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 Une goutte de sang coule dans les bribes de ma mémoire... [PV Sophia]

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MessageSujet: Une goutte de sang coule dans les bribes de ma mémoire... [PV Sophia]   Une goutte de sang coule dans les bribes de ma mémoire... [PV Sophia] EmptyVen 29 Juil - 14:32





Un air glacial. Le vent était léger, la brise caressait avec grâce et volupté les êtres et les ames de ces landes tamisées. Le soleil d'été embrasait de ses rides ambrées tandis qu'une candeur empreinte de son calme, clameurs et autre charmes des nuages, planant dans la douceur. Ancrés dans le ciel, glissant le long de l'atmosphère du soleil montant dans le ciel depuis la surface de l'horizon, ses rayons invisibles brillants dans les gouttelettes de la rosée matinale, la matinée débutait lentement, les grillons se réveillaient silencieusement ; Ils commenceraient à créer leur fond sonore dans quelques minutes. L'herbe était calciné à cause de l'aridité des lieux. Peu d'eau, et trop de soleil. Sèche, desséchée même, elle avait jaunit par endroit. A l'extérieur de Paris, les plaines étaient pas endroit très moche. Surtout les endroits dévastés qui n'avaient jamais été réhabilité. La nuit avait été très fraîche, et heureusement que Filrahen savait gérer facilement sa lycanthropie.... oh, n'y voyait pas une prise de contrôle en temps que loup, cela, il en était incapable. Néanmoins, il savait que l'ossature, la carrure, la pilosité changeait. C'est pourquoi il optait pour des habits larges, où même transformé, rien ne se déchirait. Ainsi, à son réveil, le tailleur pouvait revenir dans Paris sans crainte. Le nombre de fois où il serait rentré nu dans Paris sinon aurait été effarant.... Mais là n'est pas la question.

Le réveil n'était pas des meilleurs ce jour là. Pire encore, ce matin était même sanglant. Comme d'habitude, Filrahen n'avait pas souvenir de la nuit passée et se réveillait en pleins milieu de la nature. Enfin, quand je dis comme d'habitude, il ne faut pas croire que ses transformations sont quotidiennes... Mais à chaque fois que la lune le touche par inadvertance, il perd le contrôle de lui même. Mais c'était étrange... d'ordinaire, il se levait autour de corps démembré, de têtes et de bras arrachés. Mais là il était seul, sous un arbre, sur des morceaux rocailleux. Et le pire : Son bras était entaillé. Un longue coupure assez moi. Faible venant de reprendre forme humaine, il se leva sans ce membre blessé, et grogna, prenant peu à peu ses esprits. Il épousseta ses vêtements, et regarda sa veste. La manche du bras abîmée était arraché... Heureusement que sa chemise n'en avait pas. Au moins il ne pouvait pas se plaindre d'avoir taché ses vêtements sans le vouloir. Son regard sombre s'était déjà habitué à la lumière ambiante qu'il scruta autour de lui. Une petite foret, une plaine, et au loin, entre les deux biomes, un bâtiment. Il était loin à l'horizon et on ne distinguait pas ce que c'était exactement, mais étant donné qu'il ne pouvait pas se repérer de là où il se trouvait, il s'y dirigea.

Maudit loup, qu'as tu fait ? Non ne dit rien, je ne veux pas savoir.

Autant les amnésiques désirent toujours savoir ce qui se passait avant leur perte de mémoire, autant le tailleur ne voulait surtout pas savoir ce que son loup faisait durant les nuits où il contrôlait son corps sous sa forme bestiale. Il en avait déjà assez vu pour savoir que c'était un monstre assoiffé de sang à son plus grand désarroi. Marchant droit vers le bâtiment qui devenait de plus en plus visible, Filrahen cogitait sur l'origine de cette taillade au bras, et comment il se soignerait. Se régénérer ? Il pouvait s'il laissait un peu plus de liberté à ''son autre lui'' mais il ne voulait faire ça qu'en cas extrême. Le sang coulait le long de son bras, lentement mais sûrement. Il le laissait, ballant, le temps de sa marche, et arriva finalement sur les lieux. Son souffle était légèrement saccadé.


« Une église ? C'est une blague ? »

Il n'en revenait pas de ses yeux. Un lieu saint en ruine. Mais où avait-il été sous lycanthropie ? Ce lieu était si.... étrange. Et pourquoi un loup serait venu en la maison de dieu ? C'était louche. Mais cela l'arrangeait, lui, croyant. Il s'approcha, sa main frollant les murs du bout des doigts. La pierre sablée avait du être détruite lors de guerre. Dans la salle, ou ce qu'il en restait, il y avait plusieurs rangées de banc, certains quasiment intact, d'autres réduits à l'état de planche et débris. Marchant dans l'allée centrale, il observa les lieux et trouva une bible à moitié calciné. La ramassant, il chercha des passages qui lui était connu et priant en les récitant en silence, debout au centre, son bras toujours ensanglanté. Après avoir fini de se recueillir, il reposa la bible sur le banc à coté de lui et reprit sa marche vers l'autel. Son regard se posa derrière celui ci. Une magnifique croix de Jesus, mais sans le crucifié dessus. Les ravages de la sauvagerie humaine sûrement. Au sol, une épée et une croix. Filrahen posa un genou au sol et attrapa la chaîne. Brillant dans la lumière des vitraux encore présent, il suspecta le métal d'être de l'argent, et il tenta de suite l'expérience en posant le symbole religieux sur sa main. Une chaleur étrange se produit et le brûla tellement qu'il lâcha le collier d'un coup. C'était bien le métal sacré.

