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 Erwann Castan.

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MessageSujet: Erwann Castan.   Erwann Castan. EmptyMer 25 Juil - 9:31

Erwann Castan



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feat. assassin's creed
    IDENTITÉ :


    Lycan
    Nom : Castan.
    Prénom: Erwann.
    Age Apparent: 23 ans.
    Age Réel : Renonce à la savoir ...
    Sang-Pur/Mordu/Infant : Mordu.
    Date et Lieu de Naissance : Quelque part en Bretagne, le 6 mai.
    Orientation Sexuelle : Hétéro.
    Nationalité: Breton avant tout, Français après.
    Groupe : Loup-garous évidemment.
    Classe Sociale: Assassin au service du Roi et de la Reine d'Angleterre.




Description Physique :



Ne détourne pas tes yeux de l'obscurité, c'est là qu'il y a le plus de choses à voir ...


Le monde n'est pas ce qu'on pense étant jeune. Il est loin d'être aussi parfait et tranquillisant qu'on le pense. Beaucoup de choses se passe autour de nous sans qu'on s'en aperçoive, sans doute parce qu'on ne veut pas les voir. Mais certaines personnes sont là pour continuer à protéger l'innocence des autres. Regarde mon enfant. Lève les yeux, regarde le ciel et doucement glisse ton regard vers cette colonne en hauteur. Tu ne vois rien ? C'est normal, il se cache, il ne se montre que pour accomplir ce qu'on lui a demandé de faire, ce qui lui semble juste.

Regarde ! Il s'élance, le voilà partit vers une autre aventure. Sa grande taille et sa large musculature ne sont plus qu'un point dans l'horizon tant sa rapidité est grande. Un jour tu pourras peut-être apercevoir son visage.

Ses cheveux bruns foncé qui entoure son visage avec une mâchoire carré. Sa peau légèrement bronzer avec ses yeux d'un gris profond. Tu le trouveras beau, tu ne seras pas quel âge lui donner, comme s'il les avaient tous et aucun à la fois. Son nez en tambour surplombent ses lèvres. Des lèvres entourées d'une barbe des trois jours, de la même couleur que ses cheveux.

Tu continueras de la regarder tant il te fascinera. Son pas à la fois rapide et insaisissable, sauvage comme si rien ne pouvait l'arrêter. Vêtue de sa chemise blanche rentrer dans son pantalon un peu moulant noir telle un homme bien éduquer. A ceci ajoute une grande paire de bottes noires et ... ah j'allais oublier, le gilet qu'il met au-dessus de sa chemise. Il est beau, oui, il est comme la rose, une belle fleur que l'on veut approcher, on ne prend pas garde et on fini par se piquer. Peut être pourras tu apercevoir le collier qu'il porte, une ficelle noire avec de l'argent au bout, une banale breloque dis tu ? Non, un cadeau de son père... Mais lorsque sa ville avait besoin de lui, il se transforme et oui, telle un aigle, il descend de son perchoir et viens sauver les personnes qui habitent dans cette ville. Ma chère enfant, peut approuve comment agit ce mystérieux homme, pourquoi ? Car il assassine, c'est un assassin. Quand il vient pour accomplir ce qu'il doit faire, sa tête souvent recouverte d'une capuche blanche t'empêchera de voir plus, ou même t'empêchera de tout voir, cette capuche accompagne le reste de ses vêtements qui sont aussi blanc. Comme cela il a sans doute l'air inoffensif, mais détrompe toi, méfie toi des assassins. Il porte deux gants dans lesquels sont cachés une lame sur chacun, l'arme préférer des assassins. Il possède aussi, à la ceinture qu'il détient à la taille, une sarbacane qui lance des fléchettes empoissonné. Dans son dos se trouve un grand sabre mais, ce n'est pas tout, il a en sa possession une multitude de couteaux sur lui, il est très bon dans le lancer de poignard. Une hachette et un arc finissent l'ensemble de ses armes. Mais écoute ceci, même sans arme un assassin reste dangereux.
Mais j'allais oublier, si tu vois un beau faucon non loin de toi, c'est que lui-même n'est pas loin. Se faucon est presque comme ses yeux. Son plumage est de la même couleur que les cheveux de l'assassin avec de légères nuances. Quand ses yeux noirs te fixent, c'est comme s'il regardait au plus profond de ton âme, c'est déroutant ... Tout le monde a déjà vu cette oiseau mais, on n'y fais pas attention, pourquoi le ferais-t-on après tout ? Ce n'est qu'un volatile. Mais s'il est là, c'est que quelque chose ne va pas tarder à se passer et il est préférable de partir avant d'assister à un massacre.

