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| Eris Phelian Gilmore ~ Coeur Brisé | |
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Elvira K. MorriganMessages : 111 Date d'inscription : 26/07/2011 ~Etat civil~Race :: Lycanthrope, mordueVos Rps en cours : Vos Relations: | Sujet: Eris Phelian Gilmore ~ Coeur Brisé Sam 28 Juil - 20:02 | |
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feat. Irisviel Von Einzbern de Fate/Zero | ♔Lycan♔ ♔Nom :Gilmore ♔Prénom:Eris Phelian. Phelian vient de Phelan ou Faolan, le "petit loup". C'est à l'origine un prénom masculin et qui était celui désigné, si Eris avait été un homme. Ses géniteurs l'ont tout de même conservé et féminisé car, ils trouvaient que ce prénom lui allait tout aussi bien. ♔Age Apparent:22 ans ♔Age Réel :Elle ne compte plus les années qui passent ~ ♔Sang-Pur/Mordu/Infant :Sang-Pur ♔Date et Lieu de Naissance : ♔Orientation Sexuelle :Hétérosexuelle ♔Nationalité:Ecossaise ♔Groupe :Lycans/Nobles ♔Classe Sociale:Guerrière et Gérante de la plus célèbre taverne de Londres
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Tombe doucement petit flocon. Virevolte. Entame cette danse si enchanteresse et séduisante. Avec délicatesse, cette vision nous apaise. On la voit cette pureté, on voudrait tant la toucher. La comprendre…Pourtant, le secret est unique et n’appartient qu’à la seule mère nature. Elle est belle cette génitrice, généreuse. Elle possède le savoir d’un monde qui s’égare. Trop ont déjà oublié la beauté originelle de ce monde, les yeux inondés d’étranges nuages. Les cœurs corrompus ne sont cependant pas tous perdus. Il suffit d’un peu de temps, de patience et d’écoute. « Ferme donc les yeux, étranger. Ainsi, les yeux clos, tu pourras comprendre. » C’est ce que nous chuchote cette mère aimante. Elle veut nous venir en aide, elle souhaite simplement que l’on comprenne. Le souffle du vent vient caresser le visage de l’inconnu et soudain, son cœur s’apaise. Il l’entend cette nature, elle lui murmure tous ses secrets, elle lui montre la vérité. En chaque être, la mère a placé le don de pouvoir assimiler tout ce que l’on pensait ignorer. Alors, l’étranger veut savoir, il s’avance et suit le chemin que lui tracent les flocons et c’est là, qu’il comprend. Elle est allongée sur une épaisse couche de neige. Dans cette scène, tout n’est que pureté. Elle est endormie et il n’ose venir troubler son repos. Elle semble si sereine, son visage est impassible. Sa peau sans imperfection semble si délicate. Elle se fond dans cette neige, car sa blancheur est si proche des petits cristaux. Son corps est gracieux, plaisant. Ses membres sont d’une finesse remarquable. Sa chevelure interminable est soyeuse, les lueurs de l’astre solaire lui donnent mille et un reflet. On se met alors à douter de leur teinte, pourtant nul doute possible ils sont aussi blanc que la neige. Elle est en harmonie avec ces lieux. Serait-on fou de croire que c’est un ange ? On les imagine déjà ses ailes, toutes aussi claires que cette cascade opaline qui s’étale autour d’elle, comme les rayons du soleil. Oh oui, on les voit déjà se déployer, gigantesques et majestueuses. L’envie nous prend alors, de nous approcher. On aimerait la toucher, lui parler. Le manteau neige s’affaissent sous les pas, produisant un léger son, presque