| Sujet: •Katherina Leah Kassianov. Ven 28 Oct - 13:53 | |
|
| ♔Lycan♔ ♔Nom :Kassianov. ♔Prénom:Katherina, Leah. ♔Age Apparent:20 ans ♔Age Réel :120 ans ♔Sang-Pur/Mordu/Infant :Mordue ♔Date et Lieu de Naissance :Le 13 décembre à Moscou. ♔Orientation Sexuelle :Tout ce qui est beau est utilisable. ♔Nationalité:Russe ♔Groupe :Lycan. ♔Classe Sociale:Noble ? Enfin c'est à vous de voir. ^^
|
« La beauté est soeur de la vanité et mère de la luxure. » - Citation :
- "Qu’est-ce qu’elle est mignonne, qu’est-ce qu’elle est pure."
Ce n’était pas une beauté qu’ont ces demoiselles ordinaires, un attrait sans charme et sans couleur comme on en voit souvent. C’était une manière de sortir du monde quand elle vous regardait, d’envie irrépressible de vous réchauffer à ce soleil blanc, à cette lumière triste. Car elle semblait toujours pure. Aussi insaisissable que les rayons de l'orage de lumière, sa pâleur est semblable à celle de l'astre de la nuit vermeille, blancheur des ténèbres. Son regard à l'allure des étincelants flambeaux des ombres éternelles, illumine les mondes spectres éclos dans les chaos funèbres. Un abîme éblouissant, majestueux. L’envie de s’y plonger n’est pas négligeable, mais pouvons-nous y ressortir après cela ? «Les yeux sont le miroir de l'âme ». Si c'est le cas pour certains, c'est totalement le contraire pour Katherina. Si elle était privée de la parole, elle pourrait faire comprendre ce qu'elle veut de chaque situation juste avec son regard. Pratique. Oui. Ses yeux sont grands, profonds et sont tout à fait à l'image de cette dernière, hypocrite. Ils lui donnent tout le temps l'air d’être douce, cachant ainsi une dur vérité. - Citation :
- "Une poupée."
Un visage poupin, mais rendant ses traits que plus fins et délicats, une bouche de porcelaine aux courbes douces d’une couleur rosâtre, parfaitement close, égarant des doux sourires par ci, par là, et pourtant tout aussi faux que le reste. Un masque blanc et parfait, petit pierrot immobile, qui se prolonge par une gorge fine et immaculée. Sous sa peau presque transparente, palpitent fébrilement de minces veines qui bouillonnent, diffusant la vie dans ce corps. Ses cheveux étaient longs comme une rivière et coulaient sagement jusqu’à son dos, lorsqu’ils étaient déliés, leur texture la soie pure qui semble tissée par les rêves, couleur divine. Sa peau était de nacre et d’opaline, pâle mais rosie parfois par un rayon flatteur. Sa démarche est flottante, un brin silence, et lorsqu'elle disparaît au coin de la rue certains se demandent inconsciemment s'il s'agissait bien d'une simple jeune femme. Si sa taille est d'un classique mètre soixante-cinq, sa minceur accentue la fragilité qu'elle dégage, son enveloppe charnelle fine, élancée, est composée de courbes généreuses et reflète le péché de la luxure à elle seule. La délicieuse tentatrice possède une odeur particulière, donnant l’envie d’être connue. Le moindre courant d'air fait virevolter sa longue et soyeuse chevelure encadrant son splendide visage. Son minois si innocent, si attirant, ne la rend que plus délicieuse. Le monde ne pouvait que bien tourner. La confiance ne pouvait qu’exister. Illusion d’un univers où tout était beau et simple. Son corps se mouvait sans accroches, bougeant au gré de ses envies, souple et gracile. La chute de ses reins avait attiré bon nombre de regards dans ses filets et son ombre menue et indéniablement petite avait fait fondre le cœur le plus froid. Tout cela d’en un élan de pureté, engendrant par cette perfection ce qu’on nous laisse croire. Incarnation de la pureté. " Les détails font la perfection, et la perfection n'est pas un détail. Je suis parfaite. " Impulsive et flegmatique, affectueuse et désagréable, sincère et perfide, capricieuse... mais pas inconstante. Bref illogique. Cette jeune fille, malgré elle, possède quelques qualités et d'innombrables défauts. Tout en étant un curieux équilibre, un équilibre pourtant si douteux, si fâcheux, si faux. Son idiosyncrasie aussi cristalline qu’opaque induit en erreur bon nombre de personnes. Katherina Leah, un nom qu'elle porte parfaitement. Un abîme d'éblouissement; Une clarté sombre.