Tu veux savoir son nom ? Le faucon s'appelle Emira. C'est une femelle que le père de ce jeune assassin a fait naître. On dit que les assassins ont des sortes de totem, sans doutes des animaux ... qui sait ? On les connais si peu et tant mieux sans doute. Tel son faucon, l'assassin aime prendre de la hauteur, tout voir dans haut comme s'il pouvait voir par delà ce que nous pouvons voir en temps normal. Mais si tu dois le voir, une chose te surprendra, la façon dont il provient de ses hauteurs pour entrer dans l'action. Il prend son envole ... Ce n'est que là où tu peux le voir, sinon il reste dans l'ombre. Resté dans l'ombre est la première des règles, resté discret, ne pas attirer l'attention sur nous. Cet homme les respecte sauf la dernière, il se fait connaitre par ses actes, ce qui l'a forcé à quitter sa terre natale et s'installer à Paris.

Son nom ? Mon enfant, cet homme s'appelle Erwann, un assassin aussi dangereux que le secret qu'il cache. Mais on le surnomme aussi par la rapidité avec laquelle il rempli ses missions ... Le faucon blanc.






Description Mentale :



Nous sommes pas tous tout blanc ou tout noir, mais plus souvent gris comme les souris ...


Cependant on a un coté blanc ...

Calme : Tout le monde, chacun sur cette planète doit savoir garder son calme, à un moment ou à un autre c'est inévitable. Mais qui plus qu'un assassin doit savoir garder son calme ? Personne ou peu sans doute. Il faut être prêt à affronter n'importe quoi et avec calme sinon tout peut déraper et notre vie ne tient alors qu'a un fil. Erwann est de ceux qui gardes leur calme, qui savent dn pas tomber devant la peur ou la colère. Il n'est pas invincible, bien sûr qu'il ressent la peur, la vulnérabilité et toutes ces choses mais, il les enfouis, ne laissant en lui qu'un calme profond et ne dis-t-on pas qu'après le calme vient la tempête ?

Courageux : Le courage, tout le monde en a, à forte ou faible dose, tout dépend de la personne, nous avons tous une dose de courage différente des autres. Mais le courage est une qualité ou un défaut ? Difficile à savoir car, certains sont certes courageux mais, fonce tête baissée, sans réfléchir, pensant qu'avec ce courage tout se passeras bien, ils sont candides, naïf. Non le courage ce n'est pas ca. Le courage c'est de savoir se taire quand on a tort, de savoir perdre quand on est moins fort. Etre courageux, c'est afficher ses convictions qui ne sont pas reconnues par tout le monde. C'est aussi dompter ses peurs comme lorsque dans une entreprise, on se fait traiter comme une moins que rien.C'est recommencé à vivre normalement après un traumatisme, un viol, des actes de torture. Malgré tout il faut vivre et apprendre à aimer à nouveau la vie. Oser dire ce que l'on ressent vraiment et assumer ses sentiments.

Un homme est courageux quand il ose dire ce que d'autres pensent tout bas. Un homme est courageux quand il défend les faibles des forts, qu'il défend le vieillard, la femme et l'enfant de la brute. Ce que fait Erwann.

Patient: La patience est l'aptitude de quelqu'un à se maîtriser face à une attente, à rester calme dans une situation de tension ou face à des difficultés, ou encore la qualité de persévérance. La patience est, à travers le monde, une qualité essentielle requise pour celui qui aspire à la sagesse. Comme la méditation, la patience s'acquiert et s'exerce ; elle demande un effort de concentration et de maîtrise de soi qui est opposé en général à l'agitation naturelle, à l'impatience innée. La patience est une chose primordiale pour les assassins, dès leurs plus jeune âge, ils doivent rapprendre à la maîtriser, ce dont bien sûr, en tant qu'assassin, Erwan est capable.

Et un côté noir ...

Charmeur : Qui peut résister aux beau yeux d'une belle demoiselle ? En tant qu'homme, Erwann ne peut pas, sa faiblesse sont les femmes, les belles femmes qui peuvent avoir facilement une emprise sur lui. Même si il a eu de nombreuse conquête, il ne reste jamais avec longtemps. Il préfère les charmer puis quand il commence à trop s'attacher il part, s'enfuit. L’expérience lui à donner un avertissement qu'il suit à la lettre. Pourtant parfois il aimerais qu'il en soit autrement ...

Meurtrier : Certains assassins utilisent une sorte de code d'honneur. Certains ont une règle en or, ne pas tué, mais ils dévient la chose pour que finalement la personne voulus décède. Cependant, bien qu'Erwann a un code d'honneur, tuer ne l'attriste pas du tout, il tue pour débarrasser la vermine qui rode dans la ville. Il devient infatigable et traque sa proie pour la mettre hors d'état de nuire.

Curieux : La curiosité est-elle une bonne ou une mauvaise qualité? Ni l'une ni l'autre : c'est un besoin naturel à l'esprit, par conséquent normal et sain en soi, mais susceptible comme tous les autres d'être étouffé ou surexcité, bien ou mal dirigé, de devenir par conséquent très utile ou très nuisible au développement de l'intelligence. Dans l'enfant, dans le petit enfant surtout, la curiosité est comme le premier indice de l'intelligence : tout lui est nouveau, tout sollicite non seulement son attention, mais ses réflexions ; il cherche, il interroge, il scrute naïvement. Erwann est comme cela, il s'interresse à tout, pose beaucoup de questions, parfois trop ...




