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 Corteo Gallieri, condottiero fléau de Dieu.

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MessageSujet: Corteo Gallieri, condottiero fléau de Dieu.   Corteo Gallieri, condottiero fléau de Dieu. EmptyMar 15 Nov - 0:43

NOM PRENOM



Corteo Gallieri, condottiero fléau de Dieu. 1111140959161400839050474

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    IDENTITÉ :


    Lycan
    Nom : Gallieri
    Prénom: Corteo
    Age Apparent: 27 ans
    Age Réel : près de 200 ans
    Sang-Pur/Mordu/Infant : Mordu
    Date et Lieu de Naissance : 1450 à Lodi, Italie
    Orientation Sexuelle : Hétérosexuel
    Nationalité: Italien
    Groupe : Lycans
    Classe Sociale: Bourgeois




Description Physique :

Un corps à la peau mate, sculpté par des décennies de combat et d'effort physique, parcouru ici et là de multiples cicatrices, souvenirs de sanglantes batailles et de violents corps à corps au cœur des mêlées. Virile, voilà en un mot une description efficace de l'apparence de Corteo. Cheveux longs arrivant aux épaules, barbe fine apportant une touche de romantisme à ce physique de guerrier méditerranéen. Ses yeux sont deux perles claires, aux iris bleu-gris rappelant le ciel d'Italie un jour de pluie, surmontés par d'épais sourcils. Son regard mutin démontre une personnalité déterminée, pleine d'assurance. On y lit toute l'arrogance d'un bel Italien dans la fleur de l'âge, et une volonté de fer. Son visage fin, buriné, marqué par les combats et de longues chevauchées au soleil et sous le vent, possède un indéniable charme animal, étrange mélange de fougue juvénile et de maturité. Selon son humeur, on peut lui donner cinq ans de moins, comme on peut lui en donner dix de plus. Son regard et son sourire sont particulièrement expressifs, et toutes les émotions qui peuvent traverser son âme y transparaissent clairement : tristesse, joie, amusement, colère... Son sourire enjôleur en a séduite plus d'une, mais lui a également valu les remontrances de femmes moins faciles, outrées par son petit côté mutin et provocant.

Il avait jadis l'habitude de porter de lourdes armures de métal, telles qu'en portait tout bon Condottiero de la Renaissance, à une époque où l'Italie était déchirée par les guerres internes. Puis les temps ont évolués. Avec l'arrivée de la poudre noire et des armes à feu, la plus solide des armures devînt obsolète, et l'on privilégia des tenues plus pratiques. Corteo adopta donc des tenues de cuir souples et élégantes, affectionnant les teintes sombres.
Ce changement de tenue influença également son style de combat. Pouvant à présent effectuer des mouvements plus précis, plus distingués, il troqua son épée bâtarde aux allures médiévales pour une magnifique rapière Milanaise, et adopta ainsi un style d'escrime bien plus technique, efficace et raffiné. Cette arme, qu'il entretient avec un soin méticuleux, ne l'a jamais quitté depuis l'an de grâce 1502, où il en fit l'acquisition, et elle est aujourd'hui encore dans un état impeccable. Actuellement, Corteo porte généralement, par dessus une chemise blanche, un gilet sans manche de cuir noir bordé d'un élégant liseré argenté à motifs florentins, un pantalon noir, des bottes de voyage en cuir et un élégant manteau noir aux motifs assortis à son gilet et au tricorne qui couvre parfois sa tête. Sa précieuse épée Milanaise, rangée à son côté dans son fourreau noir, est accompagnée d'une paire de pistolets à un coups, armes modernes dont Corteo s'est pris d'affection.

Sous sa forme animale, Corteo est un loup massif et puissant, au pelage gris sombre. Une gueule massive arborant des crocs blancs et acérés, faits pour déchirer la chair de ses malheureuses victimes, et des pattes pourvues de griffes sombres complètent ce portrait surnaturel et menaçant. Seuls ses yeux conservent leur couleur bleu-gris, apportant une étrange touche de conscience et d'humanité à ce tableau infernal.