inaudible et qui pourtant, suffisant pour alerter la belle endormie. Soudainement, elle ouvre les yeux et sous la surprise l’inconnu s’arrête. C’est si étrange, on pourrait se perdre dans cet océan vermeil. Le doute n’est plus permis. C’est désormais une certitude, elle ne peut être un ange. Les grands gardiens ailés ne peuvent posséder pareil regard ardent. La pureté de cet être semble fanée, pourtant les yeux ne peuvent se détacher d’elle. Cette jeune femme est ensorcelante. Il est nullement possible de douter de sa beauté. Oh, bien des hommes ne le trouveraient pas à leur goût, mais on peut lui enlever ce charme naturel? Là, d’un simple coup d’œil on se sent perdu. Elle est à la fois fascinante et inquiétante. Oserait-on prendre le risque de passer outre cette méfiance ? Nul ne peut ignorer que les apparences fallacieuses. C’est alors, avec lenteur et élégance, qu’elle se relève. Son apparence frêle est élancée. Si délicate sous le regard. On aurait envie de la soutenir de peur qu’il ne lui arrive malheur et pire, qu’elle se blesse. On se l’imagine faible et proie de nombreux prédateurs, pourtant, elle ne fuit pas le danger. Elle reste immobile. Silencieuse. Son regard semble juger. Elle est intimidante, non pas agressive, mais il ne semble pas possible de se montrer irrespectueux avec elle. On voudrait presque la provoquer, par simple curiosité maladive. De son visage bien que doux, on perçoit une méprise du monde. Que doit-on réellement penser ? Est-elle réellement la proie ? La tromperie semble tellement évidente, il n’y a qu’à observer sa tenue. Loin de tout stéréotype et de toute idée préconçue concernant les femmes, elle ne porte pas de robe. Non, pantalon et chemise la vêtissent, et c’est presque un regret. On aurait souhaité l’observer dans une robe de soie, peut-être aurait-elle été une véritable princesse. Pourtant, les occasions de l’apercevoir ainsi habillée sont presque nulles. C’est une femme discrète, elle n’aime pas être remarquée, toutefois les regards se tournent souvent vers elle. Ce sont ses habitudes vestimentaires qui lui valent cette curiosité la concernant. Ce que la nature peut être mal faite, toutefois, elle semble juste avec chacun. La beauté n’est que subjective, malgré tout on en trouve une once en chaque être. Elle peut se montrer bonne ou mauvaise, car enfin, tout beauté n’est pas un don, mais parfois une malédiction. L’animal lui aussi, au même titre que chaque être vivant, possède cette beauté naturelle. Là, sous ces yeux encore émerveillés qui la mirent avec une soif inassouvie, cette charmante créature se met soudain à changer. Un monstre ? Non, on n’ose y penser. Est-il possible de voir l’innocence dans ces yeux cramoisis ? Les crocs sont bien là, inquiétants et acérés, mais ce regard semble tendre. Protecteur. Son pelage ne s’éloigne en rien de la neige immaculée, on aurait envie d’y plonger mains et visages. Il semble si doux. Cet animal après tout, si bien assortis à ces flocons dansant, ne nous veut peut-être rien de mal. Lentement, sa tête se baisse. Il s’éloigne marquant le sol de son pas menaçant. C’est le cœur serré qu’on l’observe s’éloigner. Une douleur semble pouvoir se transmettre d’un simple regard. Quel ce mal qui la ronge ? Tant de questions. Tant de doute. Elle demeure distante, cette beauté sauvage.