Biographie :

Le début des festivités est annoncé



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Nous étions le 31 octobre et le Samain était célébré. C'était une fête importante pour notre peuple. Ce soir serait célébré la transition, la célébration de la fin de l'année et le début de la nouvelle, pour aussi dire le passage de la saison claire à la saison obscure. Trois jours avant avait commencé le début des festivités et il en restait encore trois. Tout le monde dansait autour d'un feu immense allumé pour l'occasion. Tous les habitants étaient là à festoyer, tous ? Pas vraiment. Non loin dans une étable, allongé sur le foin deux amants s'entrelaçaient amoureusement. Après avoir joué à des jeux d'amour, tous deux en sueur se regardaient avec tendresse.

-Oh Maïwenn, si tu savais comme je t'aime ...
La dénommé Maïwenn sourit et répondit par un doux baiser. Ses cheveux d'un brun de couleur noisette caressaient doucement le visage de son amant. Ses yeux d'un brun clair observaient les yeux de son amour avec une affection presque palpable. Sa main, comme tout le reste de son corps, avait une peau blanche comme de la neige et aussi douce que de la soie. Cette même main aux ongles manucurés se balada doucement sur le torse nu de l'homme. Son corps se tendit quand elle se retrouva sous la musculature de son partenaire, ses lèvres fines et rosé continuant de l'embrasser. Dans un souffle, sa douce voix se fit entendre.

-Moi aussi je t'aime Tugdual.
Le dénommé Tudgual embrassais amoureusement la jeune femme. Légèrement plus grand qu'elle, il était plus imposant avec sa musculature faite comme un boeuf. Ses cheveux mi- long presque noir, chatouillait la joue légèrement rosé de Maïween. Ses yeux tout aussi sombres que la nuit contemplait le corps magnifique de sa belle.
Alors que dehors la fête se faisait entendre, que l'on s'amuser, plus loin sans que personne ne s'en rende compte, deux jeunes tourtereaux perdaient le compte des heures dans leurs débats amoureux.

Mais dans la nuit, loin de la lueur du feu, une ombre ce déplacé. S'approchant doucement de la grange, il ouvrit sans un bruit la porte et vit le spectacle qu'offraient les deux amants. La colère apparut sur son visage et partit aussi vite qu'il était venu.

L'inconnu repartis vers l'attroupement de personne non loin du banquet. Se glissant furtivement entre les personnes, il arriva près d'un imposant personnage. Lui tapotant à l'épaule, il lui fit ensuite signe de le suivre. Une fois les deux personnages éloignés de l'attroupement, le plus petit des deux pris la parole.

-Tudgual et Maïween sont ensemble dans la grange.
L'homme plus grand, se frotta le menton où poussait une barbe blanche comme ses cheveux. Il réfléchissait, regardant autour de lui, ce demandant si ceci était une bonne ou mauvaise nouvelle. Son fils comme tous les jeunes hommes du village s'était épris de la jeune et belle Maïween mais c'est lui qu'elle avait choisi. Il soupira tout en souriant, il aimait son fils unique plus que tout, surtout depuis le décès de sa femme Solène et lui, Nolann, chef de ce village n'allait pas se mettre comme barrage entre son fils et celle qu'il aimait.

D'un geste de la main, il congédia le petit homme tout en lui disant de ne plus suivre son fils. Celui-ci partis sans un mot, une haine imperceptible prenant place dans son cœur.

Pendant ce temps, Nolann rejoignit ses amis avec qui il riait de bon coeur. Quelques instants après il vit son fils apparaitre. Il se dirigea vers lui et le pris dans ses bras, lui donnant une grande affection paternel. Non loin, on voyait la belle Maïween qui avançait avec son allure fragile et sa grâce féline. Ses courbes aguichantes attirant le regard des mâles aux alentour mais, si on faisait attention, on voyait bien qu'elle ne regardait que Tudgual. Le vieux chef sourit et pris son fils à part, celui-ci le suivi sans dire un mot.

-Mon fils, tu sais que je ne veux que ton bonheur et tu as atteint ton 24eme printemps, il est temps pour toi de prendre une femme qui te ferade beaux enfants. Et en tant que père je t'ai trouvé cette femme.

-Père, je ne veux pas de cette femme dont vous me parlez, mon coeur appartient à une autre.

Son père le regarda avant d'éclater d'un rire gras et sonore. Il rejeta le commentaire de son fils d'une main. Une fois reprit de sa crise de fous rires, il regarda son fils, les yeux pétillant. Un sourire fendit son visage ridé et sec.

-Laisse-moi au moins dire son nom ...

-Son nom ne changera rien, j'aime ...

-Maïween Prigent, dirent-ils en même temps.

