de ne pas se laisser prendre par le jeu des mots. Qui sait... derrière chaque être semblable ou détenant les mêmes caractéristiques, peut se cacher une infime partie qui le rendra reconnaissable parmi la masse. Au final, toutes personnes différentes sont pareilles. Et toutes personnes pareilles sont différentes...Comment peut-on être quand on n'a fait que survivre pendant toute son existence passée? Comment peut-on définir les qualités et les défauts, les goûts et les sentiments d'une personne qui n'a vécu que dans ce qui est sombre? Sale? Sans aide ou ami? Il y a des milliers de facettes. Chacun survie de sa façon pour se rendre compte qu'il est finalement pareille à cet autre qui survie comme lui. On se croit inventif. On croit avoir trouvé ce que les autres n'ont pas trouvé. On se pense et se dit le meilleur pour finalement s'écrouler devant la ressemblance ou la puissance d'un autre. Lui aussi a eu sa façon de survivre. Et en survivant, il a trouvé sa façon d'être.«Je remplacerai la vie que j'aurai prise par celle qui naîtra. Il y a autant de naissances que de morts. Je n'ai donc pas à culpabiliser les gestes que j'ai décidé de poser.» Il y a condescendance, fierté, courage et dédain. Il y a dominance, indifférence. Ajoutez à cela les moqueries et cette envie d'écraser autrui. Il y a cette voix claire, dominante et assurée. Il y a ce jugement et ce choix de vous respecter. Il y a l'anarchiste et l'insensibilité. Il y a cette force mentale et cette fureur meurtrière. Il y a aussi ces mystères. Ni culpabilité, ni remords, ni pitié. Il y a loyauté et fidélité. Puis, il y a un esprit stratégique, calculateur et analytique. Il y a injustice et égoïsme. Ni gêne, ni peur. Il y a manipulateur et dictateur. Il y a cette réticence du toucher et ce traumatisme. Ailleurs, il y a fraternité, sociabilité et écoute. Il y a respect et compréhension. Il y a philosophie et valeur. Justice et liberté. Il y a une voix forte prête à crier, à encourager. Il y a protecteur ou bouffon. Il y a véhémence et ambition. Il y a fonceur et conviction. Il y a sensibilité et douceur. Mélangez tout ceci avec une pincée d'originalité ou de banalité. Dépendamment de votre perception. De l'image que vous vous en ferez, voici l'esprit et les valeurs de Llueld. Il n'aime pas les lâches, les pleurnichards et les traîtres. Cependant si vous désirez le connaître, il faut l'approcher car d'une personne, on ne ressort qu'une infime partie. Tout ce qu'il y a à savoir sur quelqu'un se retrouve sur l'échelle de la terre. Rien de plus compliqué qu'une personnalité. Gentil? Calme? Ah non. Horrible! Hostile! Invivable! On finit toujours par ressortir les mêmes caractéristiques non? Mais qu'est vraiment une personne? Lui, il est semblable à tant de personnes sans pour autant leur ressembler. Or, il y a bien une façon de le décrire. Par ce trait dominant qui ce lit si bien dans sa devise. Oh! Cela doit sans doute paraître naturel et tout à fait commun à tout criminel qui se respecte. Peut-être n'a-t-il fait que suivre le chemin de ses aînés dans ces rues sombres et sanglantes. On forge son caractère avec le temps et les expériences. Si l'on a la volonté alors le reste à peu d'importance. Lui avait la volonté, la rage de vivre. D'une certaine manière c'était sans doute pour se venger ou pour se donner des preuves. Après tout, un hybride est hybride, il n'y a rien à redire. Mais au fond il n'est pas froid, si drastique. Il s'est contenté d'accepter et de prendre avantage sur la situation. Il s'est contenté de cette adaptation à son milieu pour pouvoir se développer. Mais tout au fond, il y a toujours un esprit sensible, ce