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 Aurore, ou La Louve au Masque ~

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MessageSujet: Aurore, ou La Louve au Masque ~   Aurore, ou La Louve au Masque ~ EmptyLun 20 Juin - 17:01

Le Goff Aurore



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feat. 96neko de Nico Nico Singer
    IDENTITÉ :


    Nom : Le Goff
    Prénom: Aurore
    Age Apparent: D'apparence, vingt-trois
    Age Réel : En réalité soixante-huit
    Sang-Pur/Mordu/Infant : Mordue à l'âge de vingt-trois ans, elle conserve un sentiment de fidélité à l'égard de celui qui à fait d'elle un Lycan, bien que les années l'aient considérablement éloignée de lui.
    Date et Lieu de Naissance : Un soir d'été, dans une ruelle mal-famée de Concarneau, en Bretagne
    Orientation Sexuelle : Indéfinie
    Nationalité: Française
    Groupe : Lycanthrope / D'origine bourgeoise, fille d'un forgeron aisé
    Classe Sociale: Si possible, tueuse à la solde d'un ou plusieurs guerriers Lycans, ou bien simplement tueuse à gages.




Description Physique :

Un Masque d'ange pour le Jour . . .

Quelques dentelles sur une robe encombrante, un nœud pour retenir sa blonde et furieuse crinière, l'esquisse d'un sourire angélique, et voilà cette impétueuse jeune femme parée d'un masque des plus trompeurs et efficaces : celui de la féminité. Douce et gracieuse aux yeux de la ville, soigneusement coiffée, le teint frais et un air indolent faisant traîner ses paupières sur ses yeux noisettes, Aurore a tout d'une coquette créature, lorsqu'il lui faut se montrer. Mais dès lors que les yeux de la foule lui sont aveugles et qu'elle se glisse dans l'ombre pour poursuivre le revers inconnu de son existence, la jeune femme troque ses allures de bourgeoise raffinée pour celles d'un brigand peu vertueux. Vêtue comme un homme aux heures de pratique de sa sombre profession, Aurore vogue alors sans mal et sans reconnaissance possible dans les recoins les plus mal famés des villes où il lui faut se rendre.
Ceux a qui elle a un jour confié les mystères de sa double-vie savent que l'étoffe lourde de ses robes cache bien plus de pantalons de toile rude que de bas soyeux, et que ses pieds fins préfèrent les bottes de cavalier aux élégants souliers. Ses doigts généralement gantés dissimulent les éraflures auxquelles sa peau n'échappe pas toujours, et le long de ses jambes, sous les multiples couches de tissu, s'alignent des rangées d'armes blanches que de savantes lanières retiennent tout contre sa peau. Lorsque l'heure sonne de se délivrer de ses parures de demoiselle, cet enchevêtrement de poignards quitte la chaleur de sa chair pour se renouer par-dessus l'étoffe de ses pantalons.
La doublure de son intemporelle cape, vêtement chéri malgré son cuir usé, leur sert également de cachette, ainsi que de moyen de transport à toutes les petites choses dont Aurore ne peut se séparer – à savoir, parchemins, livres, plumes et souvenirs quelconques. Cette veste est donc d'un poids considérable, mais ne quitte que rarement son possesseur. Il ne serait pas idiot, d'ailleurs, de s'imaginer que cette cape représente une espèce de trésor pour elle, peut être le fruit de son tout premier larcin, ou bien un présent de son Maître, le Lycan à l'origine de sa propre métamorphose.
Pour revenir à ses meurtriers acolytes, la jeune femme ne se sépare jamais d'une unique arme à feu, son pistolet à rouet, ainsi que d'un ensemble de poignards et d'une rapière. Son plus fidèle compagnon reste un drik, une dague d'origine écossaise que son père lui a probablement offert pour un anniversaire de sa tendre jeunesse. C'est par ailleurs la seule arme qu'elle laisse accessible aux regards dans ses heures raffinées, car pour elle seule, elle a une raison de l'avoir en sa possession.
Derrière les deux apparences distinctes qu'elle peut arborer, Aurore est une jeune femme plutôt séduisante, aux yeux d'un marron rougeoyant des lueurs du phénomène qui lui a donné son nom, et à la chevelure, comme décrite un peu plus tôt, d'un blond sauvage, souvent indomptée. Sa démarche est vive et ses manières parfois un peu brusques, en raison de son métier, mais les airs de douceur qu'elle peut se donner rattrapent sans mal les quelques défaillances de son caractère.
Les petits travaux de forgeron donnés par son père, ainsi que de multiples et intrépides escapades enfantines ont façonné son corps de telle sorte qu'il offre des formes admirables, souples et résistantes à la fois.