Le jeune Tudgual regarda son père surpris avant de remercier son père de tout son cœur. Le géant le prit dans ses bras et retourna avec son fils vers les convives. Alors que le jeune homme allait dire à sa douce la nouvelle, le chef fit cette annonce à tous les villageois qui n'en firent que plus heureux.

Les deux amants s'embrassaient amoureusement alors que les parents de Maïween et le père de Tudgual discutaient, durant cette euphorie, du mariage des amoureux. La fête battit alors son plein, les femmes dansant avec les hommes autours du feu.

Mais loin de cette ambiance festive, une ombre se glissait dans la forêt environnante, la haine de son cœur grandissant sans cesse. Comment Maïween pouvait aimer ce gros tas de muscles ? Pourquoi ne pouvait-elle pas voir derrière ce visage pleins de cicatrices, une affection énorme, et une intelligence. Pourquoi était-elle amoureuse d’un homme avec qui elle n’aurait aucune conversation ? Mais il connaissait très bien la réponse << Pour les galipettes>>. L'ombre eu soudainement les yeux d'un rouge flamboyant et tourna vivement sa tête vers un arbre, une odeur chatouillait ses narines, une odeur désagréable mais qu’il reconnaissait parfaitement.

- Montre-toi, tu sens à des kilomètres.


Une silhouette se montra. Ses cheveux roux flottés au vent et ses yeux verts émeraude se posèrent sur le jeune homme aux cheveux blond comme le blé et aux yeux bleu comme le ciel. Le jeune homme étouffa un juron. Il savait qu’il y en avait un dans le village mais ne se mêlant que très peu aux autres il n’avait jamais sus qui c’était réellement jusqu’à un soir où il avait aperçu des cheveux roux s’enfuir dans la forêt puis entendre un hurlement.

-J'en étais sûr, Emeline tu en ai une.

La dénommée Emeline sourit et s'approcha. Emeline était certes belle mais elle ne valait pas Maïween c'est presque si elle lui arrivait à la cheville. Emeline était comme sa mère, juste bonne pour une nuit, après on s’en lassait vite. Sa mère était morte quand elle avait 15 printemps et elle avait repris le travail de sa mère, fille de joie. Un peu près tous les hommes du village lui étaient passé dessus, même Tugdual.

-Tout comme j'étais sûr que tu étais l'un d'eux Ryan, un vampire.


A ces mots elle cracha par terre et afficha son mépris. Ryan se contrôla et soupira. Cela ne l'étonnait guère de la jeune fille, ses manières étaient vraiment très rustre ce qui n'attirer pas les hommes vers elle sauf pour partager son lit durant une nuit.

-Tu es une lycanne et je ne te montre pas autant de mépris que tu n'en montre à mon égard, de plus je crois que nous avons un intérêt commun.

La jeune fille aussi un sourcil, ne disant rien signe qu'elle voulait en entendre plus. D’une curiosité maladive, la jeune rousse pouvait en devenir extrêmement naïve, il faut dire qu’elle était un peu simplette.

-Tu es amoureuse de Tudgual et moi de Maïween pourquoi ne pas nous entraider ?

Il lui fit signe de la suivre, après un moment d’hésitation, elle le rejoignit, les voix se firent entendre puis disparurent dans le silence de la nuit. On n’entendait plus que la joie des habitants.


Mais la fin des festivités est bien vite arrivé.


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Le mur de grosses pierres tondes couvertes de lichens gris était aussi haut que le petit garçon. Il n’arrivait à voir par-dessus qu’en se mettant sur la pointe des pieds dans ses sandales. Tout étais gris et brumeux de l’autre côté. Le monde aurait pu finir là, mais il savait que c’était le contraire, le monde commençait derrière ce mur, de l’autre côté. Il savait très bien que ses parents ne voulaient pas qu’ils s’approchent du mur, déjà parce qu’il était trop jeune pour sortir à l’extérieur mais aussi par ce que cette partie du mur était maudit. Ce tas de pierre entourait le village définissait la limite du territoire du village mais les gens l’évitaient non par peurs des ennemis mais des créatures. Plusieurs personnes avaient été retrouvés morte contre ces pierres, vidés de leurs sang et ouvert jusqu’aux entrailles. Mais le jeune Erwann s’en moquait, l’insouciance de la jeunesse sans doute.

Il avait essayé d’escalader ce mur à deux reprises. Les deux fois, il avait lâché prise parmi les pierres inégales et était tombé à la renverse dans l’herbe humide. Mais Erwann n’était pas du genre à renoncer alors il retenta une troisième fois, qui fus la bonne.
Prenant une inspiration, le petit homme de huit ans se hissa en s’accrochant aux pierres froides et arriva au sommet du mur. C’était une victoire pour lui, il n’avait jamais escaladé de sa vie. Il s’assit sur le rebord un moment comme un roi sur son trône.

