Lizbeth C. ValentyneMarquiseMessages : 143 Date d'inscription : 25/10/2011 ~Etat civil~Race :: Vampire ~ InfantVos Rps en cours : Vos Relations: | Sujet: ○ Lizbeth's Links ○ Jeu 3 Nov - 18:36 | |
| Lizbeth C. Valentyne Infant Vampire - Marquise Quelques Icons En libre service ♥
Tel un sublime délice... ♠ Fiche de présentation ♠ Journal de Rp ♠ Valentyne ♠ Lizbeth, Catherine ♠ Hybride ; Mi-humaine, Mi-vampire ♠ Physiquement 20 ans ♠ Marquise ♠ D'origine Franco-Anglaise, elle vit en France et sert donc sa Majesté Charles de France (un peu à contre cœur) ...je te savoure avec supplice. ♥
Les connaissances ne sont rien de plus ♠ Quelques amis mais pas trop...Les relations sincères ne sont pas sa tasse de thé. ♠ Quelques hommes tombés sous son charme qu'elle s'amuse à manipuler peut-être ? ♠ Des ennemis...Avec un tel caractère il était inévitable qu'elle en ai un nombre conséquent. ♠ Un compagnon de chamailleries...L'amour vache c'est fun ~ ♠ Des relations particulièrement...Indescriptibles. ♥ que de divines occupations éphémères.
Dernière édition par Lizbeth C. Valentyne le Sam 4 Aoû - 14:59, édité 5 fois |
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Lizbeth C. ValentyneMarquiseMessages : 143 Date d'inscription : 25/10/2011 ~Etat civil~Race :: Vampire ~ InfantVos Rps en cours : Vos Relations: | Sujet: Re: ○ Lizbeth's Links ○ Jeu 3 Nov - 18:37 | |
| Lizbeth C. Valentyne Et ses relations ♥ ♥ ♥ ♥ ♥
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Mezariel D.de SaintLouis C'est au travers de tes yeux que j'ai compris le sens du mot amitié. A être si différents, ils se ressemblent presque. Il y a d’un côté ce jeune homme dont le sang humain est mélangé à celui d’un loup, et de l’autre cette jeune femme dont le sang humain est mélangé à celui d’un vampire. Il y a lui, le calme et la sérénité, et il y a elle, agitée et joueuse. Deux être qui n’étaient pas fait pour s’entendre, voire peut-être même, se rencontrer. Mais le Destin, semble-t-il, devait probablement être aussi joueur que la jeune femme, aussi a-t-il fait leurs chemins se croiser l’espace d’un soir, d’une réception. Savait-il seulement ce qu’il en résulterait, de faire se croiser deux chemins qui n’auraient jamais dû l’être ? Voilà qui est difficile à dire, car de ces deux êtres nés dans des clans opposé est né un attachement sans égal, une amitié sincère comme Lizbeth n’en a jamais connu, et même une certaine additivité l’un pour l’autre. C’est un fait qu’ils ne peuvent –et ne veulent- nier, ils s’aiment et ne peuvent vivre sans l’autre. Oui, c’est un amour purement amical et platonique qui lie ces deux êtres dans une relation qu’on ne peut exprimer avec des mots. Il est son meilleur ami, ou du moins, c’est là le rôle qui se rapproche le plus de ce qu’il est aux yeux de la Rose Blanche. Car il est en fait bien plus que cela, bien plus que les mots ne saurons jamais l’exprimé.
Melissande A. Sullivans L'amitié extrème et délicate est souvent blessée du replis d'une Rose. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte. Texte.
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Flora de Gévaudan Ce n'est pas en disant que tu m'es utile que je suis dans le vrai, mais en disant que tu m'es précieuse. Les caprices, parfois, peuvent engendrer quelques retours bénéfiques. Car un caprice, c’est bien là la seule façon dont l’ont aurait pu qualifier Flora de Gévaudan aux premiers abords. Une jeune vampire dont le sang était souillé de la même façon que le sien propre, mais que la vie ne semblait pas avoir épargnée ; c’est en croisant son regard que la marquise avait compris cela. C’est également en croisant son regard que son petit caprice est venu se forcer dans son esprit complexe ; elle la voulait. Incapable de trouver une autre raison, ou même une quelconque explication c’est grâce au marquis de SaintLouis qu’elle sut sortir Flora de la fâcheuse situation dans laquelle elle se trouvait, et la retrouver part la suite. Depuis, elle a pris la jeune demoiselle sous son aile et a su s’accoutumer de son caractère pour le moins déroutant. Sa maladresse et ses faux pas, elle sait les lui pardonner, car elle comprend que malgré tout elle sait faire au mieux. D’une bien étrange façon, peut-être même sans réellement le savoir elle-même, petit à petit elle a su attendrir celle qui est sa maîtresse, et la toucher assez pour qu’elle se soit attachée à elle.
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