L’hiver, période enchanteresse. Saison lumineuse, où le monde semble s’éclairer d’une lumière nouvelle. L’âme s’essouffle peu à peu pour mieux s’animer, reprenant pureté et douceur. Mais la belle, telle une épreuve à surmonter, est aussi si dure que reposante. Les oiseaux demeurent silencieux, les ours hibernent et les feuilles tombent. Toutefois, la flamme est toujours là, vacillante, elle est capable de brûler. Oh, il saurait vous aimer ce violent vent de fraicheur, mais ne pas s’en méfier serait idiot. Seuls les ignorant préfèrent oublier que partout où la beauté a été semée, les épreuves ne sont plus éprouvantes à surmonter. Aussi apaisant soit-il, l’hiver demeure un danger. La neige symbole de cette saison opalescente, incarne à elle seule le risque qui s’établi si tôt s’est-elle posée sur le tapis de feuilles aux couleurs chaudes et de terre humide. N’avez-vous donc jamais ouvert les yeux ? Observez donc. Lentement le flocon vient se poser sur la main, diamant de pureté et de fraicheur, il semble si doux. Pourtant, très vite il se transforme, pour finir par laisser place à une simple goutte d’eau. Ce changement n’est qu’un miracle de la nature, en son cœur se cache un secret. Nul n’aurait pu penser que cette petite chose, dont la beauté est incomparable, puisse être nuisible. Toutefois, la généreuse génitrice n’aurait pu accepter qu’une part de sa création soit démunie d’une protection. Au même titre que chaque être vivant peut se défendre, chaque parcelle de la nature sauvage possède son don et peut être dangereuse pour l’homme. Vous le sentez n’est-ce pas ? Ce petit flocon qui mord la peau. Il est si glacé…Et cependant capable de brûler. La peau en porte encore les traces, elle rougit peu à peu et s’attarde ainsi quelque instant. Peut-être n’est-ce qu’une simple vengeance pour lui, petit joyaux éphémère…Ainsi, l’espace d’un instant, il laisse une trace plus profonde en ce monde. Cette jeune femme débout, face à cet inconnu, ne diffère en rien du flocon. Bien des mots nous traversent l’esprit à sa rencontre, mais nul ne saurait tomber juste. Fourbes sont les yeux, ne rendant les pensées que plus mystifiantes. La douceur de ce corps, la profondeur de ce regard qui semble seul juge en ces lieux. Impériale, aucun mot n’a besoin de franchir ses lèvres pour que l’on comprenne ce qui traverse son esprit à notre égard. Nous sommes des étrangers. De simples curieux, bien trop dérangeants pour elle. Elle semble lasse, comme le viel homme qui a travaillé pour gagner sa vie et qui l’attend à présent, cette faucheuse cruelle et sans pitié, qui viendra bientôt lui retirait le seul cadeau qu’on ne pourra jamais lui enlever…La vie. Mais elle si jeune, est-il possible de penser qu’en si peu d’années joie et vie aient pu quitter un esprit ? Peu à peu, son regard se fait pesant. Dérangeant. Mais il ne s’attarde plus longtemps et finit par s’égarer au loin. Cet océan vermeil se fait si triste. Il est empli d’une nostalgie incompréhensible, comme si la vie avait déjà été trop longue, trop dure. Comme on peut apercevoir les chimères dansantes dans l’âtre d’une cheminée, c’est devant ses yeux que l’on voit éclore les fantômes d’un passé longtemps perdu. On arriverait presque à ressentir le regret. L’inconnu l’ignore, mais sa blessure est encore béante. Il est de ces maux que ne temps ne saura effacer. Des cicatrices éternelles, qui l’espace d’une vie et d’un souffle, ne cesseront de torturer l’âme d’un être. Le chagrin est délicat à expier. Seules les larmes qui perlent lentement sur les joues, semblent capables de soulager ce cœur tourmenté. Elles apaisent. Elles sont l’espoir, qui malgré les années ne peut s’effacer. Perspective qu’un jour enfin, on pourra oublier et recommencer. Cependant, le gout amer d’une vie arraché, est bien trop présent. La vengeance, même accomplie, n’a su redonné sourire et vie à cet être si profondément blessé, dont les pensées s’attardent sur les esprits d’un lointain passé. La tristesse ne semble pas seule dans ce cœur fragile, elle cohabite avec une alliée dangereuse et dont le cruauté ne porte aucune limite. Tout comme le flocon qui s’éteint, la colère emplie l’âme de