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 Dust V. Ad Nostra

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MessageSujet: Dust V. Ad Nostra   Dust V. Ad Nostra EmptyDim 1 Mai - 15:42

Dust V. Ad Nostra


Identité

Nom : Ad Nostra
Prénom: Dust V.
Age Apparent: 20
Age Réel : 20
Sang Pur ou Mordu : Infant
Date et Lieu de Naissance : Inconnu //
Orientation Sexuelle : Hétéro
Nationalité: Franco-Anglais.
Groupe : Vampire
Classe Sociale: Simple Majordome de Miss Rosenbach.

Description Physique

Étant actuellement maître de deux personnalités, il me serait difficile d’en décrire une sans empiéter sur la seconde. Nous allons cependant essayer de bien répartir la chose. D’une certaine beauté, ce visage bien dessiné semble relativement pâle, non pas usé par un travail extérieur ou un manque de fatigue, mais blanc comme neige, démontrant la bonne santé malgré le fait que cela soit plutôt signe de carence dont ne sait trop quel ingrédient. Ce visage est plutôt expressif, se tendant dans des sourires agréables – voir sadiques -, ses yeux se plissant avec facilité et habitude, si ces cheveux ne tombaient pas sur ces derniers, l’ont pourraient surement y voir deux pupilles rougeâtres sciemment dessinées, malgré cela, il semblerait qu’il en est été décidé autrement. Entouré de la couleur ébène de ses sourcils et cils, ses yeux d’une teinte sanguine translucide sont de pures merveilles, un tel gouffre de sentiment étant fort rare, l’on ne peut nier la puissance de ses yeux, car ils sont aussi la cause de son second aspect, moins, ses yeux se fendant à la manière des ophidiens, l’on ne peut nier que son visage à l’aspect doux, devient d’une dureté surprenante, et ses yeux, anciennement véritable Phébus de sentiments, deviennent glacials et inquiétant, si tant est qu’il soient accessibles de vue. Des yeux de prédateurs, tout comme ses sourires, ironiques ou en coins, ceux-ci ne représentent plus que du malsain, ce qu’il est à priori. En outre de la variation de ses yeux, l’on peut noter une autre modification physique, celle de ses dents, celles-ci se faisant subitement plus pointues, sans pour autant s’allonger, mais prenant un profil certains pour pouvoir trancher de la chair ainsi que du muscle. D’une blancheur teintante en toute occasion, elles ne semblent pouvoir rester couvertes de sang, absorbant d’une volonté propre le sang pouvant les recouvrir, faisant un effet de soif constante pour l’homme lors de la variation de son physique, lorsque qu’il quitte l’état de majordome pour devenir le corbeau noir. Sa chevelure encadre son visage, celle d’un noir quelque peu éclatant, s’approchant d’une carnation de jais. Une frange rebelle venant sans cesse dissimuler son visage.

Incube à l’allure élancée, corps filiforme sans réelle carrure, c’est un homme sans force, possédant tout de même une musculature que tout adolescent pratiquant le moindre travail physique peut facilement surpasser, l’on peut donc deviner qu’il ne possède aucune résistance, ce qui est purement vrai. Axant son corps dans la vivacité et l’endurance, il est d’une souplesse étonnante, se déplaçant avec une élégance rare, sans doute hérédité des manies de son père, qui était, notons le bien, un aristocrate reconnu. L’on ne peut pourtant nier que sa peau reste lisse et parfaite sur tout son corps, malgré des cicatrices légères. Il a vécut, il a aussi combattu, comme l’affirme les stigmates parcourant l’échine de son dos. Une cicatrice parcourant la longueur de son torse, ainsi qu’une autre, plus en forme d’un symbole, représentation d’une croix gothique sur sa cuisse droite. Il possède aussi des brûlures, voulues, marquant son affinité vers l’endurance. Dans son dos s’élance un long et large tatouage partant du bassin au cou, représentant une fleur de lys entourant un coeur dans les styles calligraphiques japonais. Ce genre de dessin qui vous transporte. Ce tatouage est tout jeune et à été fait non pas sans raisons. Vous en saurez plus ultérieurement.

Fraîcheur et propreté, deux choses très importantes pour l’homme, complètement imberbe, il n’aurait toléré la moindre présence de poils sur son corps, les prenant sans doute en horreur. Il est toujours propre, évitant de se salir au possible, soignant autant son habit que son corps, on ne peut nier une certaine marque de coquetterie masculine lorsque l’on constate ses ongles manucurés et coupés avec soin. Cette coquetterie se faisant tout autant remarquer dans sa tenue sans le moindre plis et sans la moindre imperfection, composée d’une magnifique chemise bien souvent hors de prix à laquelle s’ajoute par-dessus une veste de style dandy et noir descendant jusqu’à ces chevilles, celle-ci comportant deux poches sur les côtés En descendant plus bas, l’on ne peut que constater un pantalon de toile noire, finement coupé ainsi que des chaussures cirées. Une montre de grande valeur sentimentale garnissant sa veste lors de ses voyages, et de ses siestes, l’on peut constater la présence d’une montre à gousset à la chaîne argentée. Tenant ce précédent pantalon, une double ceinture blanche ornée à sa boucle d’une fleur de lys à la signification encore inconnu. Une acquisition bien illégale quand l’on sait que cette dernière fut volée non loin de la cour du Roi de France lui-même. Celui à cause de qui, il est devenu majordome sur faute de son père.