Citation: | "Elle ressemble à un ange, son sourire ferait fondre le cœur de l’humain le plus froid du monde, si gentille, si…" |
S’ils savaient… S’ils me connaissaient vraiment…
Une apparence qui semble induire toutes personnes en erreur, mais si seulement il n’y avait que cela. Si seulement.
Citation: | "Je n’ai jamais vu de pareil enfant, j’aurais aimé avoir une fille comme elle, si…Incroyable" |
Un sourire tendre, un clignement de paupière, une parole brève mais d’une amabilité si séduisante, si irréprochable, qu’on ne peut que lui vouloir du bien et finalement succomber à tant de sincérité. Tout cela accompagné par cette pureté si parfaite. En effet, c’est bien un ange qui est tombé du ciel, détourné par la bonté et accablé par la générosité. Katherina est une jeune fille tout bonnement adorable, serviable envers autrui et aidant son prochain pour enfin faire de ce monde, celui que n’importe qui voudrait, un monde induit de bonnes choses. Ses goûts sont lucratifs et appréciables, donnant au lieu de recevoir. Comme tout le monde, la jeune fille a bien un défaut, celui d’être trop gentil, celui de vouloir le bien des autres avant le sien, c’est d’une mer d’émotion si pure qu’elle vous aidera avec plaisir. Une petite fille modèle et une allégorie pour tous les enfants des générations suivantes. Une véritable petite princesse, adorable, douce et aimante, sa voix est une merveille musicale, elle est distinguée et respectueuse. Si parfaite…
Si seulement ils savaient…
Ne pensez vous pas que les apparences sont tout simplement trompeuses ? Il ne faut pas se fier à ce que l’on vous montre au premier abord mais plutôt à ce qu’il y a au fond. Écoutez plutôt.
Katherina est une de ces demoiselles paranoïaques aux regards attirants, une de ces jeune femmes manipulatrices et dangereuses. Même en étant une écorchée vive, elle peut se montrer terriblement sadique malgré sa fragilité maladive. Elle aime autant quelle déteste, disons que c'est une bonne vivante. Ses immenses essaims composés de rêves sont dispersés dans l'éther à tout jamais, malgré ça.
Elle vit en désir. De perfection évidemment. Délurée et avide de nouvelles sensations, la jeune fille veut vite atteindre les sommets pour se sentir réellement exister; trop ambitieuse sans doute. Son visage si parfait et sa pureté céleste, cache en réalité une toute autre image bien moins sincère que l’on peut voir. Sa déchéance sera semblable à sa regrettable ascension, vertigineuse. À la fois réaliste et idéaliste, elle vit dans un univers où elle garde le contrôle depuis bien longtemps, changeant d’une gentillesse alarmante à ce qu’on pourrait voir de plus cruelle; toujours dite si pure, cette dernière n'est plus que le reflet d'elle-même, fière, forte et pécheresse. Ne montrant ainsi que ce qui paraît vraiment d’être, ce qui ne peut être effacé. Vivant d’hypocrisie et d’eau fraîche, alors qu’un de ses tendres sourires vous fera perdre la tête, il ne signifiera pas moins le contraire. Méfiez vous alors du loup qui dort dans cette carapace si sincère, un jour, il pourrait bien se réveiller.
Citation: | "Elle est si calme, si gentille…" |
La jeune femme est quelqu’un de généralement calme, presque douce, elle semble être dépourvue de méchanceté, et d’agressivité. Elle ne hausse pas souvent la voix, comme si la colère ne pouvait pas la toucher, mais tous cela n’est qu’une apparence des plus souvent trompeuses. Comme tout un chacun, la jeune femme peut se mettre en colère, et même si chez elle cela ne s’exprime pas par des cris et des coups droits, sa colère peut être très douloureuse: elle est plutôt du genre à faire les coups par derrière pour ne pas se prendre des coups directs et ainsi pour que la douleur soit morale tout simplement.
Citation: | "Elle croit en un avenir meilleur… » |
Pensez vous que ce petit ange croit en un certain Dieu ou alors à une Déesse spécifique, non, bien entendu, pécheresse et mensongère comme elle est, mais, en autre chose : La loi du plus fort.
Citation: | "Toujours honnête." |
En plus de se dire plus intelligente et cultivée que les autres, Mademoiselle Katherina est atteinte d'un narcissisme assez aigu. Cela se remarque facilement à la manière qu'elle a de se mirer dans toutes les surfaces polies qui se trouvent dans les pièces. Lorsque l’on place un miroir sur un éventuel bureau, elle ne le quittera plus du regard. Elle semblera étonnée de se voir. Ou satisfaite plutôt.
