| Sujet: Fréderic de Clermont. en cour Sam 16 Juil - 22:31 | |
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| ♔Nom : De Clermont ♔Prénom: Frédéric ♔Age : 24 ans ♔Date et Lieu de Naissance : Née en France en 1644 ♔Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle, aux dernières nouvelles. ♔Nationalité: Française ♔Groupe : Humain ♔Classe Sociale: Marquis de Clermont-Ferrand.
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Frédéric, Marquis de Clermont-Ferrand en possession d'une bonne partie des terres de cette ville et ses alentour ne sait pas vraiment comment s'habiller, la mode n'a jamais était une de ses passion ni tout ce qui touche à ses vêtements et leur entretiens. Militaire de bas rang, contrairement à son père, Frédéric n'accorde aucune importance à son style vestimentaire, et l'obligation qu'il a de vêtir un costume l'y berce d'autant plus, cela lui permettait d'avoir des vêtements aux gout raffiné sans avoir à y réfléchir. Qui a dit que l'armée n'avait que des mauvais côtés? Certes, il y'a les balafres que le temps laisse tout autant que les entailles ou blessure de guerre, mais cela permet d'avoir quelques histoire à conter, et la conversation est plus que requise pour faire la cour a une demoiselle. N'est-il pas plaisant de pouvoir lui faire visiter milles et unes contrés, milles et unes auberges, milles et unes villes, par de simple description? Frédéric avait acquis, grâce au temps, une éloquence plus que correcte et une élégante gesticule pour les marié ensemble, le costume simple qu'il portait, car il avait le même en plusieurs exemplaire, ne pouvait qu’immerger un peu plus l'auditeur face à lui, le plongeant alors dans chacune des batailles qu'il avait livré. Il porte à ses pieds des bottes de cavalier. Frédéric, bien que n'ayant pas particulièrement à cœur les chevaux se doit d'être soigneux avec le pur-sang offert de par son père pour sa victoire à la bataille du Fleurus lorsqu'il aidait au commandement le maréchal de Luxembourg. Il en a d'ailleurs gardé une cicatrice sur le crane, cacher par ses cheveux d'un brun clair mais ne tirant pas sur le châtain, même sous la lumière la plus éblouissante délivré par le cercle au feu céleste qui se dresse tous les jours au-dessus de nous, guidant nos pas par sa clairvoyance. Il de grande main aux doigts bien proportionné, usée par les pommeau des sabres, coutelas, rapière, épée, falchion, cimeterre, ou tout autre armes blanche tel que le glaive, ceux-ci ayant forgé peu à peu son caractère. Sa taille imposante et sa musculature ne le rend que plus effrayant et les soldats solitaires, à l'écart de leurs bataillon, réfléchisse à deux fois avant de venir s'en prendre à lui et tenter de le briser. Du haut de son mètre 85 il ne se prend pas pour autant pour un surhomme, bien qu'être entrainé a la vie de soldat depuis son plus jeune âge il n'en ressort que plus endurant et difficile à plier en deux, pour un homme en tout cas. Mais c'est grâce à son regard perçant, ses yeux vert lui confère une vision perçante capable de décelé les coups de ses opposant, lui permettant alors de parer comme il faut les coups, s'attribuant ainsi un avantage colossale sur le champ de bataille. Il se rase d'ailleurs la barbe et la moustache, n'aimant pas vraiment celle-ci, trouvant que cela pouvait être gênant et dangereux si elle s'enflammait par... mégarde. C'est aussi aux fils de ses moultes affrontement pour son pays et aux entrainements matinale quotidien qu'il entretien son corps d'athlète, ses cuisses fermes et sa ceinture abdominale parfaitement dessiné ne le rende que plus attirant, quand il enlève ses vêtement bien sûr... Ce qu'il a peu l'occasion de faire, dû au manque de temps auquel il est éprit. Il a d’ailleurs une cicatrice au niveau de la cage thoracique, sous la troisième côte droite en partant de la clavicule, donc non loin du grain de chair ornant son pectoral. Cicatrice qui fut le fruit d'une blessure qui faillit lui couter la vie, mais Frédéric fait parfaitement confiance à sa constitution et sait très bien qu'elle le tirera de