Description Mentale

Homme distingué, l’on ne peut nier ses bonnes manières ainsi que sa présence agréable, pouvant palabrer sur toutes sortes de sujets, que cela soit banals ou importants, il était lors d’une discussion, la pierre dans le rouage, empêchant celle-ci de tourner en rond lors d’une dispute, ou de désarçonner complètement une personne s’approchant d’un secret qui devait être gardé. Discret, il sait faire oublier sa présence, pouvant alors assister ou entendre des choses des plus intéressantes. Il était certes curieux, mais la bienséance lui demande de ne pas presser de questions les gens, mais plutôt d’attendre de pouvoir emboiter les pièces avec une facilité exemplaire. Appréciant le calme ainsi que la politesse, cet homme distingué peut se montrer parfois extrêmement froid quant au moindre rustre pouvant peupler le monde qu’il foule. Sa dignité est presque palpable, cet homme ne possédant visiblement qu’une parole se fait pourtant passer pour un simple civil, trompant les personnes autours de lui. Mise sur la fierté qu’il a d’être sous les ordres d'une contesse qu’il sert, cette dignité n’en est pas moins dérangeante lorsqu’elle se fait sentir dans un moment où une personne tente d’écraser par le poids des mots ou de sa puissance, sa maitresse, ses amis. Le fait qu’il ne tolère que de servir une femme est-elle une marque de perversité ? Bien qu’il possède un grand nombre de vices tels que les jeux d’argents et la cigarette, alcool étant en option, l’on ne peut dire qu’il ait celui des hommes en ligne de vue. En revanche les femmes. Non, il éprouve seulement une certaine fierté à s’occuper d’elles, à les voir se développer, et puis, il n’a jamais servis qu’une femme et ne peut s’imaginer en servir une autre, sans doute un élan de machisme de sa part, ou bien de protection naturel pour le beau peuple des 'gens honnêtes', qu’importe.

En privé, il est plein d’entrain, étonnement rieur et agréable qui font un profond contraste avec son ton guindé lorsqu’il reprend parole face à des gens qui lui sont quelque peu inconnus. Il est aussi ce que l’on peut appeler un homme expressif, suggérant une option sans pour autant la déclarer comme la meilleure, il n’est qu’une bouche, ne se souciant pas que l’oreille l’écoute ou y prenne attention, il se contente de faire ce qu’on lui dit sans par après faire une remarque désobligeante devant le manque de réfléchis d’où découlait une décision hâtive et fausse, se contentant de réparer les pots cassés par après. A noter que cet homme à un charisme assez impressionnant bien qu’il soit parfois (souvent) réellement à lier. Il est très expressif comme suscité tant dans les mots que dans les gestes. Respectueux, il traite toute personnes proche de lui comme il se doit, partant du principe qu’ils sont tous égaux au sein de la même famille, le dit maître des lieux ou jardinier compris, l’on ne pourrait pas se douter que ce simple majordome pourrait posséder une volonté d’esprit aussi forte, voir même une quelconque puissance, ce qui fait bien sûr son secret. Sous cette enveloppe fluette se dissimule un homme à la grandeur d’âme transcendant celle de l’humanité, il ne se voit pourtant pas pourvu de la Sainte Mission de guider l’homme vers la lumière, de le forcer à voir celle-ci pour la prendre à pleine main, non, il se contente de faire briller l’astre effervescent et d’écarter les bras de la Sorgue, plaçant l’évidence d’une façon détournée face aux yeux de la personne qu’il souhaite manipuler. Car là est sa nature, un manipulateur, sous ses beaux sourires se cache bien des choses qu’il se garde de révéler par ce qu’il appelle le secret professionnel. Il n’en est pas moins un être, non, deux êtres en ce même corps, s’étant créer le gentil qu’il joue à la perfection comme s’il avait toujours été ainsi, l’on ne peut noter la moindre anomalie dans son comportement, tant son rôle est bien tenu et étudié avec la même perfection qu’il place à la présentation de son corps dans ses habits de bon samaritain.

Étrange et mystérieux, ce sont deux mots pouvant caractériser l’homme lorsqu’il révèle sa vraie nature, ne parlant sans doute que par énigme, il ne semble vouloir donner une preuve tangible de ses paroles, les dissimulant sous des faux semblants, toujours pour ne pas donner l’impression qu’il était celui qui avait dirigé l’esprit de son interlocuteur vers cette option, car qui ne serait donc pas méfiant face à un majordome ayant la présence d’esprit de pouvoir rediriger un homme, autant par le sang que par la salive.