. . . Et un visage de l'Enfer pour la Nuit !

Aux premiers rayons de l'astre lunaire, la mâchoire d'Aurore est parcourue de d'agitations tout juste perceptibles pour commencer, puis de plus en plus violentes. Son visage tremblant entame ainsi la transformation : les dents s'allongent en crocs luisant de salive, la langue claque en grandissant, longue et rouge comme le sang qu'elle appelle à elle avec les grognement naissants dans sa gorge de monstre, le nez s'avance et rejoint les lèvres difformes pour donner forme au museau, tandis que l'éclat habituellement timide des yeux presque rouges se donne une force nouvelle. Les oreilles se rabattent et pointent leur bout, la crinière brunit avec les poils qui recouvrent progressivement le corps. Si le visage est presque imberbe jusqu'au menton, c'est à partir de celui-ci que se poursuit une métamorphose plus rapide et accompagnée d'une croissance importante de la pilosité. Les épaules se déforment un instant, décrivant d'inquiétantes courbes, avant d'adopter une structure solide aux os saillants, la poitrine augmente de volume, entraînant ainsi les côtes vers la surface de la chair devenue grise. C'est alors que les cuisses projettent la créature d'une cinquantaine de centimètres vers le haut, prennent un angle osseux vers les mollets et terminent le changement de nature par l'apparition de pattes griffues et velues, à l'image des mains. Celles-ci rejoignent les épaules par le biais de pattes dont la taille a également doublé entre temps. La transformation s'achève par l'avènement d'un halètement de plus en plus brutal, qui devient pour la fin un hurlement déchirant.




Description Mentale :

Comme son apparence, Aurore est connue sous deux aspects. Celle d'une jeune femme correcte sous toutes ses coutures, et celle d'un garçon manqué, vagabond et brusque.
Polie et bavarde dans la mesure de sa bonne humeur, il s'agit d'une jeune femme aussi cultivée que disposée à écouter les autres. La musique étant un luxe bien souvent inaccessible à ceux qui n'ont pas eu la chance de naître dans les hautes sphères de la noblesse, Aurore a développé un intérêt ciblé sur la littérature, grâce à un oncle poète, et sur la peinture, par le biais d'artistes parmi ses amis. Si elle apprécie les moments de calme voués à la réflexion, il lui arrive de rechercher des activités manuelles et physiques à effectuer. Ayant été habituée par son père forgeron au bruit des armes et à la chaleur des ateliers, Aurore aime retrouver l'atmosphère lourde des lieux où s'amassent les ouvriers, qu'ils y travaillent ou qu'ils s'y reposent, dans les fabriques ou dans les auberges. Le vacarme des lames qui s'entrechoquent lui rappelle l'univers de son enfance, et explique peut-être en partie le choix de son métier.
Aux yeux de son père et de ceux qu'elle a connu à Concarneau, c'était une enfant énergique et douce, discrète par moments, préférant pour ses jeux la compagnie de garçons turbulents à celle des fillettes trop proprettes. Malgré la vivacité de son caractère, Aurore vouait un respect sans borne à son père et ses oncles, qui l'initiaient à leurs propres métiers. Si l'enfant évitait les autres filles, sans pour autant leur être désagréable, c'est que l'absence de sa mère de l'avait pas habituée à la féminité. Une tante la pris sous son aile pour l'aider à grandir en tant que femme, mais Aurore, en apprenant un jour de la bouche des adultes la véritable raison de la disparition de celle qui l'avait mise au monde, comprit la honte qui planait sur sa naissance et chercha a refréner sa nature.
Dès lors, le côté taciturne et agressif de son caractère commencèrent à prendre leur place comme défenseurs de sa personne. Après avoir été une sympathique enfant des rues, Aurore devint une intenable jeune fille et fréquenta la jeunesse débridée des bas-fonds de Concarneau. Ses oncles, devenus trop vieux pour perdre leur temps avec leur nièce, conclurent que leur intervention dans son éducation venait de prendre fin et son père, trop occupé par ses commandes à la forge, la délaissa peu à peu. Le sentiment d'abandon qu'en ressentit l'adolescente la poussa à la recherche des lieux où elle se sentirait chez elle, lieux qui, en lui demeurant inconnus, accentua sa frustration. Elle prit l'habitude de se faire passer pour un garçon et multiplia les petits combats, où elle améliora ses techniques. La compagnie des jeunes hommes lui permit de s'adapter à un univers de brutalité et de perversion puis, quand la candeur de ses jeunes années lui manquèrent, elle décida qu'il était temps de faire l'amalgame des deux mondes qu'elle avaient connus jusque là. Cette période de sa vie acheva la fondation de son caractère. Ayant appris à mieux se connaître, ces deux bouts de sa personnalité se mêlèrent, et l'assemblage de son enfance et de son adolescence bâtirent la véritable Aurore, gracieuse et amusante jeune femme, aux manières garçonnes, et au caractère bien trempé.