toute les maladies ou blessure imaginable, le poumon qui s'était endommager ne lui fait plus des scènes depuis un bon bout de temps. La folie, la normalité, la beauté, le bien ou même le mal, tout cela est subjectif non ? A quoi bon donner un jugement, cerné une personne, si ce jugement sera lui-même altérer au fil du temps, des actes, des paroles… Frédéric n’est pas vraiment quelqu’un de compliquer, et je doute qu’il ait ne serait-ce qu’une seule qualité. Il a les défauts basiques d’un homme, les défauts innés, il peut éprouver de la peur, de la haine, de la compassion, de l’envie, du désir, et un tas d’autre sentiment typique des humains. Pensez-vous que c’est de par leur physique ou leur mentale qu’on décide si la dite personne est un Homme ou un monstre ? Ou bien est-ce les deux traits réunis ? Frédéric n’est pas spécialement superstitieux, Satan ne l’effraie pas plus que Dieu ou toute autre divinité prêchée par une quelconque personne, et c’est une simple réflexion avec sa personne qu’il en est arrivé à cette conclusion : « Si un dieu est disposé à empêcher le mal, mais qu'il n'en est pas capable, alors il n'est pas tout puissant. Si il en est capable mais qu'il n'est pas disposé à le faire, alors il est malveillant. Si il n'en est pas capable et qu'il n'est pas disposé à le faire, pourquoi l'appelles-t-on un dieu? » Bien sûr, homme d’action, Frédéric ne ressortit pas indemne de la guerre, folie passagère, insomnie, vision d’horreur, cauchemar. Bien heureusement pour lui, il a fini par s’y faire, par accepter la tournure qu’a pris son esprit, la façon dont es batailles l’ont modelé, dont elles ont suriné son esprit : C’est d’ailleurs pour cela qu’il lui arrive de trembler, d’être miner, de ne plus pouvoir dormir, il essaye tout de même de rester lucide, ayant un honneur à préserver et un père a honorer. Fréderic n’est pas du genre à se laisser abattre du premier coup, pas par n’importe qui, et encore moins n’importe comment, il a la fâcheuse tendance de ne pas spécialement être modeste, sans pour autant être imbu de lui-même, il est impétueux et en a souvent payer le prix, que ce soit par des balafre ou des pertes inutiles. Et puis, un corps sans histoire n’as rien d’enthousiaste, d’extraordinaire, il est fade, sans intérêt. Il n’a rien de mystérieux, d’enivrant. Mais l’esprit domine la matière, et malgré ses multiples traces de coup ou autre, il n’a jamais baissé les bras, ou penser à déserter. De toute façon, cette issue-là n’est pas possible, ce n’est pas une question de principe, mais simplement de bon sens. Déserter nuirait à son prestige, du moins le peu qu’il a, et son rang social, rang indispensable pour vivre d’une manière aisé et satisfaisante. Boom… Quel doux bruit… le résonnement incessant du bruit de poudre s’incinérant lorsque les canons font feu n’a tout simple aucun égal, ou presque... Admirer le spectacle de boulets à grenailles pénétrant et déformant les lignes ennemies n’as surement aucun prix. Tel fut la manière dont notre dramatis personae fut éduqué. Au bruit de la poudre et du métal clinquant. Déjà dès son plus jeune âge, et donc des qu’il eut pu porter un sabre, une rapière, un glaive, une épée, ou tout autre arme blanche généralement utiliser pour tuer un homme, femme, enfant, ou tout autre humain; Fréderic fut alors initié à l’art de la guerre, des capes et des faux. Désormais le clairon le matin et les entrainements quotidien n’est plus de mise, Une fois la guerre de dévolution fini, plus aucun besoin. Mais n’allons pas faire d’ellipse sur la partie la plus importante, complexe, et descriptible, de la vie de notre jeune et vigoureux mastodonte. Le 8 décembre 1667 fut le jour décisif, Condé reçus enfin l’autorisation de marcher vers la Franche-Comté, son père l’assignat en tant qu’assistant à celui-ci après avoir fermement insisté pour. Mais réellement, il n’était rien, il restait tapis dans son dos à étudier ses stratagèmes et à faire comme un mur lors de ses conseils de guerre. Nous sommes déjà en février 1668, nous sommes aux pieds de Besançon qui sera bientôt notre, nous