n'est pas un psychopathe. Juste "quelqu'un". Quelqu'un qui a son mental et qui continue encore et encore de le développer. "Véridiquement" parlant, il est un animal de l'évolution parmi cette espèce au nom si peu bestial, l'homme. "Je préférais être aveugle que d'avoir ces yeux." "... Et agite son heure sur la scène." [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] Une femme. Un cou, mis en évidence, dévoilé au grand jour. Un homme. Une approche. Une envie, une répulsion. Une liaison, avec amour, sans amour, indifférente. Une nuit, juste une. Une seule avec cette lune ronde et luisante. Une femme sans homme. Une naissance. Une mort avant d'avoir aimer. Un homme de nouveau en terre de France. Un bébé sans patrie. Une route vers l'Angleterre. Un abandon volontaire. Le déni d'une nuit d'octobre. 1ier AmbreRespirer. Puis hurler. C'était à lui. Il entrait en scène. Après douze années endurantes et patientes, la scène était à lui. Puis soudain ses yeux s'ouvrirent. Non. Ce n'était pas à lui. Il n'était plus lui. C'était à ce corps, cet esprit mais pas à lui. Sur le toit d'un immeuble, dans cette ville au doux nom de Birmingham, il étendit les bras à la verticale. Il les rabaissa. Il ne voulait pas faire comme tous ces gens supposément libres. Non. Il n'allait pas faire ça. Il avait la même raison qu'eux mais n'allait pas faire ça. Il se contenta de contempler la ville du haut de son perchoir. Comme elle était belle cette ville désobligeante et horripilante! Il sourit de toute ses dents puis hurla toute sa joie. Douze. Toutes ces années gaspillées. Piétinées, chiffonées puis entassées dans un coin qu'il avait totalement abandonné. À quoi aurait-il pu penser dans ce temps? Aux jolies fleurs? Aux papillons, aux petites filles? Stupidité! Il n'avait rien eu d'autre à penser qu'à sa vie. Sa vie pardi! Et voilà où menait tant de persévérence et de courage! Pour une fois que le bon Dieu - pour ne pas cracher sur son nom - s'était montré clément. Pour une fois qu'il s'était dit : «Ça va. Je te donne une trêve.» Il en avait profité. Il s'était foutu de ce qu'avaient pu lui cracher ces hommes et ces femmes. Ils l'avaient laissé partir et il ne s'en était pas fait prier. Les bouts de merde n'étaient jamais récupérables. Et puis il y avait eu cet homme. Lui récupérait les bouts de merde. Dieu avait mis fin à sa trêve avant qu'elle ne commence. Pas même le temps de respirer. Il n'avait eu qu'une rue à tourner pour s'enfuir. Il l'avait prise... pour se faire prendre au tournant de cette rue même. Cet homme, cause de tant de soucis, l'avait attrapé. Sa liberté dans ce temps, le gamin avait pu lui dire adieu. Si cet homme n'avait pas été là à ce moment, il aurait pu vivre sa vie tranquille de gosse joyeux et niais. Non! Bien sur que non! Il avait fallut cette grande tache noire, rouge, opaque et à la présence incommensurablement désagréable. Mais ce n'est pas ce qui avait réduit la vie de l'enfant à néant non. Ce qui avait réduit sa misérable et abjecte vie à quelque chose d'encore plus pathétique, c'avait été ces yeux. Il avait eu l'impression de se regarder lui-même en cet homme. «Je ne veux même pas y penser.» Se déclara-t-il à sa propre personne, sur ce toit de Birmingham. Il ferma les yeux, posa ses mains sur son abdomen et inspira. Il rouvrit les yeux, garda sa respiration puis après avoir jeter un coup d'œil aux nuages gris, expira. Tel un ouragan se déchaînant sur le monde, il hurla de nouveau. Toute sa rage, sa joie, sa réticence. Il passa d'un hurlement sauvage à un hurlement heureux qui alla décrescendo pour aboutir à un doux soupir. Ses yeux à lui, il les aurait échanger contre