Biographie :

Les hommes seuls les soirs de Noël ont deux solutions pour échapper à la léthargique mélancolie de l'hiver. Se saouler aux alcools forts et aux accolades festives au fond de quelque auberge dégoulinant de la chaleur que les âmes en peine émettent lorsqu'on les réunit, ou se noyer dans la langueur suave et bouillante d'une femme de joie, à l'abri des lumières. D'autres diront qu'il existe une troisième solution. Goûter à ses deux brasiers. Que l'orage mugisse, que le ciel trempe ou glace la terre, que l'automne et l'hiver arrachent toute la chaleur du monde, il y aura toujours des âtres où crépitera le feu éternel de la solidarité et de la bienveillance. Dans les bras des villageois qui nous saluent chaque matin, ou contre le cœur d'une brave muse édentée, tant que subsiste un semblant d'amour, ceux qui cherchent les flammes du réconfort sauront où les trouver.
C'est ainsi qu'un soir de décembre, alors que sur ses joues frémissaient les pétales rouges de l'ivresse, un modeste forgeron de Concarneau conçut l'idée d'aller achever sa joie auprès de quelque femme au grand cœur. Ses pas le menèrent dans le fond de l'auberge qui accueillait ce soir-là le rebut des villes, ceux que la joie exile du bout du pied et condamne, les soirs bénis, à se retrouver n'importe où, là où l'on voudra d'eux. Derrière les rideaux tendus derrière les tables s'agitaient les courtisanes nocturnes, rouges elles aussi, roulant dans leur gorge des rires charmants pour attirer les hommes tout près d'elles. Il y avait là une toute jeune femme, brune comme la nuit, aux yeux brillants de fièvre, assise dans le fond sur un tas de coussins. Lorsqu'elle vit entrer le forgeron, elle hocha la tête pour lui faire signe, et l'homme s'en approcha.
Cette nuit fut le théâtre de la création du petit bout de vie que l'on nommerait plus tard du nom du lever du soleil. Au matin, l'homme s'en alla, brûlant dans l'hiver enneigé, brûlant dans son cœur d'homme seul. Mais la jolie demoiselle qui lui avait offert son corps n'était pas une de ces ingénues que le cortège des filles de joie enrôle dès leur plus jeune âge au coin des rues. Se donner à un homme était son métier, elle ne pouvait en vouloir aux ivrognes qui lui confiaient l'issue de leurs plaisirs, seulement, elle jugeait injuste de devoir souffrir, pour une inconscience de leur part, la mise au monde d'un être dont elle se devait ensuite d'être le bourreau. Cet homme-là avait un nom dans son esprit. Cet homme était le père du lambeau de chair qui lui poussait dans le ventre, et cet homme en assumerait les conséquences.
L'été suivant, le brave forgeron trouva donc sur le seuil de sa porte un poupon hurlant, enveloppé de linges miteux sur lesquels reposait un billet de son amante oublié. Acceptant ce que la catin appelait «fardeau» comme un présent fabuleux de la providence, Le Goff alerta ses cinq frères et sa sœur afin qu'ils l'accompagnent dans l'essor de cette jeune enfant.
Heureux comme un homme qui vient de recevoir le plus beau don au monde, le forgeron prit à cet instant sa fille dans ses bras et, levant les yeux vers le soleil, la baptisa «Aurore», à l'image de la douceur de l'astre renaissant, et de la beauté du jour nouveau qui se levait sur son existence.
Comme il est expliqué plus tôt, dans la description mentale de la jeune femme, son éducation a été essentiellement prise en charge par son père, ses oncles et sa tante. L'un lui a enseigné son travail de forgeron et le maniement des armes, les autres l'ont initiés à la littérature, la peinture, l'équitation, la pêche et l'art rhétorique, tandis que la seule femme de la famille lui réservait les démonstrations de douceur, et l'apprentissage de la séduction. A côté de ses diverses études, Aurore mena une enfance joyeuse aux côtés de petits garçons turbulents, sur les plages de Concarneau et les ponts des navires en escale au port. Cette innocence joyeuse fut préservée par les soins des adultes à sa charge jusqu'à ses treize ans, âge où, au retour d'une de ses escapades, l'adolescente surprit une dispute entre son père et une voisine, qui le raillait sur les origines douteuses de sa fille. Son statut de bâtarde ne faisant plus aucun doute après les insinuations de cette mégère avide de ragots sordides, Aurore n'osa plus regarder les femmes en face. Elle commença par renier sa tante, qui par ailleurs s'étendait en confidences sur ses multiples liaisons amoureuses, puis évita définitivement de côtoyer les jeunes filles de son âge.
