| Sujet: Calypso Hathaway Lun 9 Mai - 6:56 | |
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feat. Megurine Luka (Vocaloid ) | ♔Nom : Hathaway ♔Prénom:Calypso ♔Age Apparent: On ne demande pas cela à une dame voyons .. mais son âge lors de sa transformation se situe entre 20 et 21 printemps. ♔Age Réel : ♔Sang-Pur/Mordu/Infant :Sang-pur ♔Date et Lieu de Naissance : Une journée d'été, chaude et ensoleillée, alors que les oiseaux chantaient gaiement .. sa deuxième naissance fut, quant à elle, lors d'une sombre nuit de pleine lune .. ♔Orientation Sexuelle : Il y va de soit qu'un être féminin ne peut être complété que par son opposé ♔Nationalité: Française ♔Groupe : Noble/Lycan ♔Classe Sociale: Duchesse
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Donovan Wolfen : Il est le responsable du tournant de sa vie, de son malheur et de sa solitude quelques fois. Il ne pouvait pas savoir qu’il bouleverserait la vie d'une jeune femme, une parmi les autres ... et contre toute attente, il le regrette amèrement. Son alpha lui a prit sa famille, son tendre frère mais elle ne peut se résigner à la détester et à le rejeter .. sans doute à cause de ce sang qui coule dans ses veines. Elle aime à se trouver sous sa protection mais ne manque pas de s’imposer. Elle se considère comme son égal féminin et il lui rend bien lorsqu’il la surnomme « Ma reine ». Description Physique : Extrait d’un témoignage - Grèce -1167 – Bellamos –Femme d’artisan « Une tentatrice je vous dis ! Une tentatrice ! Je l’ai croisé, à peine ! je n’en reviens pas. Je tenais mon amphore là, pour la remplir aux sources, aux fontaines placées au centre de la cité. Il n’y avait pas âmes qui vivent dans les rues, j’étais seule ! J’ai eu peur et j’étais outrée ! Par le Dieu apollon, la lune était bien haute mais pas pleine vous dis-je, un anneau brisé brillant dans le ciel. Mon amphore sous le bras, je l’ai pas remarqué au début, elle était silencieuse ! C’était la femme d’Hadès pour sur, que Zeus me pardonne, elle était tellement belle baignée dans la lueur des rayons de la lune ! Je pouvais pas bouger, comme un charme qu’elle m’aurait jeté pour ne pas que je la dérange dans sa baignade. Au milieu de la fontaine !! Elle était nue ! Une cascade de feu coulait le long de ses épaules , du feu vous dis-je mais j’ai plissé les yeux, c’était plus clair que ça .. un bouton de rose pâle étalé sur coiffe, jamais pareille couleur je n’avais pu voir sur une femme ! Ils étaient longs, si longs qu’il couvrait son séant avec quelques boucles de ci de là , mais sous l’eau c’était lisse plutôt mais si beau. Je vous avouerais qu’il me plairait d’avoir une aussi belle et soyeuse crinière, mon époux il n’irait plus aux bains avec les prêtresses je vous l’dis moi. Elle passait ses mains dedans pour se coiffer certainement, elle en caressait toute la longueur et une longue mèche était rabattue sur son flanc ! Par Aphrodite, c’était sans doute sa fille ! Et que la déesse n’en soit pas outrée, elle serait flattée pour sur de l’avoir comme progéniture ! Elle était fine, si fine mais aussi généreuse qu’une belle amphore. Des hanches parfaites, sculptées avec grâce comme les représentations des nymphes ou des sirènes sur les murs des temples, j’me serais pincée pour savoir si ce n’était pas un rêve si j’avais pu bouger ! Vous voulez que je vous parle de son séant ?! Par Aphrodite ce serait comme de décrire la déesse elle même! Deux galbes pleins, ronds et fermes, heureusement qu’il n’y avait pas d’hommes dans les coins de rues, il y aurait foule sinon ! Le tout surmonté de deux longues jambes musclées, une biche sauvage ! Qu’elle aurait un postérieur de satyre que ça m’aurait moins étonné tellement qu’elles étaient extraordinaires ses cuisses ! Et sa peau ! Du miel et je mettrais ma main au feu qu’elle aurait pu être sucrée. Elle a du passer des journées au soleil pour avoir un teint aussi ambré et coloré mais y avait une ombre sur ce tableau. A un moment, elle a prit l’intégralité de sa longue coiffure et j’ai pu voir une tâche sombre sur ses reins, au creux de son dos ! Une énorme marque de griffes, un démon avait du arracher sa