allons nous emparer de la Franche-Comté, et rallié cette région aux autres appartenant a la France. " Le 7 février 1668 Cher Elisabeth, je ne sais pas si je pourrais t’écrire de nouveau, j’ai reçu une balle dans l’avant-bras droit. C’est celui avec lequel je t’écris actuellement, dieu que c’est douloureux… Mais te savoir te morfondre inutilement me rongerait, nous avons bien heureusement été victorieux et sans trop de pertes. Je ne sais pas vraiment, j’ai été éloigné de ma compagnie après ma blessure, celle-ci m’empêcher de manier autant mon épée que mon fusil, j’ai tenté de guidés mes hommes grâce à ceux que j’ai appris grâce à Condé, mais c’est plus difficile que ça en a l’air. Apres la prise de Besançon, j’ai dû laisser mes soldats revenir a un état de bêtes, se contentant de violer et pilier les pauvres habitant de Besançon. Je n’avais ni la force de les en empêcher, ni l’envie, ils avaient mérité une récompense, certes, mais j’aurais préféré qu’ils aient autre chose. Je fus contraint de les laisser faire, de peur de briser leur moral, et une armée sans moral, n’iront pas loin dans une guerre. J’avançais le fait que c’était peut-être ma dernière lettre, car je risque de me faire amputé, tout cela dépend de comment mon corps réagit à préciser le médecin. Personnellement, je ne me fais aucune illusion, je sais que je n’aurais rien et qu’il se fait un sang d’encre pour rien. Je vais être renvoyé à Paris bientôt, avant que le Roi lui-même face son « entré en scène », il se dirige actuellement vers nous, et je n’ai pas vraiment envie d’entendre ce qu’il a à me dire, j’avoue être légèrement sceptique sur la nature du discours, si jamais il m’en désigne un… J’avoue par la, que je n’ai pas toujours bien dirigé mes hommes, et que j’en suis surement punissable, même si j’ai ma part de victoire sur Besançon. A très bientôt, ton dévoué Frédéric. " Malgré la victoire à Besançon, Frédéric avait cesser d’être aussi joyeux qu’avant, ayant vécu son enfance, certes auprès de son père, qui l’initia a la guerre, mais surtout auprès d’Elisabeth, jeune fille recueillit par sa mère. Il passa le plus claire de son temps libre avec elle, la considérant comme sa sœur et sa seul confidente. Car la guerre, certes, a de quoi vous permettre de noué de puissant liens avec d’autres Hommes, ou d’autres bêtes, mais pas quand ceux-ci vous répugne. Le capitaine qu’il était été un capitaine distant de ses hommes, les amenant à la victoire aussi souvent qu’il le pouvait, mais les laissant dans leur ignominie et leurs actions infâmes. Préférant rester à leur yeux quelqu’un d’indifférent plutôt que d’écœuré, sachant très bien qu’ils penseraient alors du mal d’eux et la théorie du complot se ferait plus pesante aux yeux de tous pour lui. Il rentra finalement à Paris, enfin, après que le médecin eut avoué qu’il avait une constitution étonnante et que son avant-bras irait mieux au fil du temps, comme tout, normalement… [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | ♔Pseudo : Appelez moi comme vous le voudrez. ♔Age: quel importance? ♔Comment t'es-tu retrouvé parmi nous?: Pour ces beaux yeux... ♔Des Remarques ou impressions? wait & see ♔As-tu lu le règlement ? Oui ♔Code du règlement : Validé par Melissande
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Dernière édition par Frédéric de Clermont le Dim 25 Sep - 20:23, édité 12 fois |
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Maître du Jeu~Compte Fondateur/Maître du Jeu/PNJ~Messages : 273 Date d'inscription : 01/03/2011 ~Etat civil~Race :: Vos Rps en cours : Vos Relations: | Sujet: Re: Fréderic de Clermont. en cour Mar 27 Sep - 18:32 | |
| Bon...Eh bien après tout ce temps... Fiche lue.
C'est une bonne fiche, avec quand même pas mal de fautes, fais plus attention . Mais bon, je te valide ça a assez duré tout ça, tu fais donc partie du groupes des Nobles/Humains, en tant que Marquis.
Journal de Rp, Liens, Demande de rp, demande d'appartements privés, voilà ce qu'il te reste à faire à présent.
Bonnes soirée ~ |
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