Bien que la présence d’une sombre entité plane sur son âme, il n’est pas un être faux, il ne ment pas quant à ses sentiments, mais préfère les dissimuler dans des phrases prenant des tournures tant complexes qu’elles perdent son protagoniste. Son sourire sera toujours vraie, que ses dents soient pointues ou non, la puissance sentimentales visible dans ses yeux est toujours vraie, que ses pupilles soient fendues ou non, car il est un homme qui ne peut vivre via le mensonge, car de sa loyauté et de son honneur dépendent autant sa place que sa vie, car il sait avoir besoin d’autrui, sinon il ne pourrait que sombrer dans les vices qu’il encourage à nettoyer de la surface d’un monde où l’onirisme et le tangible ne pourront que se rejoindre.

Grand utopiste, la tête dans les nuages dans ses moments de solitude, il ne peut nier posséder une colère en lui, bouillonnante comme une nappe de goudron que l’ont chaufferaient, aussi poisseuse que celle-ci, il ne peut nier qu’il a peur de ce lègue de sa famille, cette envie du sang dès que celui-ci est présent, ce besoin d’en faire couler encore plus, car la nécessité n’est pas de le boire, mais de le voir couler et de prendre plaisir à le faire couler toujours plus. Cette violence qu’il tente toujours d’enfermer à double tours dans un coin de son âme ressurgit dans les moments les plus inopportuns, le laissant souvent par après dans un état de détresse réclamant tendresse tel un chiot auprès de sa mère après avoir été vaincu par un adversaire qu’il avait considéré comme inférieur. Car sur ce plan, malgré le fait qu’il joue sans honte avec les sentiments d’autrui, il n’en est encore que novice dans la maîtrise des siens, bien des choses sont encore à apprendre pour cette homme qui veut créer pourtant un Paradis Terrestre. Cela dit, ce qu’il le rend le plus hystérique, serait son propre sang. Quelle ironie …N’est-il pas ? Bien que son but final soit celui-ci, il connaît sa faiblesse et le fait qu’il en est inapte pour le moment, de fait, il met tout en œuvre pour que ses supérieurs ne puissent voir autours de lui que le monde qu’il souhaiterait créer, il souhaiterait les retirer de ce monde de haine et de violence, prenant en lui tous leurs soucis, toutes leurs missions, tout ce qui aurait pu leurs laisser le moindre point d’attache, car il est protecteur à l’égard de toute personne le tolérant dans son sillage, il vénère même ces personne au point d’être agressif avec toutes personnes osant leurs faire du tord, voir même meurtrier …Car nul n’a dit qu’il était l’ange parfait … Imaginez seulement si l’on touche à l’un de ses amis… Il est un majordome après tout, et il sait mordre... Que personne n'ose toucher sa maîtresse, car aujourd'hui, il est sa chose.

Chuuut… ~



Biographie

oO Adoption Oo


La sottise, l'erreur, le péché, la lésine,
Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
Et nous alimentons nos aimables remords,
Comme les mendiants nourrissent leur vermine.

Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ;
Nous nous faisons payer grassement nos aveux,
Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux,
Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches.

Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste
Qui berce longuement notre esprit enchanté,
Et le riche métal de notre volonté
Est tout vaporisé par ce savant chimiste.

Qu’importe bien ce qu’il y avait avant, ce qu’un homme errant et violent aurait bien pu faire par le passé, car après tout, nulle humanité était présente en lui, il se complaisait à se laisser aller dans les affres de l’envie, du besoin et de l’égoïsme, se laissant déborder par les viles émotions déléguées par son propre sang, déléguée par sa famille qui n’avait eu que pour but de maudire un homme tel que lui, ayant quitté le nid familial avant l’heure, avant de connaître la pleine mesure de ses pouvoirs. Présentement, il ne devait se contenter que du contrecoup, de cette soif qui l’envahissait à la moindre vue d’un homme. Ce n’est pourtant pas pour cela qu’il sautait à la moindre occasion pour couper la gorge de n’importe quelle personne passant près de lui, malgré l’envie le tenaillant. Dans certains cas, il pouvait même se montrer tel le Corbeau, osant laisser mourir exsangue, observant la lente agonie voir même le corps à l’état de charogne de son adversaire, mais à défaut de s’en repaitre, il ne finit que par le laisser là, laissant la nature faire son chemin. Il avait alors 5 ans. Son père venait d'être banni de Paris à tout jamais, il était destiné à devenir un grand Duc, le voilà manant errant, fils des ombres, assoiffé de sang.

Mais cette nuit, oui, car il n’agit que de nuit, là où la sorgue peut occulter les pires de ses méfaits, à ce moment-là déjà, il se dégoûtait petit à petit, ce qui le rendait plus malléable sous bien des aspects. Un baldaquin était porté par des hommes le long de la route sur laquelle il marchait lentement, sa boîte pour son violon toujours posée nonchalamment sur son épaule, il n’était visiblement pas pressé. Les patrouilleurs gardant ce baldaquin étaient visiblement intéressés par l’homme, pas encore inquiet, mais juste circonspect devant cet homme aux habits si beau et à l’instrument aussi cher et précieux alors qu’il marchait tel un vagabond. La chaleur des nuits estivales était plutôt élevée, de telle sorte que la personne à l’intérieur de son baldaquin avait repoussé ses tentures en outre pour pouvoir observer le bord de routes éclairées par les simples lanternes que portaient certains de ces hommes. Glissant sa main d’un mouvement brusque dans sa manche, il ne manqua pas d’attirer les lames des miliciens, offrant en cible son dos sur lequel reposait son apparat que l’on nommera valise dans une boîte visiblement renforcée par des plaques de métal, étant donné que les épées éraflèrent seulement celle-ci.