Toujours liée aux garçons de son enfance, Aurore suivit avec eux les voies d'une décadence candide pour commencer, avant de s'enfoncer dans une délinquance de plus en plus noire. De larcin en larcin, les adolescents s'attaquèrent à des biens de plus en plus précieux, n'hésitant plus à dérober les marchandises des pêcheurs revenus au port, ni à s'introduire dans les maisons de riches bourgeoises pour leur subtiliser à grand renfort de sourires angéliques leurs perles précieuses. En grandissant, les garçons prirent le chemin des bordels et des tavernes, s'engageant ensuite, dans l'ivresse de leur nuit, à bord de navires inconnus comme pêcheurs et pirates. Aurore, avec la facilité qu'elle avait de se faire passer pour un homme, faillit choisir cette voie, mais le souvenir de sa famille la rappela vivement que sa place n'était peut être pas sur la mer, mais avec eux. A dix-sept ans, elle revint à la forge où son père l'accueillit à bras ouverts et travailla pour lui durant quelques années. Sa réconciliation avec sa tante qui, bien que volage, lui inspirait encore l'amour et l'admiration, lui permit de mieux se fondre dans la bourgeoisie, et la jeune fille apprit peu à peu à taire son amertume quant à ses origines malpropres. Elle consentit même à ressentir du respect envers la prostituée qui l'avait mise au monde et choisi de la laisser vivre.
Les années passèrent, durant lesquelles Aurore combina son travail en tant qu'assistante à la forge, ses séances d'escrime avec son père et sa vie dans les salons bourgeois que côtoyait sa tante. Son souhait de devenir tueuse à gage naissait.
Elle rencontra de forts aimables jeunes hommes et de coquettes demoiselles, de qui elle apprit à se comporter en femme raffinée. Sa tante la choya, fit d'elle quelqu'un de "respectable" et, à vingt-trois ans, Aurore ne portait plus de ses années noires qu'un souvenir diffus, qui teintait à peine ses actions. L'hiver de cette même année, la jeune femme s'émerveilla, au cours d'une des fêtes mondaines auxquelles la conviait sa tante, d'un noble au regard particulièrement pénétrant. Fascinée par lui des heures durant, Aurore n'osa quitter le bras de sa tutrice que lorsque que celle-ci s'envola avec un de ses courtisans. Seule, elle se résolut à rejoindre l'homme mystérieux avec qui il lui semblait échanger des regards depuis une éternité, mais se rendit compte qu'il venait d'échapper à sa vue. Frustrée d'avoir laissé ainsi disparaître une énigme, Aurore décida de rejoindre son domicile avant que la nuit ne tombe. Après tout, quelques navires marchands venaient tout juste d'accoster, et les marins devaient déjà commencer à arpenter les ruelles...
Elle prit donc le chemin de la forge, évitant soigneusement de passer trop près des tavernes, mais s'arrêta souvent, persuadée d'être suivie. Enfin, à quelques pas de chez elle, elle se retourna une énième fois et fit face à l'homme qu'elle avait toisé toute l'après-midi. Surprise, et vexée d'avoir été accompagnée jusque là sans s'en être rendue compte, elle le bouscula de questions auxquelles le mystérieux lord répondit en sourires et en courtoises explications. Sous couvert de la protéger des bandits qui couraient par les rues de la ville, il gagna peu à peu sa confiance et parvint à lui faire rebrousser chemin. Lorsqu'ils arrivèrent auprès de la mer, la lune se levait.
Dans un éclat de lumière et de sang, Aurore perdit un bout de son humanité. Jamais elle ne se souvint exactement de la scène qui se déroula à cet instant, mais la douleur de la morsure et la chaleur du sang ne quittèrent jamais sa mémoire. Elle se rappelle encore vaguement avoir été longuement bercée dans les bras de cet homme, l'avoir aimé, idolâtré, vénéré depuis ce moment. A son retour à la forge, sans trop savoir comment et pourquoi, elle savait qu'elle avait changé. Il était l'heure pour elle de commencer ce pour quoi elle était prête depuis des années. Elle quitta son pète en lui assurant qu'elle reviendrait le voir, la forge étant son seul et unique domicile, puis elle fit route vers le centre de la Bretagne, où elle bâtit peu à peu sa réputation de tueuse à gage.
Quarante-cinq ans de voyages et ses mains souillées de centaines d'assassinats plus tard, elle posa pour la première fois un pied à Paris...