peau à cet endroit si tendre .. la pauvre dame ! La tâche noire partait de sa hanche droite au bas de sa hanche gauche .. j'avais de la peine pour elle, qu'es ce qu'elle a du souffrir ! Puis à côté des longues droites noires boursoufflés, y avait comme une imposante tache de naissance mais j'pense pas qu'ça en soit une parce que ça allait très bien avec sa marque .. ça m'a perturbé, je me suis imaginé qu'elle avait été attaqué par des loups, j'en ai renversé mon amphore. Puis elle a disparu sans un mot, sans un bruit ! A peine avais-je eu le temps de me baisser pour récupérer mon bien qu'elle s'était volatilisé .. quel souvenir !" Journal de Leandre De Glasgow- Angleterre- 1361- Peintre "Elle prit la pose devant moi, son buste redressé, son menton fièrement relevé vers l'avant, un signe de noblesse, de grâce et de beauté. Je pris un fuseau à fine pointe pour délimiter les contours si fins et exquis de son visage. Quelques tracés de-ci de là, une ligne droite pour la mâchoire, un autre un peu plus rehaussé pour son nez aquilin puis je m'amusais à reproduire la finesse envoutante de ses lèvres. Ce petit bouton de rose qui cachait un sourire espiègle et malicieux sur lequel on aurait envie de déposer un papillonneux baiser, juste au coin de sa bouche pour en découvrir la sapidité. D'une voix que je voulais sure, je quémandais qu'elle mordille sa lèvre inférieure pour en faire ressortir tout l'éclat et le volume et ce que je découvris flatta mes sens. Cette lippe prit la couleur du sang, un pourpre éclatant qui me donna envie de prendre un fragment de peinture pour immortaliser sur-le-champ cet éclat de pigmentation. Je reportais mon attention sur ses joues adorablement sur élevées et mon doigt en dessinant les contours et rondeurs à merveille. J'étais terriblement fier de mon esquisse et je n'avais qu'une hâte, embellir avec ma palette de pigments ce magnifique tableau. Mon attention se reporta sur sa longue crinière dont la teinture était si différente de mes modèles passés. Lorsque je lui demandais pourquoi sa crinière étincelait tel un quartz rose, elle me répondit simplement qu'avec le temps les flammes rubicondes de sa chevelure avaient pâli pour laisser place à cette coloration inhabituelle. Je n'osais lui en demander plus, j'eus peur de la froisser, elle semblait si fragile comme un pétale de rose et aussi forte et fière qu'un rocher dominant les fureurs d'un océan. Lentement je repris contenance pour prolonger mon futur chef d’œuvre et entamais enfin les tubes de couleurs, qui pour l’occasion étaient pleins. Un brun clair rencontra du blanc pour parfaire sa peau ambrée, une teinte aussi chatoyante qu’un coucher de soleil baignant de sa lumière une plage de sable d’or fin. Je l’étalais sur tout son visage, passionné, mon pinceau virevoltant de la base de son cou si délicat à son front recouvert de mèches indomptées. Puis vint le tour du bleu océan, une immensité céruléenne s’étendait dans son regard perçant, des prunelles qui sondent les esprits et les cœurs et j’essayais tant bien que mal d’en reproduire toutes les nuances et les ombres. Ce fut là un travail de longue haleine et je passais quelques longues minutes dessus sans pourtant me plaindre. Mon modèle restait toute fois stoïque, sa posture parfaite, un mannequin parfait en tout terme. Le rose pâle vint s’ajouter à ma palette pour sa merveilleuse toison, suivit d’un rouge sang pour souligner sa bouche et un brun auburn pour ses fins sourcils et ses cils vaporeux. Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour achever mon dessin et je sus avec une conviction certaine que cette représentation resterait à jamais graver dans ma mémoire. Dame Hathaway, une nymphe, une déesse venue sur terre pour que je l’immortalise. " Métamorphose lupine – Lac de Sainte-Croix – Calypso Hathaway La lune était haute à nouveau, magnifique pleine et blanche. Ses doux rayons illuminaient ma peau ambrée et je me laissais porter par son influence, ne contrôlant pas ma transformation. Quelle sensation étrange que devenir lycan. Votre corps s’étire et se couvre de poils soyeux et longs, votre visage fourmille alors que