« Est-ce donc une menace ? »

Dit-il en sortant de sa manche un simple mouchoir de soie blanche, plein de significations, se tournant lentement vers les défenseurs qui avaient agis dans la précipitation, mais il fallait bien le dire, c’était tout ce qu’attendait le corbeau. Sur la défensive, les miliciens restés en retrait commençaient déjà à dénuder leur lame, en effet, rien n’était rassurant chez l’homme qu’ils avaient devant eux, celui-ci commençant doucement à se défaire de sa veste, il ouvrit aussi la boîte de son violon, nullement pressé devant l’inquiétude palpable de ses adversaires, en effet, la situation était ambiguë, il n’avait pas montré le moindre signe de combat hormis la possible menace quand il avait sorti son mouchoir de soie et s’était fait attaqué sans raison. Pourtant, la réponse de l’un des agresseurs ne tarda pas à venir, ce jeune homme orgueilleux qui visiblement, n’avait pas compris la complexité de la situation, finit par prendre la parole d’un ton quelque peu agressif~

« Oui, c’est une menace, nous sommes des menaces pour des vagabonds dans ton genre ! Ta chance n’est que celle du faible car tu n’as même pas répliqué alors que nous t’avons attaqué, es-tu couard petit brigand ? Ou simplement impuissant ?! »

Un silence choqué marqua cette déclaration inutile, un sourire s’allongeant sur le visage du jeune homme qui ne tarda à retirer ses gants, geste qui lui valut des sourires chez ses adversaires, il ne voulait sans doute pas abimer ses beaux habits, le petit dandy pensait donc ses habits trop précieux que pour les risquer dans cet affrontement, pourtant, ce qui se dévoila sous ses gants, les marques qu’il possédait sur le dos de ses mains ne fournit pas matière à rire aux combattants. Laissant doucement couler son courroux en lui, le conduisant jusqu’au bout de ses dix doigts, de ses mains, ils ne tardèrent pas à luire d’une lumière coruscante. Ses doigts se raidissant abruptement dans une douleur évidente pour Dust, celui-ci grimaçant, il s’avança vers les hommes, laissant échapper des râles de sommations dans les airs.

« Venez donc, orgueilleux hommes de loi, venez donc m’affronter, vu que vous êtes une menace pour moi. »

Sa voix doucereuse ne tarda pas à mettre les nerfs à vif du jeune homme un peu trop bavard de l’instant passé, qui en prenant une épée à l’un des combattants, s’approcha à pas vif du précédemment nommé ‘couard petit brigand’ qui le regardait, les mains face à lui, le violon tourné vers son adversaire. Le milicien ne tarda pas à s’avancer vers lui, visiblement, il avait aussi subit un entraînement au maniement de l'épée avant de faire partie de ce régiment d’escorte, observation due au maintient qu’il avait de son arme et surtout due au premier coup porté par celui-ci. Les yeux du corbeau s’agrandirent de surprise lorsqu’il parvient à stopper l’arme avec le dos de son violon, son adversaire possédait une telle force que le jeune Dust se sentait doucement partir vers l’avant, roulant sur le côté pour éviter le prochain coup qui aurait pu lui être fatale, il soupira avant de reprendre sa mine moqueuse, le violon brisé.

« Je n’aurais même pas besoin de me servir de plus que ce que j’ai déjà montré, tu es tellement faible … »

Certes les mots étaient prononcés avec un ton hautain, mais il sentait bien que le combat ne serait pas aussi facile, c’est pour ça qu’il se dirigea immédiatement sur son adversaire, les mains toujours pointé vers lui, esquivant tout simplement la lame de son adversaire, il tenta de plonger son autre main dans le ventre de celui-ci, qui ne se fit qu’érafler. Le silence était tombé, les autres chiens gouvernementaux ne faisaient pas mine de vouloir bouger, jugeant soit qu’il n’en valait pas la peine, soit que l’honneur les empêchaient de participer à plusieurs dans un combat contre une seule personne, quitte à voir un compagnon mourir, sans doute. Alors que les deux belligérants se portaient à l’attaque l’un de l’autre, faisant vœu d’occire son adversaire, car c’était l’envie de tuer qui les guidait par le bout du nez, la Faucheuse leur proposant un brin de son propre pouvoir pour emporter leur antagoniste ; ils furent stopper par une voix, Dust arrêtant la course de l’arme de son adversaire grâce à ldes graviers jetés au visage tandis que sa main jumelle allait chercher une fine lame caché à sa ceinture qui ne porterait sans doute pas au visage du garde étant donné le mouvement circulaire qu’allait faire cet homme. Une voix forte, mais féminine, ayant une petite connotation impériale.