la laideur du monde. Il les aurait échanger contre une marre de sang, contre un aveugle, contre la guerre. Comme ils étaient laids. Il avait tant envie de les arracher. Cependant en ce moment il en avait besoin. Parce qu'il voulait faire sa Vendetta. Et pour cela, il aurait besoin de s'instruire et un handicap ne lui serait d'aucune utilité quelconque. Autant demandé un cochon à traire! Il resta ainsi, loin de la portée de tout ces merdiers, de tous ces gens, à se sentir libre et à penser à la manière dont il s'y prendrai pour jouer avec la loi. Il resta ainsi. Debout de toute sa maigre et petite grandeur au crépuscule qui amenait déjà sa dominance vespérale. Pour ses treize ans, il voulait une épée, pas un mousquet, ou l'aurore rouge des guerres sanglantes. *** 2 ans plus tard2ième cuivreIl s'écroula. Se tenant la gorge à deux mains comme s'il était prêt à régurgiter ses viscères. Les yeux exorbités, il étouffait ses cris en se mordant la lèvres inférieure, jusqu'à ce que le sang y perle. Ces gouttes, il en avait besoin, tant besoin. Il resserra son étreinte, il aurait été prêt à s'étouffer. Puis il déserra en haletant. Il se leva, s'appuya sur le mur et, peine perdu, s'écroula au sol. Il ne pouvait plus se relever, son corps n'obéissait plus. Il avait soif... si soif. Il avait du mal à respirer et tentait vainement de prendre une bouffée d'air. Comme un noyé tentant de respirer avant sa dernière heure. Ses yeux ambrés cherchait désespéremment de quoi étancher cette soif mais dans ce décor floral il n'y avait pas d'eau. Si. Cette fontaine loin, loin à sa gauche. Comment se faisait-il qu'il était dans un jardin? Comment se faisait-il qu'il ait tant besoin de boire à ce moment précis? Que faisait-il ici à une heure pareille? Ah! il se souvenait. Mais il n'eut pas le temps d'aller plus loin, son désir s'agrandissait et s'il ne trouvait pas de quoi boire immédiatement, il sentait qu'il en mourrait. Mais quoi? Quoi?! Pas une ombre! Pas une personne! Et même si par un miracle il parvenait à la fontaine et qu'il en buvait tout le contenu, sa soif persisterait. Vite! il se souvenait. Son couteau! Son couteau par sa sainteté! Il serra les dents jusqu'à avoir mal et respirant par le nez, les narines dilatées, il ramena sa jambe contre son ventre et de sa main, s'empara de son couteau. D'un geste sec et rapide, il se tailada l'avant bras et dans un élan sauvage, planta ses dents dans la plaie, laissant le liquide rouge s'écouler dans sa bouche. À ce contact, il se calma aussitôt, reprenant le contrôle de la situation. La crise est passée. Il se leva, rangea son arme après l'avoir essuyée contre sa chemise puis arracha un pan de celle-ci afin d'en faire un bandage. Certes il avait mal, certes c'était bestial mais il s'en moquait. Il avait un travail à faire. Une tâche à finir avant qu'il ne soit trop tard et Dieu seul sait combien il avait perdu de temps. Tournant la tête en direction de la fontaine qui laissait s'écouler l'eau en un doux clapotis, il engouffra les plusieurs mètres qui les séparaient par de longues enjambées. Plongeant la tête dans le creux orné de nymphes et de muses, il laissa l'eau rafraîchir son visage. Puis ramenant la tête vers l'arrière, laissant une longue traînée de goutelettes suivrent la trajectoire, il expira bruyamment. Il passa une main dans ses mèches blondes détrempées et quitta la fontaine. À présent, place au métier. Il commençait à en avoir assez d'être ici. Ce fichu incident lui aura fait perdre sa nuit. *** 4 ans plus tard3ième plancheBirmingham. Elle n'avait pas changé et ça le fit sourire. Cependant, Londres lui manquait. Elle était plus digne à