vos yeux percent de mieux en mieux l’obscurité. Lentement je regardais mes mains, alors que mon corps basculait en avant, et remarquais ces étranges et puissantes griffes qui remplacent à présent mes ongles. Un grognement s’échappa de mes lèvres alors que je voulais entendre ma voix pendant cette métamorphose. J’étais entièrement louve à présent et je m’avançais vers le lac pour y trouver mon reflet. Je ne fus pas surprise mais enchantée de retrouver ce nouveau visage auquel je m’étais habituée. Mon museau était long et ce fut tout d’abord la couleur de mes yeux prédomina sur le reste. Ils avaient gardés leur bleu étincelant et ils brillaient de mille feux. Mon pelage, quant à lui, était auburn et je retrouvais ma pigmentation d’antan. Mon rose pâle avait été autrefois un roux scintillant et il s’était délavé au fil du temps. Heureusement ma forme lupine n’avait pas subit ce changement sans quoi, en tant qu’alpha, je n’aurais pu être fière de me présenter devant ma cour. Je rompais mon admiration narcissique dans le reflet de l’eau pour observer le reste de mon corps. Je ne m’habituerais jamais à la présence de ma queue et celle-ci bougeait au grès de mes sentiments. Ainsi en ce moment elle dodelinait de droite à gauche joyeusement signe de mon contentement. Au loin, mon ouïe sur développée percevait la respiration saccadée d’une biche sauvage. Mon appétit grandit alors et d’un bond je m’élançais à la recherche de ma nouvelle proie. Biographie : Acte 0 "Je plonge mon index dans le sang fade de votre soit disant rédempteur, et écrit sur son front épineux: "Le vrai Prince du mal -Le roi des esclaves!". Diatribe Infernale Verset 1Ses cris semblaient déchirer la nuit, le temps et le silence. Seul ce son inhumain occupait les ruelles, les maisons, les esprits apeurés des habitants de ce village. Cela commençait d’abord par quelques raclements de gorge gutturale, puis une faible plainte suivie d’un hurlement puissant, qui vous tord les entrailles, qui inonde votre imagination d’images de terreur, d’effroi et surtout de mort. C’était elle qui régnait au dehors, la faucheuse diabolique au cri perçant. Mais il pouvait être autre si l’on apprenait à l’entendre, à l’écouter …à comprendre les paroles de cette mélodie surnaturelle. Une complainte terriblement affligée, un être éploré exposait sa peine sous les doux rayons lunaires. Et cette nuance, cette teinte dans cet appel nocturne, seule Calypso l’avait découvert .. Le lendemain de cet habituel rituel, les villageois décidèrent enfin de se débarrasser du perturbateur, du « démon –loup » comme ils l’appelaient, de la « bête » ou du « monstre » pour d’autres. Cachée derrière la lourde porte en bois de sa maisonnette, la jeune femme attendait et prêtait l’oreille aux vociférations des hommes. Les femmes, elles, n’avaient pas le droit à la parole sauf lorsqu’elles prenaient le parti de leurs époux afin de les soutenir dignement, mais jamais rien de plus. En ces temps lointains, la domination masculine était une évidence, un principe fondamental dans l’évolution d’un couple normal… que les temps ont changés … La sylphide rousse était donc tapie dans l’ombre. Plusieurs de ses voisins déclarèrent avec conviction qu’il fallait tendre un piège le jour, d’autres rajoutèrent que tous les loups étaient les alliés de la créature et qu’on ne pouvait risquer de s’aventurer dans les bois même sous les feux de l’astre solaire .. une longue conversation s’engagea où la sécurité du village primait parfois lorsque ce n’était pas le fierté des hommes qui était remise en question face à ce danger auquel ils ne pouvaient répondre aisément. Deux heures durant, ils ne cessèrent de parlementer sur le meilleur moyen d’éliminer le diable lui-même et ce n’est qu’à la tombée de la nuit qu’ils trouvèrent une sorte de compromis, un arrangement pour tous. Le père de Calypso revint chez lui, las, épuisé et surtout terrifié. Même un homme a ses peur, plus encore un père de famille responsable de cinq enfants. Il prit place sur sa longue chaise sculptée en un bois de pin et lâcha continuellement des soupirs au fur et à mesure qu’il se remémorait les accords