Description Mentale :

Pour commencer, une touche assez marquée de l'arrogance provocante d'une jeunesse dorée, accentuée par ce côté extravagant du sang Italien. Un petit côté rebelle et séducteur, sans doute développé dans sa jeunesse pour pallier à une éducation militaire et académique des plus strictes. Dès son plus jeune âge, son père lui fit manier les armes et étudier de longues, interminables heures de vieux manuscrits sous la tutelle d'un moine rébarbatif. On ne peut que comprendre ce besoin de fougue et d'évasion qui anima bien vite le jeune Corteo Gallieri. Il en reste aujourd'hui une certaine attirance pour le beau sexe. Corteo est un séducteur invétéré, bien que cela ne signifie pas qu'il parvienne à conclure à tous les coups. Son arrogance peut aussi bien avoir un côté touchant et séduisant que franchement ennuyeux, selon l'humeur de la belle qu'il essaie d'attirer dans son lit. Depuis le drame qui marqua la fin de son insouciante vie humaine, toutefois, il se montre un peu moins entreprenant avec les demoiselles, son enthousiasme étant légèrement assombri par d'anciens et tristes souvenirs.
De par sa naissance et son éducation, il a toujours ressenti un profond amour pour les armes et le combat. Le simple fait de sentir sous ses doigts la poignée d'une épée lui procure une énergie débordante, qui ne le quitte que lorsque son adversaire gît au sol. Où qu'il soit, il recherche toujours la fureur du combat, ou à défaut, l'excitation de la chasse. Il n'y a pas plus heureux sur terre que Corteo à l'aube d'une bataille. Sa grande maîtrise des armes s'ajoute à un certain charisme faisant de lui un officier de talent, et à son époque, un Condottiero réputé dans la péninsule Italienne. A travers les âges, il a vu les armes et les guerres évoluer, et s'est toujours adapté tant bien que mal aux changements, vendant ses services de guerrier et d'homme d'action au plus offrant. Car même si, aujourd'hui, un mercenaire n'est pas forcément perçu comme la plus noble des compagnies, les condottieri de la Renaissance étaient admirés par la populace et grandement recherchés par tous les nobles dirigeant des cités. Il ne voit donc aucun déshonneur à se faire payer pour diriger tel ou tel groupe armé, assassiner tel ou tel rival de ses employeurs... Il lui est arrivé cependant d'agir sans penser à l'argent, quand c'est pour quelqu'un dont la personnalité ou les idéaux lui plaisent. Ce fut le cas entre 1499 et 1503, où il se rangea sous les ordre du célèbre et controversé Cesare Borgia, dont le charisme et le génie militaire lui firent une très grande impression, et cela même si cette allégeance impliquait de combattre sous l'étendard du Pape.
Car Corteo voue une haine profonde envers Dieu et la religion. Officiellement, c'est juste un athée. Officieusement, il s'est déjà rendu coupable de plusieurs meurtres de personnages religieux, du simple curé de village à un cardinal. L'obscurantisme religieux le dégoûte profondément, il tolère mal les gens fortement croyants et pratiquants, et il considère que si Dieu existe réellement (sa propre condition d'être immortel et surnaturel l'empêche d'être catégorique sur la question), il ne mérite en aucun cas qu'on l'adore et qu'on lui voue tant de sacrifices.
Sa faim de lycan, il eut du mal à la maîtriser. Sa naissance au monde de la Nuit fut une épreuve terrible pour lui, qu'il dû affronter seul. Il apprit par lui-même à se contenir, et à plier ses nouvelles capacités à sa volonté. Le goût du sang qui l'habite sous son état animal ne fait qu'accentuer son goût du combat sous l'état humain. C'est un chasseur, un guerrier, doté d'un appétit féroce.
Il reste toutefois fidèle à d'anciennes valeurs telles que l'honneur, la loyauté. Jamais il n'attentera à la vie d'une femme ou d'un enfant, et si la mort d'un innocent pour apaiser sa faim est parfois inévitable, ce n'est jamais avec plaisir, et il achève alors sa proie rapidement. En général, il essaiera toujours de s'arranger pour choisir une proie virile, en bonne santé, capable de se défendre et donc de lui proposer un défit à sa mesure.


Biographie :