« Il suffit. »

Elle n’avait pas eu à élever le ton, elle n’avait même pas pris la peine de sortir de son baldaquin, se contentant de donner son ordre, les bras des deux hommes retombant immédiatement, même si le jeune Ad Nostra n’était pas aux ordres de cette femme, l’espace d’un instant, dans son esprit, une seule chose revenait : la servir, faire ce qu’elle ordonnait, en devenir l’esclave. Certes, à cette époque, il ne connaissait pas la particularité de cette femme, maitrisant les sons pour pouvoir asservir à sa propre volonté toute personne entendant son ordre, mais de toute façon. Malgré ce pouvoir, il aurait obéit, car cela est dans sa nature de servir, sous un ordre de cette femme, il ne tarda à s’approcher, des épées pointées vers lui, pour que la jeune femme puisse l’observer derrière son voile, il ne pouvait qu’approximativement la voir, son corps disparaissant derrière un rideau du baldaquin tandis que son visage était partiellement dissimulé, il voyait seulement ses lèvres pulpeuses en ce moment pincées par l’agacement. S’inclinant respectueusement, un bras recourbé sur son torse, il ne porta même pas attention aux épées fondant d’un coup vers sa gorge, avant que la jeune femme ne les stoppe d’un geste visiblement agacé de la main. Se redressant comme si de rien n’était, il ne prononça pas le moindre mot.

« Et bien ? Qu’es-tu donc pour stopper mon voyage ? Un vagabond ? Un petit malfrat ? Peut-être un esclave envoyé pour me tuer ? »

Faisant une nouvelle révérence, Dust dissimula un petit sourire avant de se redresser pour fixer la dame dans les yeux, celle-ci s’étant enfin décidée à dévoiler ses yeux d’ambre, son visage fin et magnifiquement dessiné, pourtant, nulle surprise n’apparut sur le visage du corbeau, se contentant toujours de laisser flotter un sourire pouvant paraître, au vue des circonstances, presque niais et moqueur.

« Je ne suis rien de tout ça. Je suis un simple arist... Paysan ayant perdu père et mère. »

Un fin sourire apparut aussi sur le visage de son interlocutrice. Tendant le dos de sa main vers le petit présent, celui-ci ne tarda à prendre sa main dans la sienne avec douceur, la milice présente autours d’eux commençant doucement à trépigner d’impatience, attendant sans doute le moindre faux pas du jeune homme pour le percer de leur armes blanches. Pourtant, il ne fit que déposer ses lèvres sur les doigts de la jeune femme, écoutant d’une oreille attentive les mots de celle-ci, prononcés de sa voix suave.

« Alors, sois donc mon fils … »

La déclaration créa un froid, les gardes figés dans une mine autant surprise qu’atterrée ne firent pourtant rien, sans doute confiants de la décision de leur maîtresse.

« Je serai votre, ma dame. »


oO Education Oo

C'est le diable qui tient les fils qui nous remuent !
Aux objets répugnants nous trouvons des appas ;
Chaque jour vers l'enfer nous descendons d'un pas,
Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.

Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange
Le sein martyrisé d'une antique catin,
Nous volons au passage un plaisir clandestin
Que nous pressons bien fort comme une vieille orange.

Serré, fourmillant, comme un million d'helminthes,
Dans nos cerveaux ribote un peuple de démons,
Et, quand nous respirons, la mort dans nos poumons
Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes.

Quelques mois passèrent dans la paisible maison de cette mère adoptive. Comme un soulagement pour son cœur, il avait vue en elle un amour encore non donné. Il ne savait rien d’elle si ce n’est sa dénomination. Mais il n’était pas là pour la juger, quel droit terrien permet-il de juger un homme ? Seuls les anges peuvent se le permettre, mais encore, l’unanimité est loin d’être respecté. Les diables eux-mêmes tirent les fils qui nous animent, mais cela, il allait s’en rendre compte quelques jours plus tard. Soupirant, il descend les longs escaliers pour arriver à la salle. Parfaitement bien vêtu, il fait grâce à sa mère d’une révérence avant, d’un demi-coup de talon, s’en retourner pour aller en ville. Le jeune Dust, n’y voyant qu’un innocent amour maternelle, était encore loin de se douter qu’il serait bientôt prit dans les flammes éternelles. Celles de la justice. S’envoler bien loin des miasmes morbides de l’aristocratie, boire comme le feu clair le nectar qui remplit les espaces limpides. La mère adoptive elle, voguait dans son manoir, allant ça et là ne sachant visiblement que faire de ces journées. Elle pensait, tout fort, surement en raison de son âge et des maladies infectieuses courantes actuellement en ville, elle levait les poings vers dieu le cœur plein de blasphème avant de, en un soupir, maudire toute sa famille et son mari qui est encore inconnu. Surement pensait-elle qu’il valait mieux mourir plutôt que de vivre de cette dérision. Elle toussait aussi, beaucoup, peut-être un peu trop même. Tant de jurons proférés envers un seigneur que notre jeune Corbeau pensait inexistant. Il lui avait prit son père et sa mère et c’est dans un élan de meurtres à l’amertume sans précédent qu’il s’était mit à renier le créateur. Revenons sur lui. A plus ou moins cinq ans et demi, le voilà partie en ville en quête de quoi manger et boire, de quoi se distraire en attendant le soir pour subir la morosité de sa mère et sa folie meurtrière. Elle le bâtait, souvent, mais il ne disait rien emplit de respect envers cette femme qui lui a offert un toit et une éducation noble. Au marché, il errait sans réel but, à la quête d’un fruit juteux pour se délecter de son nectar. Après quelques minutes de marche, enfin une étable convenable. Portant sa main vers une pomme, il fut coupé par un jeune homme, visiblement voleur, qui commençait maintenant à partir en courant. Sans réelle idée en tête, le jeune corbeau se mit à poursuivre l’ombre qui disparaissait dans la foule, parcourant les rues sinueuses pour finalement arriver à le coincer dans une ruelle. S’approchant lentement de ce jeune, il tendit la main en avant, puis l’autre, signe de son innocence bien que son visage ne trahissait aucune émotion.