conclus. Chaque homme, chaque père de famille, le plus fort devait allait au combat afin de terrasser la bête. Son regard fauve se balada lourdement sur chaque personne dans son foyer. Sa femme attisant le feu de la cheminée, les jumeaux qui ne cessaient de jouer aux osselets afin de déterminer le plus fort des deux, son cadet, un simplet qui fixait constamment le ciel et reproduisait à merveille le chant des oiseaux, son fils ainé qui était gravement malade et sa douce et unique fille, sa précieuse perle rubicond qui ravissait le cœur de tous les jeunes du village. Il était fier de sa progéniture et se vantait d’avoir la plus belle famille de la contrée. La jeune princesse aux 20 printemps remarqua la lassitude de son cher père et sans hésitation le rejoignit afin de s’enquérir de sa santé. Depuis plus de 2 ans à ce jour, il souffrait d’un mal terrible qui rongeait ses os. Il boitait sans cesse, trainant sa jambe droite. « Père, que vous arrive t-il ? » Ne voyant aucune réaction de la part de son interlocuteur, elle tortilla ses doigts et reprit en baissant les yeux. « Qu’ont-ils décidés au village ? Le loup sera tué ? » Lentement, il leva sa paume et vint frotter son crâne couvert d’une épaisse chevelure noire tandis que ses doigts rejoignaient ses tempes pour un massage qui n’était pas véritablement efficace. « Combien de fois t’ai-je dis de ne pas écouter les conversations des hommes ? Tu es une femme .. » Son regard se perdit dans les prunelles océan de sa fille et il se radoucit. Elle était aussi vaillante et courageuse que son fils ainé et cela il ne pouvait le lui reprocher, elle était fière, noble et osait ce qu’aucune femme n’aurait pu oser dans son village. Pendant de longues secondes, il resta là, à l’observer, à contempler son doux visage et son sourire encore enfantin. « Préviens ta mère, il me faut vous annoncer leur décision .. réveille aussi Luka, j’ai besoin de lui. » Avec un hochement de tête approbateur, elle se précipita afin de quérir sa mère de la requête de son père qui s’occupa immédiatement des jumeaux et du simplet. Calypso, quand à elle, alla doucement au chevet de son frère ainé pour le retirer des bras de Morphée. Elle passa sa main sur son visage brûlant de fièvre et se pencha au dessus de son visage. Son Luka ouvrit difficilement ses beaux yeux clairs et les plongea dans ceux identiques de sa sœur. Un sourire complice naquit sur ses lèvres et il tenta de se relever en prenant appui sur sa frangine. Ils n’avaient que quelques années d’écart, mais on pouvait croire qu’ils étaient de la même portée, aussi roux l’un que l’autre, aussi teigneux, courageux, l’un complétant l’autre. Lentement il put s’asseoir et le conseil de famille commença. [en création] | ♔Pseudo :Caly o/ ♔Age:20 ans ♔Comment t'es-tu retrouvé parmi nous?: J'étais admin et codeuse ici, je suis remplacée par mon adorable, géniaaaaaaaaaalissime, parfaite et douée soeur d'amour : Azure de Borisier. Que je vénère sans mesure *-* ♔Des Remarques ou impressions? Je m'aime ! Vive moi ! ♔As-tu lu le règlement ? Oui oui ♔Code du règlement : Code validé par Alucard
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Dernière édition par Calypso Hathaway le Dim 29 Juil - 18:00, édité 4 fois |
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Lizbeth C. ValentyneMarquiseMessages : 143 Date d'inscription : 25/10/2011 ~Etat civil~Race :: Vampire ~ InfantVos Rps en cours : Vos Relations: | Sujet: Re: Calypso Hathaway Ven 27 Juil - 19:44 | |
| Je déplace ta fiche dans les fiches en cours, bon courage avec ça et fais nous savoir lorsqu'elle sera terminée ^^ |
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Melissande A. Sullivans♥ Comtesse / Adorable Administratrice ♥Messages : 669 Date d'inscription : 06/06/2011 Age : 31 Localisation : Quelque part en train de rêver... ~Etat civil~Race :: Humaine. Différente? Il paraît.Vos Rps en cours : Vos Relations: | Sujet: Re: Calypso Hathaway Dim 2 Sep - 10:17 | |
| Je déplace cette fiche qui traine ici depuis un mois sans évolution et sans réponse aux demandes de nos modératrices. |
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