C'est en octobre 1450 que naquit Corteo Gallieri à Lodi, petite ville du Duché de Milan. Son père, Renaldo Gallieri, avait combattu sous les ordres du Duc, et son talent d'officier lui avait valu d'être anobli et élevé au titre de Comte. Fier de ce titre, Renaldo fit en sorte que le jeune Corteo reçoive la meilleure éducation possible. Il se chargea lui-même de son apprentissage au maniement des armes, dans lequel le garçon excella bien vite, et confia son éducation académique à un vieux moine de l'ordre des Minimes. Elevé dans ce cadre strict et ne lui laissant que peu de liberté, Cortéo recherchait l'évasion partout où il pouvait la trouver, s’éclipsant dès que possible de la demeure familiale pour rejoindre les jeunes gens de son âge en ville, séduisant les jeunes filles, cherchant querelle aux autres adolescents, se lançant des défis idiots et risqués pour prouver bravoure, audace et force. C'est lors d'une de ces escapades qu'il rencontra Juliana, une jeune fille de bûcheron qui vivait avec son père et sa mère à l'orée des bois environnant Lodi, un peu à l'écart de la ville. Tous les deux entretinrent une liaison passionnée, se retrouvant dès qu'ils le pouvaient près d'une vieille chapelle au cœur des bois. Puis quand il eût vingt ans, Renaldo proclama le mariage de son fils avec la fille d'un baron Gênois, une certaine Mathilda Baronelli. La mort dans l'âme, Corteo se plia aux désirs de son père et épousa cette femme plus âgée que lui, froide et revêche, et pire que tout, une bigote invétérée qui passait son temps en prières et en confessions - ce qui ne l'empêchait pas d'ordonner qu'on lâche les chiens sur tout mendiant s'approchant un peu trop près d'elle.

Malheureux chez lui avec cette épouse qui passait son temps à lui reprocher son manque de ferveur religieuse, Corteo s'absentait souvent pour aller vérifier les cultures ou chasser. Inutile de préciser qu'en vérité, il se rendait à chaque fois à la vieille chapelle, où il retrouvait Juliana. Six années passèrent, durant lesquelles Renaldo Gallieri succomba à une pneumonie à un âge avancé, de même que les parents de Juliana qui continua malgré tout de vivre dans la forêt et de voir Corteo clandestinement.
Au lendemain de Noël de l'an 1476, le Duc de Milan, Galeazzo Sforza, fut assassiné. A présent Comte de Lodi depuis la mort de son père, Corteo se trouva dans l'obligation de rejoindre la cité ducale pour assister aux funérailles. Son épouse, étrangement, insista pour rester à Lodi, où elle recevait un évêque de Gênes. Corteo resta une semaine à Milan, sans se douter du terrible drame qui l'attendait à son retour.
Quand il revînt à Lodi, il trouva un gibet dressé sur la place de la ville, devant l'église. Et pendue à ce gibet, laissée là depuis déjà deux jours, le corps de sa bien aimée Juliana. Corteo, terrassé de chagrin, dû toutefois faire un effort pour dissimuler son déchirement. Il apprît que la ville avait été la proie d'attaques brutales et extrêmement violentes, commises par une bête infernale, et qui avaient déjà coûté la vie à sept villageois. L'épouse de Corteo, Mathilda, approuvée par l'évêque Gênois, avait affirmé alors en public que la bête avait été invoquée par une sorcière, et avait désigné comme coupable la jeune fille vivant seule dans les bois. Juliana avait été exécutée sous cette seule accusation, et son corps laissé à pourrir au bout de la corde. Tout démontrait en vérité que Mathilda était au courant des infidélités de son époux, et s'était vengée sur la jeune femme.
Prétextant la fatigue du voyage, Corteo s'enferma toute la journée dans ses appartements, où il pleura tout son saoul, à l’abri des regards. Puis, à la nuit tombée, bravant le froid et le brouillard glacial de décembre, il se rendit en cachette au gibet, où il décrocha le corps de sa bien aimée. La portant sur son destrier, il se rendit dans la forêt, à la seule lumière de la pleine lune se reflétant sur les nappes de brumes fantomatiques. Arrivé à l'ancienne chapelle, où les deux amants s'étaient aimés en secret depuis leur adolescence, il creusa une tombe pour Juliana et la mit en terre.
C'est sur le chemin du retour qu'un énorme loup l'attaqua, tuant son cheval et le mordant cruellement à l'épaule. Cependant, Corteo, fou de haine et avide de vengeance, était ce soir là plus redoutable que jamais, et décapita la bête avant de sombrer dans l'inconscience. La transformation commença. Il fut réveillé par une douleur horrible, comme si son squelette cherchait à sortir de son corps. La métamorphose était brutale, violente, aiguillonnée par la puissance mystique de la pleine lune. Après ce qui lui sembla une éternité de tortures innommables, Corteo se retrouva dans le corps d'un loup, tenaillé par une faim dévorante telle qu'il n'en avait jamais ressenti.
Pendant un mois entier, il erra dans la forêt, découvrant sa nouvelle condition, s'habituant avec difficulté et répulsion à son nouvel état. Il avait tué le loup qui l'avait transformé, et se retrouvait donc seul, sans guide pour l'aider à appréhender cette mutation contre nature. Il fini enfin par s'y accoutumer, à comprendre que les fluctuations de ses émotions lui permettaient de se retransformer en humain, et que même alors, ses sens s'étaient indubitablement accrus. Quand il eût enfin retrouvé toute sa maîtrise de soi, il retourna une nuit à Lodi. En son absence, Mathilda n'avait pas perdu de temps. Elle avait vendu de nombreux biens des Gallieri, et s'était approprié le pouvoir de son époux, que tous croyaient mort. Elle vivait désormais en despote dans la demeure de son défunt époux, avec l'évêque Gênois à ses côtés, complice de son crime, qui était désormais son confesseur et son amant.
C'en fut trop pour Corteo, qui céda à son désir dévorant de vengeance. Il s'introduisît dans la chambre où Mathilda dormait avec l'évêque, et égorgea l’ecclésiaste sous les yeux de la veuve éplorée. Puis il se transforma en loup et se jeta sur elle, la réduisant en charpie. Sa soif de vengeance apaisée, il incendia la demeure familiale et quitta définitivement Lodi, renonçant à son titre et à ses possessions, n'emportant qu'un cheval, son armure et ses armes.