Il y a aussi une certaine arrogance chez elle. Si un jour vous avait la chance de le savoir ou de la voir, mais cela en est incertain, bien entendu. Arrogance surtout présente lorsque quelqu’un ose remettre en cause ses dires ou encore lorsqu’on lui fait remarqué qu’on avait la parole avant elle. Katherina ne supporte pas les reproches et encore moins qu’une personne plus basse que sa classe sociale lui ordonne une action, seulement elle acceptera d'effectuer cette tâche par simple bonne cause, rester la petite fille parfaite. De même lorsque De toute évidence, elle n'accepte pas d'être en position inférieure avec une autre personne.
En société un modèle de pureté qui cache ce qu’elle est. Hypocrite et fausse.
30 lignes minimum demandées Chroniques d'une vie : La folie n'est pas un état d'esprit, mais tout un mode de vie.
Le début du commencement :
Papa m'avait dit que le jour de ma naissance, maman était morte. Et pourtant en cette même heure, je venais de voir le jour pour la première fois. Un rayon de soleil passait entre les épais rideaux blancs qui masquaient la fenêtre. Un petit vent frais qui venait de la porte les faisait valser légèrement, tels des voiles. Ce mouvement était le seul perceptible dans la pièce. C'était une chambre entièrement blanche, aux murs lavés à la chaux et au carrelage lisse et froid. Au milieu de celle-ci se trouvaient un seul et unique lit entouré de quelques machines aux signaux lumineux et aux courbes étranges. Le lit n'était pas vide. En effet, beaucoup de monde pour un petit être comme moi, je me sentais tout à coup d’une grande importante. Enfin, il y eut quelques années qui s’écoulèrent alors que j’apprenais à marcher sur ce parqué d’une valeur inestimable et dont les murs luisaient par la teinture des diamants accrochés à ceux-ci. Je ne vous parlerais pas des lustres, je m’amusais à les regarder d’un air assez bête, je leur portais un grand intérêt, peu être parce que leur couleur était proche de celle du paradis et que j’avais envie d’atteindre la divinité d’en haut, pour exister d’autant plus. En effet, aux yeux de mon père, j’étais un bijou, j’étais ce que ma mère avait toujours voulu et ce dont les autres espéraient avoir parmi leurs innombrables rêves. J’étais sa fille chérie, ce qu’il avait de plus cher au monde, et je comptais bien le rester éternellement.
Alors que j’avais à peine six ans, la plupart des gens me trouvaient déjà si adorable, souvent dîtes si belle, si pure. J’avais tout fait pour garder une bonne image de moi en société, je n’allais pas montrer ce que j’étais vraiment et ce que je pensais en public, on m’aurait dite pourrie, si belle à l’extérieur et si noire à l’intérieur, je ne pouvais révéler ma vraie nature. Que vous me croyiez ou non, déjà à cet âge, j’avais un esprit assez tordu et très calculateur. Hypocrite ? je l’étais depuis bien des années, jouant à un double jeu, dangereux si je puis dire, mais si intéressant et amusant que je ne pouvais m’en défaire, après tout, j’étais une petite fille modèle et parfaite, aux yeux de mon père et aux yeux de tout le monde. Du moins, c’était ce que je pensais.
Un apprentissage sur soi-même :
Mais moi, qu'ai-je de commun avec ces femmes inconsidérées? Tout le monde me sait parfaite, voilà tout. Et, quand m'avez-vous vue m'écarter des règles que je me suis prescrite et manquer à mes principes? Je dis mes principes, et je le dis à dessein: car ils ne sont pas, comme ceux des autres femmes, donnés au hasard, reçus sans examen et suivis par habitude; ils sont le fruit de mes profondes réflexions; je les ai créés, et je puis dire que je suis mon ouvrage. Comme toute bonne fille, j'étais vouée par état au silence et à l'inaction, j'ai su en profiter pour observer et réfléchir. Tandis qu'on me croyait si pure, écoutant peu à la vérité les discours qu'on s'empressait de me tenir, je recueillais avec soin ceux qu'on cherchait à me cacher. Cette utile curiosité, en servant à m'instruire, m'apprit encore à dissimuler: forcée souvent de cacher les objets de mon attention aux yeux qui m'entouraient, j'essayai de guider les miens à mon gré; j'obtins dès lors de prendre à volonté ce regard distrait que depuis on avait loué si souvent. Encouragée par ce premier succès, je tâchai de régler de même les divers mouvements de ma figure. Ressentais-je quelque chagrin, je m'étudiais à prendre l'air de la sécurité, même celui de la joie; j'ai porté le zèle jusqu'à me causer des douleurs volontaires, pour chercher pendant ce temps l'expression du plaisir. Je me suis travaillée avec le même soin et plus de peine pour réprimer les symptômes d'une joie inattendue. C'est ainsi que j'ai su prendre sur ma physionomie cette puissance dont j’ai besoin pour cacher ce que je suis vraiment. Je m'amusais à me montrer sous des formes différentes; sûre de mes gestes, j'observais mes discours; je réglais les uns et les autres, suivant les circonstances, ou même seulement suivant mes fantaisies: dès ce moment, ma façon de penser fut pour moi seule, et je ne montrai plus que celle qu'il m'était utile de laisser voir.