« Je l’ai acheté, peux-tu me rendre le fruit d’Adam… ? »

En réponse, une seconde fuite, cette fois-ci jusqu’à ce qu’il semblait ressembler à une décharge géante. C’était la première fois que notre jeune ami mettait les pieds ici. Il se rappelait maintenant que sa mère en parlait souvent comme étant un lieu maudit, où les âmes impurs aiment à venir errer pour tourmenter les honnêtes personnes. Quelle hérésie, le jeune corbeau ne voyait ici que peine et désolation. Il s’était maintenant arrêter de courir pour regarder tout autour de lui, l’air hagard. C’est souvent dans ces moments là, qu’après avoir renié la thèse d’un dieu, même si vous ne croyez absolument pas en quoi que ce soit de divin, vous souhaitez prier. Cette prière fut bien involontaire, c’est face à la mort et à la pauvreté que le jeune Dust mit genoux à terre. Ravalant ainsi l’écume de sa haine, il pleure, se remémorant soudainement tout son passé. Pourtant, sous la tutelle invisible d’un ange, l’enfant déshérité s’enivre de soleil. Tous ceux qu’il veut aimer l’observent avec crainte, ou bien s’enhardissent de sa tranquillité. Pourtant, être capable d’être maître des sentiments d’autrui ne signifie pas savoir faire preuve d’une maitrise irréprochable des siens. Les pleurs montant au ciel en étant la plus grande preuve sur l’instant. Bien des regards étaient posés sur lui maintenant, alors que d’autres ne se préoccupaient pas de lui. C’était la l’âme humaine. Pleines de vices, de dégoûts envers ses semblables, d’hypocrisie. Un vieil homme vint à lui, le relevant tant bien que mal pour finalement l’emmener dans un des coins de cet enfer de détritus pour lui donner de quoi boire. De l’eau croupie. Comment pouvait-il encore être en vie ? Faisant une large révérence à cet homme, Dust s’empressa ensuite de lui quémander par une description, si le jeune homme lui ayant volé la pomme était près d’ici. Souriant, il pointa du doigt à quelques mètres le protagoniste. Sans réfléchir réellement à ce qu’il allait dire, le jeune homme se dirigea vers lui, toujours aussi stoïque mais les yeux maintenant rouges. Il lui demanda alors sa pomme avant d’essuyer le regard agressif de ce jeune homme avant qu’il ne prenne la parole. Inutilement, il ne prit pas la peine de porter les yeux vers lui pour l’écouter, seule la pomme intéressait le corbeau.

Poussant un léger râle de colère, il s’avança vers lui qui semblait ne pas vouloir accéder à sa requête. En réponse, un simple mouvement de recul. Un signe de crainte ou autre ? Soupirant, il portait alors la main à sa ceinture pour y saisir sa lame qu’il pointa ensuite vers le jeune voleur. Il prêta enfin plus de détails à son physique. Il semblait avoir son âge, peut-être légèrement plus, allez savoir. Lui était tout vêtu de blanc, de la tête aux pieds, tandis qu’en face semblait paraître l’ébène. Des pieds à la tête, nous avions face à face l’ange et le démon, en dialogue visuel, chacun tentant de fuir la raison pour discuter posément. Le corbeau avait maintenant perdu patience. Il s’avançait, stoïque, toujours l’arme tendu pour arriver à quelques centimètres de l’autre. Alors qu’il allait prendre la parole sur un ton légèrement plus agressif, il eut pour simple réponse un coup de revers de main sur la sienne, suffisamment violent pour le faire lâcher prise, laissant l’arme heurter le sol dans un léger cliquetis métallique au contact des détritus. Trois secondes passèrent pour que, finalement, en réponse, il lui répondit par un coup de genoux porté au niveau de l’estomac. Ce n’était pas une réelle bagarre, mais bien une discussion par le corps. A ce coup de genoux s’en suivit une réponse au poing, percutant la mâchoire du jeune vampire qui manqua de tomber au sol en faisant tomber son précieux, la fameuse montre qu’il avait reçu de sa défunte réelle mère, pour répondre par un second coup, porté au plexus solaire. Enfin commença une dîtes bagarre ou les coups semblaient bien incompréhensibles. Ce la dura un certain temps avant qu'il, ayant reçu de trop nombreux coups, décida de ne plus riposter. Immobile, au sol, il fixait toujours son adversaire sans le quitter des yeux. Se dernier tendit la main. Le corps entier du jeune homme se crispa, pensant recevoir un nouveau coup, faute de cela, il l’aida à se relever en lui adressant un sourire. Naissance d’une complicité ? Le corbeau lui prit la main, tirant dessus pour se redresser en ramassant sa montre et son arme qu’il rengaina à sa ceinture. Enfin un sourire avant qu’il ne daigne se présenter, rapidement suivit par le jeune homme, visiblement plus fort que lui.