Le monde de l’autre côté était vaste, sans limite mais il était gris et flou sans doute à cause de la brume matinale et des yeux ensommeillé du garçon. Erwann eu envie d’aller par-delà le mus, il avait juste à sauter et il serait libre, il pourrait explorer l’extérieur, il y avait juste un petit saut à faire …


-Erwann, qu’est c que tu fais ? Papa et maman te cherches.

Le gamin soupira avant de se tourner vers le camp et de sauter en bas du mur. La petite voix irritante et qui venait de lui briser tous ses rêves venait de sa petite sœur, Nolwenn âgé de cinq printemps. Il l‘a regarda exaspéré et fit une légère moue.

-Nolwenn ! Tu aurais au moins pu me couvrir, j’avais réussi à monter !

La jeune fillette aux cheveux sombre haussa des épaules et se tourna dos à lui avant de rentrer vers le village, sa poupé à la main. Décidément, se dit Erwann, c’est bien une fille elle ne comprend rien. Pourtant il l’a suivi, il n’avait pas envie de se faire plus gronder, il allait déjà être assez punis.

Marchant dans le village, le jeune garçon suivait sa sœur. Elle ressemblait beaucoup à leur mère avec ses longs cheveux légèrement bouclé même si sa chevelure était d’un noir comme les plumes d’un corbeau et ses yeux aussi gris qu’un ciel d’orage. Erwann lui tenait plus de son père mais il avait les même yeux que sa sœur, son père lui disait que c’était parce que les deux enfants étaient née lors d’un violent orage et que le Dieu du tonnerre les avais bénis et mis sous sa protection. Erwann et sa petite sœur aimaient beaucoup cette version et s'imaginais souvent des aventure avec ce Dieu.

Erwann sortis de ses pensées quand une silhouette massive apparus dans la brume, Tudgual son père et chef du village. Nolann, son grand père était mort de vieillesse il y a maintenant un an, depuis son père était au commande.


-Erwann ! Où étais tu ? Pourquoi étais tu debout aussi tôt ?

-Je voulais prendre l’air, dit-il un peu bougons, je pensais ne pas vous avoir réveillé.

-C’est ta sœur qui nous a réveillé quand elle vu ton lit vide.

Erwann lança un regard noir à sa sœur qui lui fit un grand sourire. Les deux frangins adoraient se chercher et faire la misère à l’autre et Erwann devait avouer que sa sœur se débrouillé de mieux en mieux. Son père soupira avant de faire rentrer les enfants dans la grande maison en pierre dans laquelle un feu bienveillant chauffait dans le salon. Les deux enfants s’assirent à une table pendant que leur mère leur ramena le petit déjeuner et réprimanda son garçon.

Erwann accepta les réprimandes en mangeant. Il regarda autour de lui, sa sœur, son père puis sa mère. Il savait qu’il faisait beaucoup de bêtises et qu’il se peignait souvent mais il adorait sa famille et sa vie tranquille dans le village.


°°° 10 ans plus tard °°°

-Nolwenn tu triche ! On avait dit un combat singulier !

Le rire de cristal ce fit entendre. Erwann tenait son épée dans sa main gauche et fixai sa sœur. Ils avaient découverts leurs amours communs des armes pendant un entrainement de leur père et avait tout de suite voulus aussi apprendre. Alors qu’Erwann excellait à l’épée, hache, massue etc. sa sœur elle avait un don pour les armes plus petites comme les petits couteaux, poignards mais aussi l'arbalète car elle avait une patience que son frère ne possédait pas. Les armes lourdes et qui tus vite étaient celle qu’Erwann préférai t alors que sa sœur aimer les armes légères, facile à coucher et qui étaient plus douloureuse pour la mort. Mais elle avait toujours dit qu’elle aimait ce type d’arme pour une raison, parce que c’était elle qui choisissait comme les utiliser, soit pour tuer vite et bien, ou à petit feu ou juste pour faire souffrir. Quelque fois Erwann voyait sa sœur comme une énorme sadique.

Mais il était vrai qu’elle se débrouillai bien et avait créé plusieurs techniques avec ses couteaux. Cependant Erwann détestait ce battre contre elle. Non parce qu’il perdait ou gagner mais parce qu’avec elle pas de combat loyal possible et cela l’exaspérer.


-Oh c’est bon Erwann, si cela ne te plait pas va cherchez quelqu’un d’autre.

Sur ceux elle s’éloigna laissant Erwann seul sur le terrain d’herbe. Il s’assit et bus doucement à la gourde qu’il avait emporté. Dix printemps avait passé, il avait désormais dix-huit printemps et une musculature digne du fils de Tudgual. Il faisait pas mal de ravage dans le village chez les filles de son âge ou parfois un peu plus âgé, ce qui lui donna un frisson. Sa sœur aussi avait grandi, du haut de ses quinze printemps elle était devenus une belle jeune femme et faisait comme sa mère avant elle beaucoup de malheureux. Erwan et sa sœur ne cherchait pas l’amour, ils avaient hérité du caractère solitaire et aventurier de leur père et grand-père avant eux. Il s’allongea dans l’herbe verte et s'endormis.