ses yeux, plus noble. Se promenant dans les rues, il ne prit même pas la peine de faire attention à voiler Vendetta. Cantatrice dans sa main gauche, il jouait avec la garde qu'il dégainait puis rangeait aussitôt par la suite. Il déambula dans les rues de sa chère ville d'enfance jusqu'à ce qu'il s'arrête devant un bâtiment terne, où certaines filles de joie entraient et où d'autres sortaient. Eh bien... son doux chez-soi si anciennement hostile avait bien changé. Il releva la tête et lança un regard condescendant au mastodonte de pierre. Comme s'il le provoquait. Puis il se dirigea vers une taverne populaire dans le coin. Il pénétra dans cet antre et alla directement s'asseoir sur une chaise où une table vide. Il ne voulait pas boire, il renvoya d'un geste la serveuse. Il n'était là que pour observer. Il déposa Cantatrice sur le bord de la table ronde puis croisa les jambes. Il n'avait rien de mieux à faire. De toute façon il n'avait aucune cible, aucune envie et il commençait à s'ennuyer. Peut-être pourrait-il entrer dans la milice? Non. Personne ne lui dicterait quoi faire. Criminel est-il, criminel restera-il. Il resta assis ainsi attendant que l'air devienne irrespirable, signe que le soir arrivait et que les gens, les soldats, en profitaient pour venir en douce ou aux yeux de tous pour se désaltérer. Seulement à ce moment, il se leva et quitta sans empressement la taverne. Dehors, les étoiles éclairaient les rues et les ruelles. Les quelques derniers passants se dirigeant vers l'antre ressemblaient à de grandes ombres se baladant sous les lueurs célèstes. Quittant les lumières et les rires chauds, il marcha calmement dans la grande ville de Birmingham. Sous ce ciel constellé, il se sentait enfin chez lui, dans son monde, là où il connaissait toutes les limites et les non limites. Ce décor noir aux quelques lumières stellaires. Il remonta une pente et à son extrêmité il leva les yeux vers le ciel, une main autour de son coup, l'autre empoignant Cantatrice. Il avait soif, une soif étrange. Une soif dont il savait que l'eau n'altérerait pas. Il fronça les sourcils. Ça attendrait plus tard. Heureusement qu'il commençait à la contrôler. Pour l'instant, il voulait marcher, sans plus jamais s'arrêter. Et ceux qui se présenterait devant lui connaîtrait leur dernière nuit. Il ne laisserait personne s'interposer dans sa route. Il entama sa marche nocturne, laissant derrière lui lumière et chaleur. Accueillant noirceur et douleur. Sa route à lui où personne n'avait à s'imposer... [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] | ♔Pseudo : Llueld-A. M. Whitehallow ♔Age: Hu hu hu. Calculez votre âge à vous, multiplié par deux puis divisé par cinq ensuite additionné à vingt puis multiplié derechef jusqu'à l'infini. ♔Comment t'es-tu retrouvé parmi nous?: En partenariat avec Deus Académia ♔Des Remarques ou impressions? Ça m'a pris... deux jours avec pleins d'autres travaux pour comprendre mon personnage. Et encore, c'est souvent après l'avoir mis en pratique que j'arrive défénitivement à le percer à jour. Mais c'est la première fois que ça me prend autant de temps et que mon personnage me file entre les doigts! Excusez-moi pour la grande lenteur dont j'ai fait preuve. J'espère au moins que ça ne ressemble pas à de la bouillie en chiotte... Excusez également le peu d'originalité. Je compte également faire les corrections d'orthographe, d'accord, etc. Sinon, la présentation est terminée. ♔As-tu lu le règlement ? Oui! J'ai pris toute une soirée pour le lire. ♔Code du règlement :Validé par Panda!
|
Dernière édition par Llueld-A. M. Whitehallow le Sam 8 Sep - 21:47, édité 4 fois |
|