« La pomme, je te l’offre, en récompense de ta victoire… N’oublies pas que tu me dois une revanche… Demain, je t’attendrais au marché. »

Le soleil commençait déjà à se coucher, Il allait être l’heure de rentrer. Tournant les talons, sans autre forme de procès, il rentra. Les vêtements couleur neige tendaient désormais sur le pourpre et la marron, quelques traces de verdures aussi. Ce n’est que ce soir là qu’il se rendrait compte de la folie de sa mère adoptive. Poussant la porte de son habitation nouvelle, il subit une violente gifle, le faisant tomber au sol pour finalement, l’air hébété et surpris, porter sa main sur sa joue. C’était la première fois qu’elle le frappait autrement qu’avec des objets. La surprise était grande, trop pour pouvoir réagir. Tout semblait se bousculer dans sa tête et avant même qu’il ne puisse s’expliquer, il fut traîné par le col jusqu’au bureau où, dans un excès de folie, elle lui fit subir une punition à la ceinture. Comme un fouet, cette dernière s’abattait dans le dos du corbeau qui poussait non pas des cries, mais des hurlements de plaintes et d’excuses. Les vêtements, après ce traitement, étaient devenus haillons, les marques rouges et enflées dans son dos semblaient ne plus vouloir s’arrêter de prendre du volume. Il ne comprenait pas, la raison d’un tel excès de violence n’avait pas été précisée. Il se releva, tremblant, désireux de regagner ses appartements, mais une fois la poignée de la porte atteinte, celle-ci s’ouvrit brusquement ayant pour simple effet de le projeter au sol. Les larmes, bien qu’il ne pleure plus à ce moment, inondaient toujours son visage. L’homme qui venant d’entrer dans le bureau se présenta comme étant de la cour Royale Britannique. Il venait surement, inconsciemment, de le tirer d’une mauvaise passe. Il regagna sa chambre, voisine au bureau, sous les ordres de sa mère, n’ayant toujours pas reçu d’explication sur ce traitement. Lâchant un râle de douleur en s’allongeant, il ferma les yeux, feintant un sommeil, pour attendre le lendemain où il pourrait de nouveau voir l’homme à la pomme.

Finalement, Morphée eut raison de lui. Ce n’était pas seulement le fait qu’il se soit fait battre qui le mettait mal à l’aise, mais plutôt la visite de l’homme de la cour de sa Dame la Reine d'Angleterre. Que voulait-il à sa mère ? Après tout, le monde de l’aristocratie, il n’y connaissait pas grand-chose. Le matin arriva bien vite et la nuit fut courte et agitée de démons nocturnes. Un réveil bien douloureux pour notre petit être fragilisé qui semblait être seul dans ce grand manoir ce matin là. Soupirant, il se dirigea à la cuisine pour y déjeuner, mangeant ce qu’il lui tombe sous la main, pour éviter d’avoir trop faim plus tard dans la journée. Il fallait qu’il se prépare aussi, dans quelque heures maintenant, le marché allait ouvrir au public et il allait devoir combattre, de nouveau. Errant dans les couloirs, il passa devant la porte du bureau, ses mains se serrèrent avant qu’il ne daigne y pénétrer. Le regard porté sur la pièce n’était plus le même que le jour précédent. Des dorures partout, des tapisseries luxueuses, et un coffre au fond de la pièce. Ouvert. Curieux, Dust se dirigea derrière le bureau pour regarder le coffre, une simple bague à l’intérieur. Déçu, il soupira, loin de se douter que cette bague était un précieux artefact de la cour de la reine d'Angleterre tant convoité en ce monde, notamment religieux. Cette bague avait été déposée là veille par l’homme de la cour, désireux de la savoir en sécurité quand la sienne était menacée pour rejoindre le cortège Royal. Finalement, il se redressa, derrière lui, sa mère adoptive, le regard fixe, hurlant après lui comme quoi l’accès à cette pièce lui était interdite et que, si jamais il avait le malheur de toucher ne serait-ce qu’à une feuille, ou pire, à la bague, elle le tuerait sans autre forme de procès. Imaginez-vous, face à votre mère adoptive à cinq ans et demi, vous proliférant des menaces de mort pour une simple bague dont vous ne connaissez nullement la réelle valeur ? C’est tout simplement stupide. Cela ne fit naître que de la crainte. Finalement, les jours, les semaines, les mois passèrent sans qu'il ne s'en rende réellement compte. Il tissait une amitié sincère avec celui qu'il considérait comme son rival et subissait les mauvais traitements de sa mère. Élevé par les coups et les cris, il acquiert le respect et la soumission face à l'autorité. Avec son ami, il était lui même. Dix années passèrent de la sorte. Désormais, il avait quinze ans. Rien à compter ensuite, celui qui devait devenir un grand homme fut accusé de trahison envers sa famille adoptive, il vécu dans la rue quatre longues années, vivant comme un noble, se nourrissant de sang et de chaire humaine ça et là. Son ami, il était mort. Il tua de ses mains tout ceux qui avaient une quelconque relation avec sa famille adoptive avant de tuer sa mère elle-même. . . Une vie de manant l'avait prit. Il jouait aux jeux d'argents, allait dans des faubourgs mal famés, se laissait aller aux vices humains. C'est à l'âge de 19 ans qu'il sauva une noble, Melona E. Rosenbach. Après lui avoir évité de lourde blessures, cette dernière se sentit redevable et l'accepta comme domestique -majordome-, ignorant toujours après un an de servitude, que ce même homme, inconnu du public, est un meurtrier, un vampire, et un être plein de vices. Aussi manipulateur que possible, il cherche là la vengeance. Il voue toute sa vie à sa maîtresse, qu'il s'est juré immiscer au rang de Duchesse. Grand informateur du monde nocturne, passant la plupart de son temps dans les rues, il est aussi bon conseillé pour ses semblables que pour les Lycans, ces enfants de la lune. Mais peu se risque à lui confier des missions, de peur d'y laisser plus que nécessaire...