Une main le secoua, réveillant en un sursaut Erwann. Celui-ci vit sa sœur qui avait le visage paniqué et n’arrêtait pas de parler, tellement que son frère ne comprenais rien à ce qu’elle disait.

-Nolwenn calme toi qu’est ce qui se passe ?

-Oh Erwann c’est horrible, nous sommes attaqués ça vient de tous les côtés ! Et … et papa et maman sont morts !

La jeune fille éclata en sanglot dans les bras de son frère, un frère qui assimilait doucement ce que lui rapportais sa sœur. Une colère immense monta en lui. Il attendit patiemment que sa sœur calme ses sanglots avant de se diriger avec elle en courant vers le lieu du massacre. Tout était silencieux comme si rien ne s’était passé.

-Ce n’était pas aussi calme quand je suis venue te chercher.

Ils avançaient prudemment dans le village, Erwann regardais autour de lui quand il aperçut deux corps étendus sur le sol. I s’approcha et reconnu ses parents. Son père avant été transpercé par une épée et sa mère avait la tête coupé, sa tête se trouvait légèrement plus loin. Il ne pleura pas, changeant sa tristesse en colère. Il se tourna pour appeler sa sœur mais elle n’était plus derrière lui, où était-elle passé ? Marchant vers le mur qu’il avait escaladé étant petit, il vit quelqu’un vêtue de noir et aux cheveux dors, dans ses bras, sa sœur, inconsciente. L’inconnu le regarda un sourire malsain aux lèvres puis sauta avant de disparaitre.

Il allait poursuivre l’homme quand un pas derrière lui attira son attention. Il vit un énorme loup au pelage brun roux avant que la patte de la bête de l’assomme.


La beauté n'est qu'une traitresse mensongère.


Le noir. Le néant. Je ne voyais rien autour de moi, comme si j’étais dans une pièce sans fenêtre, aucune lampe ayant pour compagnie le noir. Soudain quelqu’un vient me tenir compagnie, au début je n’entends que sa voix, douce et mélodieuse et quand elle rit c’est comme du cristal, cela me dit quelque chose mais je ne me souviens pas très bien. Puis une silhouette apparait, au début flou les contours deviennent de plus en plus nets. Un corps fin avec de formes tout à fait charmantes, des cheveux longs et noirs comme les ailes d’un corbeau qui recouvre un visage fin et ses yeux … aussi gris qu’un ciel d’orage, je la reconnais ! Ma sœur, ma très chère sœur, Nolween. Elle me sourit doucement, ses lèvres bougent mais je n’entends aucun son et puis elle commence à s’éloigner, non reste, je tends la main essayant de l’attraper en vain elle disparait.

J’ouvris soudain les yeux me redressant comme si j’avais été foudroyé. Clignotant des yeux je regardai autour de moi, j’étais dans une petite cabane en bois assis sur un lit. Un feu était allumé dans l’âtre de la cheminée. Je me levai doucement, sentant ma tête tournée puis je me souvins. L’attaque du village, père et mère qui n’étais plus et Nolween qui avait été enlevé et moi assommé comme un débutant. J’enrageai, je devais retrouver Nolween ! Je retentai de me lever mais le vertige ce fis plus fort que je dû me rasseoir.

-Ne vous levez pas ! Vous avez une énorme bosse sur votre tête.

Tournant les yeux vers l’endroit d’où provenait la voix. Une jeune femme apparus dans mon champ de vision, elle était certes plus âgée que moi mais sans doute de quelques années. Elle avait un visage quelque eu enfantin avec ces grand yeux vert brillant et sa peau légèrement bronzé qui sentait la vanille. Ses cheveux étaient d’un roux flamboyant et bouclé comme des ressorts sur sa tête. Menus des formes aguichantes étaient présentes, cette femme était, oui, très belle. Je cessai de la fixer et me racla la gorge avant de déclarer.

-Je vous remercie mais je dois aller à la recherche de ma sœur et retourné au village !

-Je suis désolé de vous contredire mais vous ne pouvez y retourner, tout à bruler, il ne reste plus rien de votre village … et pour votre sœur et bien …

Je la regardai, qu’allait-elle me dire ? Mon cœur battait tellement vite dans ma poitrine que je me sentis mal.

-Après vous avoir ramené chez moi je suis partis dans la forêt à la recherche de votre sœur et j’ai retrouvé son corps inerte près d’une rivière.

Je ne dis rien pendant un moment avant de secouer la tête, ce n’étais pas possible voyons !

-Comment pouvez-vous êtes sûr que c’était ma sœur ? Vous ne nous connaissez pas !