Derrière l'écran:

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    Pseudo : Upsilonn
    Age: 16 ans
    Comment t'es-tu retrouvé parmi nous?: En voguant de forums en partenaires .__.
    Des Remarques ou impressions? Très joli forum ! Bien qu'il en existe un certain nombre sur le thème des Vampires/Lycans, celui-ci m'a particulièrement tapé dans l'oeil ^.^
    As-tu lu le règlement ? Vouip'
    Code du règlement : Okay by Azure >< !



Dernière édition par Aurore Le Goff le Mer 28 Déc - 10:30, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Aurore, ou La Louve au Masque ~   Aurore, ou La Louve au Masque ~ EmptyVen 24 Juin - 12:28

Bonjour et Bienvenue \o

Ta fiche est complète et très bien écrite, rien à redire ^^
Pour tueuse à gage, cela ne pose aucun soucis (tu peux faire une demande auprès d'un guerrier lycan et nous t'attribuerons un rang plus précis) !

Je te valide donc !

Je t'invite donc à faire ta fiche de lien, ton journal de rp après avoir bien sur commencer le rp !
Amuse toi bien parmi nous !
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MessageSujet: Re: Aurore, ou La Louve au Masque ~   Aurore, ou La Louve au Masque ~ EmptySam 25 Juin - 18:37

D'accord, merci !

Par contre, je ne sais vraiment pas à quel Guerrier proposer les services de tueuse de mon personnage . . . Y a-t-il un endroit où je pourrais faire une sorte d'annonce pour ça ?
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MessageSujet: Re: Aurore, ou La Louve au Masque ~   Aurore, ou La Louve au Masque ~ EmptySam 25 Juin - 18:40

Tu peux poster ceci dans la partie supplications si tu le souhaites =)
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MessageSujet: Re: Aurore, ou La Louve au Masque ~   Aurore, ou La Louve au Masque ~ EmptySam 25 Juin - 19:34

Merci, mais finalement, le problème est réglé, un Guerrier Lycan, Max D. Lightning, m'a contactée ^.^

Merci aussi pour votre accueil !
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MessageSujet: Re: Aurore, ou La Louve au Masque ~   Aurore, ou La Louve au Masque ~ Empty

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Aurore, ou La Louve au Masque ~

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