Maintenant venez donc, nous vous invitons à vous rendre compte de la monté au sommet d'une famille noble. Il n'est que Majordome, mais il le fait bien.

"Que puis-je pour vous, My Lord, My Lady ?"

oO Elevation Oo

Si le viol, le poison, le poignard, l'incendie,
N'ont pas encor brodé de leurs plaisants dessins
Le canevas banal de nos piteux destins,
C'est que notre âme, hélas ! N'est pas assez hardie.

Mais parmi les chacals, les panthères, les lices,
Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,
Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
Dans la ménagerie infâme de nos vices,

Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !
Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un bâillement avalerait le monde ;

C'est l'ennui ! - l'œil chargé d'un pleur involontaire,
Il rêve d'échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère !

Beaudelaire~




Derrière l'écran
Pseudo : Dust
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Comment t'es-tu retrouvé parmi nous?: Partenariat =)
Des Remarques ou impressions? Très beau design !
As-tu lu le règlement ? Probablement...
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Dernière édition par Dust V. Ad Nostra le Lun 2 Mai - 22:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Dust V. Ad Nostra   Dust V. Ad Nostra EmptyDim 1 Mai - 20:04

Terminé, j'espère que cela vous conviendra. ♥
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MessageSujet: Re: Dust V. Ad Nostra   Dust V. Ad Nostra EmptyDim 1 Mai - 20:07

Je lis et je te dis ça tout de suite~

Lu.

Eh bien c'est une fiche complète et très bien écrite. Tu développes bien ton personnage et j'apprécie l'effort et l'application dont tu as fais preuve. En ce qui concerne les fautes d'orthographes, j'ai dû en croiser une ou deux, mais cela ressemblait plus à de l'inattention qu'à un réel soucis de syntaxe. Je ne les ai d'ailleurs pas retenues pour être en mesure de les citer.

Cependant je me vois dans l'impasse, à quel groupe appartiens tu "Nobles", "Bourgeois", "Habitants" ? Tu dis être issue de l'aristocratie mais à terme tu es domestique, et de surcroit celui de Mlle Rosenbach si je ne m'abuse. Ainsi, je t'avoue que je ne sais pas quelle catégorie choisir.

Mais si je devais me cantonner à ton niveau littéraire, je t'ajouterais au groupe "Bourgeois/Vampires". Cela te convient-il ? (C'est le must, et puis pour servir une Lady, tu te dois d'être un Lord~)

En ce qui concerne ton rang, nous te créerons un rang spécial "Majordome de Lady Rosenbach", si tu le désires.

J'attends donc une réponse pour te valider.


Dernière édition par William Vanderkan le Dim 1 Mai - 21:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Dust V. Ad Nostra   Dust V. Ad Nostra EmptyDim 1 Mai - 20:25

Tout d'abord, merci de cette réponse rapide =)

Donc pour le rang, oui, Noble/Vampire me convient parfaitement. Surtout si en effet je dois servir une Lady.
Pour le rang personnalisé, c'est avec grand plaisir que le l'accepte.

Merci encore.
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MessageSujet: Re: Dust V. Ad Nostra   Dust V. Ad Nostra EmptyDim 1 Mai - 20:29

Bien, tu es officiellement validé en tant que Bourgeois/Vampire. Bienvenue parmi nous ~

N'oublies pas de créer ton journal de RP et ta fiche de lien une fois que tu te lanceras dans les Rps.

Aussi, étant donné que tu es Bourgeois, tu peux bénéficier d'un appartement au château, sauf si tu préfères loger dans celui de Melona, c'est toi qui vois.

Voilà, bon jeu et amuse toi bien ~


Dernière édition par William Vanderkan le Dim 1 Mai - 21:13, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Dust V. Ad Nostra   Dust V. Ad Nostra EmptyDim 1 Mai - 20:32

Mon devoir est de loger auprès de ma Maîtresse ! ^^

Merci encore. =)
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MessageSujet: Re: Dust V. Ad Nostra   Dust V. Ad Nostra Empty

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