-Je m’appelle Émeline, j’étais dans ton village bien avant ta naissance et je suis partis un soir, j’ai toujours préférer vivre seule que dans un village enfin bref, tes parents sont Tudgual et Maiween et ta sœur ressemble beaucoup à votre mère même si ses cheveux sont plus foncé et qu’elle a les même yeux que toi.

Elle avait raison, elle ne pouvait mentir, même si je ne pouvais être sûr de qui elle était-elle avait dit le nom de mes parents et décrit ma sœur. Morte, Nolween n’était plus tout comme mes parents … Je n’arrivais pas à le croire et pourtant … Regardant le sol je ne savais quoi dire, Émeline partis sans un bruit me laissant perdus dans mes pensées avant de sombrer dans le sommeil.
A mon réveil, ma tête allait mieux et le sommeil avait apaisé mon chagrin. Je pouvais de nouveaux réfléchir sans me laisser emporter par les sentiments qui étaient née lors de la mort de ma famille. Émeline m’avait proposé de rester vivre avec elle, j’avais accepté ne sachant ou aller et trouvant sa compagnie agréable.

Cinq ans passèrent. Je m’étais habitué à cette vie avec Émeline qui était une parfaite compagnie. Elle était douce, marrant, attentionnée. Je continuer de m’entrainer tous les jours et vivant ma vie. Durant ces cinq années, Émeline m’avais souvent fait certaines propositions que j’avais refusé poliment, au départ j’étais plus jeune qu’elle et j’avoue avoir eu peur mais j’avais pris de l’âge et du haut de mes vingt-trois printemps j’avais enfin mon physique d’homme et Émeline qui n’avait jamais voulus me dire son âge était aussi belle et fraîche qu’une femme de vingt printemps.

Un soir elle me refit cette proposition, allé savoir pourquoi j’ai accepté. Cette nuit fut pour moi une nuit de plaisir et de découverte, Émeline était une très bonne partenaire. Après notre nuit je m’endormis à côté d’elle. Le lendemain matin, je m’étirai et regarda Émeline qui dormait. Ses cheveux roux en bataille renforcé le cote enfantin de son visage. Sortant doucement du lit, je m’habillais et partis faire quelques corvées. La journée se passa tranquillement même si maintenant j’étais plus proche d’Emeline.

Le soir arrive assez vite, la pleine lune était haute dans le ciel. Pourtant quelque chose se produisit, d’habitude les soirs de pleine lune Émeline partait et ne revenait que le lendemain, sans jamais donné d’explications, je m’étais habitué à force. Pourtant ce soir-là elle restait et m’amena dehors. Là elle commença à me parler de créatures de la nuit, vampire et loup-garou. J’essayais de a calmer, prenant peur pour elle.

-Erwann non, je ne suis pas folle, maintenant que je sais que tu m’appartiens, je vais te rendre comme moi pour que nous vivions heureux pour l’éternité !

-Émeline, arrête tu dis n’importe quoi, rentrons à l’intérieur je vais te faire quelque chose à boire.

]-C’était moi, moi qui t’est assommé, moi qui est attaqué ton village et tuée ta salope de mère.

-Pourquoi ?, criais je en colère, toute la colère que j’avais refoulé venais de sortir d’un seul coup, pourquoi avoir fait cela !

-Parce qu’elle avait pris mon amour alors j'ai attendue et tu es née tu ressembles tellement à ton père que je suis tombé amoureuse de toi et maintenant je te tiens tu es à moi ! Je vais te transformer te faire donc de l’immortalité ![/center]

Elle secoua la tête et soudain tomba au sol. Elle se convulsa et du poil apparut sur son corps, un poil roux bruns que j’avais déjà vus quelque pat, puis elle grossit. A la fin, Émeline était devenue un énorme loup qui montrait les dents. Soudain je le reconnu, c’était le loup présent au village avant que je sois assommé ! Elle ne mentait pas, c'était elle ...

Sortant l’épée de son fourreau, je me mis en garde, c’était Émeline qui avait saccagé son village et tué sa mère si cela se trouve elle avait aussi tué sa sœur ! La colère affluer en moi, elle allait mourir … La louve sauta sur moi, la gueule grande ouverte. Dressant son épée au-dessus de moi et je courus ver la bête. Là tout ce passa très vite. L’énorme louve était rapide et agile mais étant plus petit j’avais aussi un avantage. Au bout d’un moment je compris que pour la tuer je devais me faire toucher. Avançant vers elle, je faisais tournoyer l’épée dans ma main. De ses yeux jaunes, la bête courut vers lui, sa gueule agrippant son bras. Erreur pour la bête qui aurait dû attraper l’autre bras, de sa main valide, il leva l’épée et trancha la tête de la bête qui tomba au sol.

Regardant le corps immobile, la colère envolé, l’épuisement s’abattit sur moi. Le sang coulé de mon bras de la blessure provoqué par la morsure de la bête. Très vite, je m’évanouis.


Seul et deux à la fois.


-Ta garde droite ! Voilà comme cela !