Un nouveau commencement :
Ensuite il y eut cette rencontre, mon père en fit une des plus abominables, du moins pour moi. Un mariage avec une femme qui avait deux fils, jumeaux ayant mon age, à première vue, belle, assez distingué, mais qui allait prendre une place bien trop importante dans la vie de mon père pour que j’en sois ravie. De plus, elle n’était pas réellement une belle-maman agréable et gentille, tout au contraire, je ne la supportais vraiment pas. Elle monopolisait d’une part mon très cher Papounet et était assez louche, je sentais bien que notre amour était bien réciproque, son regard était glacial envers moi et c’était de même pour moi. Comme mon père ne s’occupait plus de moi, j’étais tombée dans une sorte de dépression, seulement, deux personnes m’en firent sortir le plus rapidement possible. Moi avant, qui étais si naïve, je crus que c’était par gentillesse, bien entendu, je me trompais lourdement et au lieu de me sortir de ce trou noir, ils m’enfermèrent dans un cercle vicieux dont je n’arrive plus à me défaire maintenant. C’était comme qui dirait une façon de voler m’avaient-ils dit, pour moi, c’était une meilleure vision de cette triste vie.
Lorsque la nuit tombait, je devenais réellement moi, je traînais là ou les personnes de mon rang ignoraient totalement l'existence. Toute cette débauche pour échapper à la réalité. Pour me sentir vivante, c'était une manière ou une autre de prendre conscience de sois. C'était la seule solution d'après moi. La noblesse est comme un bal masqué, chacun y cache sa véritable nature et elle est révélée par le choix de son masque. En ce genre de nuits, il n'y a plus de mensonges, seule la vérité nous révélait ce qu'on pensait comprendre, mais dont la fausseté ressortait peu à peu. [19 ans, un renouveau.]
Puis il y eut cette nuit de pleine lune. Les gens la nommait lune de sang. Je me baladais comme à mon habitude à travers les pavés de Moscou, de mes yeux troublés par l'alcool j'essayais de rentrer chez moi. En passant par le parc, j'eus cru prendre un meilleur chemin, seulement je ne m'étais sûrement pas attendu à tomber sur ça, sur cette chose. Un loup face à moi, ses yeux dorés me fixant dangereusement. Finalement je ne compris pas très bien ce qui m'était arrivé. Un trou noir, seulement du sang, et de la souffrance. J'étais devenue comme lui, je m'étais renseignée furtivement, et j'avais trouvé. Moi qui pensais que ça n'existait pas, que ce n'était qu'une légende. je me trompais et le choc fut brutal.
[...] Vous savez au fur et à mesure on s'y fait, on connait la douleur des nuits de pleine lune, on s'habitue à cette force, à cette transformation. On sait qu'on ne peut plus changer alors on accepte. Je me souviens des premiers mois je me sentais redevable envers ce loup, ce lycan je dirais plutôt mais un jour je n'ai plus rien ressenti. C'est comme s'il n'avait jamais existé. Je me souviens seulement de la douleur. Finalement les gens mourraient et moi je vivais, je parcourais quelques années encore et encore, je rencontrais toute sorte de personne, je parcourais le monde comme je l'avais toujours voulu, j'étais libre de faire ce qui me semblais. Paris, je devais y aller. Une envie soudaine, atteindre cette société, un nouveau but que j'étais prête à accomplir, après tout j'avais le temps. | ♔Pseudo :Schrakinette !! ♔Age:J'ai pas de rides moi o/ ♔Comment t'es-tu retrouvé parmi nous?:Hm Top site ! ♔Des Remarques ou impressions?Nothing ! ♔As-tu lu le règlement ?Euh Ouais ^^" ♔Code du règlement :Ok par Azure.
|
|
|