S'en suivit une longue vie d'errance en tant que Condotierro. Il se rendit d'abord à Florence, où il entra au service de Laurent le Magnifique, puis à Venise, et à Naples. Il combattit les troupes Françaises aux côtés des Napolitains, puis en 1499, intrigué par les rumeurs qui abondaient autour de ce dernier, il entra sous les ordres du jeune Cesare Borgia, fils du Pape et Capitaine Général de l'armée pontificale. Il fut littéralement subjugué par le charisme et le génie de ce jeune chef qui rêvait d'unifier l'Italie. Aussi, malgré son aversion pour la religion, Corteo demeura fidèle à ce seigneur de guerre. Même quand Alexandre VI mourut et que Cesare fut emprisonné en Espagne, Corteo le suivit, et aida à le faire évader. Il demeura à ses côtés jusqu'à la mort de Cesare à la bataille de Viana, en Navarre. Il erra alors pendant deux ans dans la péninsule Ibérique, semant ici et là de sombres histoires paysannes au sujet d'un Loup dévorant bêtes et hommes les nuits de pleine lune. Puis, après avoir vendu ses services à différentes personnalités Espagnoles et Portugaises, il retourna vers son Italie natale, où il demeura pendant une dizaine d'années, changeant régulièrement de nom pour éviter tout soupçon sur sa longévité.
En 1515, il participa à la célèbre bataille de Marignan, du côté Français, puis se rendit en France où il servit François 1er jusqu'en 1532, date à laquelle il simula sa mort pour s'engager ensuite comme corsaire sous le nom de Emilio Fagantino. Il voyagea alors en Mediterranée, découvrit la Grêce, l'Egypte, la Turquie et la belle Constantinople, et s'aventura jusque Jérusalem.

Il erra ainsi sur les mers pendant une cinquantaine d'années, avant de revenir en France où il reprit son nom d'origine pour se faire connaître en tant que mercenaire, et où il officie encore en tant que tel. Bien qu'ayant renoncé à son titre de Comte, et n'ayant de toute façon aucune preuve de son rang, il a accumulé au cours des années suffisamment de richesses pour vivre plus que décemment. Il reste mercenaire, plus tellement pour l'argent, mais pour le goût du risque, du combat et de l'aventure.

Malgré les batailles, les guerres, les trahisons, les longues années passées à sillonner l'Europe, à commander des troupes et semer la mort pour de l'argent, et à terroriser les campagnes pas ses actes de lycantropie, il garde au fond de son cœur le visage de sa Juliana, et redoute plus que tout le jour où, avec le temps, sa mémoire lui fera défaut, et où ce beau visage s'estompera dans l'océan brumeux de son passé.



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MessageSujet: Re: Corteo Gallieri, condottiero fléau de Dieu.   Corteo Gallieri, condottiero fléau de Dieu. EmptyMar 15 Nov - 19:04

Bonsoir et bienvenue parmi nous =)

C'est une bonne fiche, j'ai bien aimé l'histoire, tu narres bien les évènements et ton personnage me plait, son caractère est intéressant ; Je te valide bien sûr, en tant que Bourgeois dans le groupe des Bourgeois /Lycans.

Tu peux créer ton journal de rp et tes relations et liens, puis aller jeter un oeil aux demande de rp, ainsi que de logements.

Amuse toi bien en notre compagnie ~
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