cet ange. Presque inaccessible, seul les téméraires pourraient se risquer à la provoquer. Fatale erreur que voilà, car bien que les apparences montrent ce petit bout de femme comme un être agréable et sensible, elle n’en demeure pas moins agressive. Si le flocon peut brûler, si le loup peut chasser, elle est ce feu sauvage qui en s’emportant pourrait bien vous consumer. Gare à celui qui s’imaginerait pouvoir se comporter de manière indécente, c’est bien sa vie qui pourrait lui en coûter. Elle se fait souvent discrète et silencieuse, comme la neige qui tombe peu à peu et peut être aussi douce que le nuage qui s’éloigne guidait par une brise légèrement. On ne l’entend pas souvent, mais cette flamme qui l’anime parfois, n’est pas dénuée de sens moral, qui est à ses yeux essentiel. Elle ne saurait être injuste, car c’est à tort que l’on s’est autrefois montré arbitraire avec elle. Peu d’âmes l’entourent, car elle semble fuir les autres, préférant demeurer seul et préservant ainsi ses souvenirs secrets et si chers à son cœur. A dire vrai, elle n’apprécie guère les nobles, pas plus que les clients de sa taverne, qui ne reste pour elle, qu’une simple distraction. Une protection. Peut-être a-t-elle tout simplement peur. Les liens et l’attachement l’effraient. Elle semble fuir cette réalité blessante qui la bride et l’ennuie. Mais enfin, peut-on seulement reprocher à l’inconnu d’être désintéressé ou inquiétant face à cette femme à l’aura puissante ? Que cherche-t-elle ? Qu’attend-elle ? Peut-être que dans le fond, elle ne le sait pas elle-même. Malgré les années, malgré le savoir acquit…Elle est perdue. Tristement seule, parfois incomprise. Petite flamme ardente, qui s’épuise au fil du temps et que toutefois, ne manque pas de se réveiller parfois, brûlant d’un feu nouveau. Tout aussi douce que cruelle, elle est secrète. Différente. Elle est maudite. Sauvage. Elle est la femme. Elle est la bête. Le loup. Elle est Eris, guerrière au cœur brisé aussi capricieux qu’un brasier, aussi doux que l’écume des mers. Elle est cet esprit lunaire, cet esprit songeur.
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| | | Elvira K. MorriganMessages : 111 Date d'inscription : 26/07/2011 ~Etat civil~Race :: Lycanthrope, mordueVos Rps en cours : Vos Relations: | Sujet: Re: Eris Phelian Gilmore ~ Coeur Brisé Sam 28 Juil - 21:31 | |
| Biographie : Elle était belle. Elle aurait du être mère. Elle aurait du être heureuse...Mais la voilà souillée.
C’est comme un chuchotement qui vous souffle doucement à l’oreille, il se glisse en vous comme un présent. Un don du ciel. Certains ne sauraient l’accepter et préférent l’oublier, d’autres voient en lui une libération. Un air nouveau semblable à une des plus belles cascades, à la fois puissant et suffocant. Dans un premier temps, on se sent perdu, étourdi, puis l’avenir devient une évidence. On souhaite tant le voir s’accomplir, car il est si fort ce sentiment, si ensorcelant, que l’on ne pourrait garder un esprit sain. On se sent vivre d’un souffle nouveau, qui pourrait nous emporter au-delà de nos espoirs les plus secrets. Les plus fous. Il est beau ce sentiment, il est tendre cet amour. Il nous transporte.Elle était si belle, Moira, drapée d’une robe blanche immaculée et d’un voile immensément long. Oh, nul être n’aurait pu douter de cet amour sans bornes qui l’animait soudainement, elle, si malade et qui avait longtemps vécu dans l’ombre. Elle avait grandi dans une famille nombreuse. En tout et pour tout, ils étaient neuf dans la grande maison familiale. Ses parents, des nobles très réputés, avaient toujours souhaité avoir beaucoup d’enfants. La mère avait toujours voulu des garçons, mais lorsqu’elle fut enceinte du septième enfant et, alors que la demeure se remplissait peu à peu de garçonnets et autres jouvenceaux, elle se prit à espérer une petite fille. Le sort lui fut favorable. Un soir d’automne, elle mit au monde une petite fille. Dès qu’elle put enfin l’apercevoir, une immense sourire illumina son visage encore tordu par la douleur et ruisselant de transpiration. Pourtant, il ne lui fallut que peu de temps pour comprendre que quelque chose n’allait pas. Là où