Je suivais les consignes de mon maître, la sueur perlant sur mon front. Le fleuret suivait les rythmes que mon bras lui imposait. Au bout d’un moment, l’entrainement fus finis et je sortis de la salle. Je tournai directement vers ma chambre afin de me nettoyer avant d’aller me restaurer.

Après mon combat contre Emeline j’étais tombé dans un profond sommeil. Un groupe d’hommes qui passaient m’avaient alors accueillis et ramener dans leur bâtiment qui était perdus en forêt. Apres deux semaines passé au lit avec de la fièvre, je pus enfin sortir. J’avais visité les environs avec le maître que l’on m’avait assigné. J’avais ainsi appris que je me trouvais dans une secte d’assassins, La pierre rouge. Ne sachant o aller j’avais décidé de rester et de suivre les enseignements que l’on m’enseignerait. Mais ceci n’était pas ma seule découverte. Une nuit de pleine lune alors que je faisais une promenade de nuit, je m’étais transformé. A mon réveil, j’étais couvert de sang, il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que j’étais devenus comme Emeline, un loup-garou. Elle m’avait eu quand elle m’avait mordu.

Par chance et aller savoir comment, mon maître était comme moi, lui aussi mordus. Il m’aida donc à contrôler la bête. Quand je me transforme, je devenais un loup au pelage bruns foncé et aux yeux gris comme un ciel d’orage. Avec l’entrainement qui m’apprend à contrôler cet autre moi, j’avais aussi l’entrainement des assassins.

Souvent, je me sentais seul, a part avec mon maître je ne parlais avec personne, Nolween et mes parents me manquaient. Mais au fond je n’étais pas seul, la bête était avec moi, je e savais, je la sentais. Après plusieurs années je finis par devenir le meilleur assassin de la secte. J’avais donc le choix de rester ou de partir, je décidai de partir, loin, loin de mes macabres souvenirs. Sans tarder, je pris le bateau vers l’Angleterre. Depuis la massacre du village j’avais changé, je n’étais plus l’homme faible et idiot que j’étais j’avais évolué.
Arrivé sur les terres de pluies, je mis mon apprentissage à l’œuvre, devenant assassin. J’étais payé assez pour vivre dans un taudis de Londres. Mais un jour, on frappa à ma porte, prudent, j’ouvris et un homme me tendit une enveloppe avec le sceau royal. Je devais me rendre au palais dès que possible. L’heure d’après, j’étais dans l hall à attendre. Quelqu’un vint me chercher et m’amena à la salle du trône au ce trouvait les deux souverains. Le roi m’expliqua qu’il avait eu vent de mes actions dans son royaume car j’avais aidé l’un de ses amis et il voulait me recruter en tant que son assassin officiel. J’acceptai, après tout je n’avais plus rien à perdre.

Dès lors je fus un assassin, mais royal.



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    Pseudo : Ba Nolwen
    Age: hum je dois sans doute être le plus jeune du forum ... 13 ans ...
    Comment t'es-tu retrouvé parmi nous?: Par ma sadomaso de soeur ...
    Des Remarques ou impressions? Rien de negatifs, que du positifs !
    As-tu lu le règlement ? Ouaip
    Code du règlement : Validé par Meli


Dernière édition par Erwann Castan le Dim 5 Aoû - 17:19, édité 19 fois
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MessageSujet: Re: Erwann Castan.   Erwann Castan. EmptyMer 25 Juil - 11:03

Bienvenue à toi cher Lycan!

Je te souhaite bonne chance pour ta fiche, mais avant tout, il faut que tu signes le règlement ! Merci d'arranger ça !
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MessageSujet: Re: Erwann Castan.   Erwann Castan. EmptyMer 25 Juil - 11:09

Merci de me souhaiter la bienvenue demoiselle.

J'avais omis de signer le règlement, ma soeur ne m'en a pas soufflé un mot et je n'ai pas très bien regarder, désoler. Mais j'ai rattrapé cette erreur et signer le règlement.

Je commence de suite ma fiche ~
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MessageSujet: Re: Erwann Castan.   Erwann Castan. EmptySam 4 Aoû - 16:45

Cette fiche est-elle achevée Erwann? (Au passage, pour ton avatar, Assassin's creed....Oui mais lequel? ^^ Altair, Ezio..? Il faut faire un choix ^^)
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MessageSujet: Re: Erwann Castan.   Erwann Castan. EmptyDim 5 Aoû - 10:17

Non elle n'est pas fini mais elle le sera aujourd'hui et c'est Ezio ^^
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MessageSujet: Re: Erwann Castan.   Erwann Castan. EmptyDim 5 Aoû - 19:25

Bien bien, cette fiche est plutôt sympathique malgré quelques fautes maladroites ici et là. Je te valide donc en tant que Citadin Londonien et Assassin du roi, dans le groupe des Lycans!
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MessageSujet: Re: Erwann Castan.   Erwann Castan. EmptyLun 6 Aoû - 10:11

Merci =)
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