les cris auraient dû retentir, seul le silence pesant s’élevait dans l’air ambiant. Ou était les pleurs du nouveau-né ? Respirait-il seulement ? Le médecin insista, mais bientôt son visage se décomposa. C’est alors, dans un dernier espoir, que la mère prit l’enfant dans les bras. Elle le berça et se mit à chuchoter, soudainement des pleurs se firent entendre. Oui, elle était en vie, la douce Moira, grande rêveuse au souffle saccadé. Sa maladie l’avait souvent séparé des autres et quel enfant, n’envie pas ses frères et ses sœurs, de pouvoir courir dans la neige et se rouler dans les feuilles. Depuis sa naissance, elle avait sa propre malédiction. Elle la rendait fragile. On la priva de bien des plaisirs, pensant que quelques cadeaux sauraient apaiser son cœur. Mais, ce fut tout le contraire. Chaque geste, chaque présent, ne la rendait que plus envieuse, alors elle se donna un objectif qui lui serait propre. Adulte, elle serait une femme des plus instruites. Elle aurait des connaissances sans pareilles. Elle serait libre et autonome. Malheureusement, l’avenir que les parents lui avaient choisi était tout tracé. Nul espoir, nulle liberté. En tant qu’unique fille de cette grande fratrie, Moira serait l’enfant à marier. Durant des années, elle fut éduquer dans l’idée qu’un jour elle aussi, serait une maitresse de maison et une mère. Pourtant, elle ne put oublier cette envie de conquérir livres et cartes. Cette envie d’instruction, bien différente que celle que l’on lui prodiguait. Pendant longtemps, elle cherche et elle finit par trouver, dans un recoin de la grande maison, un bureau qui s’offrait à elle, comme une bibliothèque aux merveilles. Elle sut y dénicher cartes du monde et livres d’histoires, mais ce qui attira le plus son attention, furent les livres de cuir qui réunissait différents contes. Prise d’une nouvelle curiosité, elle dévora chacun. N’était-elle pas comtesse ? En tant que noble, elle était presque une princesse et, elle aurait tant voulu le voir ce beau jeune homme, qui saurait l’aimer pour ce qu’elle était. Alors, des nouveaux espoirs germèrent dans son esprit, de nouvelles idées. De nouvelles envies. Puis, vint se jour qu’elle redoutait tant. Oh, elle n’aurait pu l’oublier, tant il occupait son esprit et l’entravait, mais contre toute attente, il fut d’une agréable surprise. Qui aurait pu résister à ces cheveux si blonds qu’ils paraissaient presque blancs ? A ces yeux d’un bleu exceptionnel ? Tous deux parlèrent longuement et elle revint chez elle, l’impatience nichant en son ventre, l’espoir en son esprit, qu’un jour nouveau, ils seraient mariés. Oui, ils s’aimaient tous deux, d’un amour véritable. Rares étaient les nobles qui, bien que leur mariage fut arrangé, trouvèrent l’un en l’autre, ce qu’ils avaient toujours souhaité. Cependant, ce fut le cas. Rien n’aurait pu séparer Moira de son duc, hormis la mort. Ils ne voulaient pas avoir d’enfants, parce que les bambins auraient entachés cette idylle qui les unissait. Toutefois, un matin, ils ne purent ignorer ce nouveau ventre bien rond, qui grandissait peu à peu. Résignés, ils finirent par accepter ce futur enfant, nul doute…Il l’aimerait, bien qu’il ne fut pas désirer, car enfin il serait l’alliance d’un amour puissant et sans limites. Tant de souvenirs. Ils revenaient à Moira peu à peu, car l’heure approchait et bientôt, une vie nouvelle allait rejoindre ce monde. La souffrance fut encore longue et douloureuse, tandis que la jeune femme sentait que son souffle était court, peut-être que cette journée serait celle qui l’arracherait à ce monde. Non, cela ne pouvait être vrai. Elle avait encore tant d’amour à donner, oui, cet enfant elle l’aimerait. Des pleurs retentirent et on lui annonça que c’était un garçon, mais alors que l’on pensait le travail achevé, une deuxième pointant le bout de son nez. Après avoir lavé les enfants, on fit entrer le père tout excité. Ils prirent tous deux un enfant dans les bras. «- Des jumeaux…Mais c’est fabuleux ! - Je te laisse le choix du nom. - Il sera fort comme son papa, ce petit Allen. - Et je suis certaine qu’Eris, aura ta bonté.»
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