« Rahh... mais.... cela peut être utile... »

Il reprit la chaîne et prit une grande inspiration, levant son membre blessé. Il n'avait pas le choix. La croix passa le long de la plaie, lui volant un énorme cri de douleur qui retentit autour des ruines. Au moins, la blessure était fermée. A quel prix ? Une brûlure pourfendant son être, mais qu'est ce à l'échelle de son éternité ? Le souffle saccadé, il se releva, se retenu à l'autel et leva les yeux le long de l'allée. Quelle ne fut pas sa surprise en voyant à l'entrée une personne. Il ne sut si c'était une femme ou un homme, n’apercevant qu'une silhouette à cause du soleil. Lentement, il se dirigea vers elle, oubliant le sang le long de son bras.
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MessageSujet: Re: Une goutte de sang coule dans les bribes de ma mémoire... [PV Sophia]   Une goutte de sang coule dans les bribes de ma mémoire... [PV Sophia] EmptyLun 1 Aoû - 11:58

La nuit avait été mouvementée et froide. Bien que la domestique n'ait pas de fenêtre à se chambre, elle avait senti le froid. La jeune femme s'était réveillée au beau milieu de la nuit, haletante, son coeur faisant des bon dans sa poitrine, s'étant tout bonnement réveillée d'un cauchemars. Elle s'était levée et avait jeté un oeil dans le couloir pour voir s'il faisait toujours nuit noire, et en effet c'était encore le cas. Cependant elle n'avait aucune idée de l'heure qu'il pouvait être et elle était sûre et certaine qu'elle ne parviendrait plus à s'endormir jusqu'au soir. Soupirant, après s'être lavée et parfumée, elle sortit un robe noire et rouge foncé à manche trois quart. Ce qui était bien avec cette robe était qu'elle possédait tout un tas de cordage à l'arrière, ce qui lui offrait en plus d'un côté esthétique l'absence de porter en corset. De plus cette nuit là Sophia étant tout simplement dans l'impossibilité de porter cette chose qui vous coupe le souffle lorsque vous en avez le plus besoin. Elle avait déjà serait autant qu'elle pouvait ses tissus, histoire d'être maintenue un minimum. Elle avait brossé ses cheveux, mais ne les avait pas attachés, fait assez rare chez la jeune domestique. Bien que sa chevelure lui tombe un peu plus haut que le milieu du dos, ils n'avaient pas tendance à friser ou onduler, restant lisse et doux à chaque instant. La jeune femme accrocha des perles noires à son cou, pour ensuite se parfumer légèrement. Soupirant, elle attrapa de volée son manteau, un genre de longue cape noire à capuche ample, et prit grand soin à cacher une petite lame puis elle sorti de sa chambre avant de la fermer à double tour.

Sortie du château elle déambula dans les rue encore toute endormie de Paris. La lune était trop ronde et trop haute dans le ciel, Sophia ne se sentait pas vraiment à son aise. Ceci dit, elle avait eut assez de chance jusque là pour ne tomber que sur des hommes. Ce fut par ailleurs un homme complètement ivre qui la coinça dans une ruelle trop sombre. Pourtant Sophia ne voulait pas jouer, elle n'était pas d'humeur et fatiguée. Ce fut dans un geste froid et dénué de sentiment, dans la surprise totale de l'homme qu'il reçu la lame de la jeune femme dans la gorge. Il lui fallut un peu de temps avant qu'il ne comprenne ce qui lui arrive et avant de s'écrouler sur le sol. La domestique le regardait avec ses yeux dénués de vie faisant tout de même apparaitre une pointe de dégout. Elle se dégoutait à faire ces actes lorsque ses heures étaient perdues, car ce n'était pas pour envie, ses victimes étaient prises totalement par hasard et laissées aux chiens errants. Elle se baissa à côté de l'homme pour y retirer sa lame et l'essuyée dans un mouchoir noir, ne voulant laisser apparaitre quelconque goute de sang. Un sourire apparut alors sur son visage pâle lorsqu'elle vit le liquide rouge couler de la gorge de l'eau. Elle aurait put demander à se qu'on la gifle, elle n'aimait pas avoir ce genre de sourire plein de sadisme. En soit, elle quitta la rue en mettant sa capuche sur la tête, laissant pendre de longue mèches brune par dessus ses épaules.

La jeune femme reprit sa marche silencieux dans les rues de la ville qui commençait tout juste à se réveiller. L'aube apparaissait, doucement mais surement. La chaleur matinale ainsi que les doux rayons du soleil vinrent lui caresser le visage, alors que ses pas la guidaient au delà de la ville. La ville se terminait pour laisser place à une végétation quasi inexistante. Sophia ne savait pas où elle allait, pensant plus à se réchauffer avec les maigres rayons du soleil levant qu'à autre chose. Pourtant elle s'était retrouvée au milieu de nul par, du moins ce fut ce qu'il lui semblait. Il n'y avait que les grillons pour couper le silence matinal. Elle s'arrêta pour regarder autour d'elle, se mordant les lèvres par nervosité. Lorsqu'elle ne connaissait pas et qu'elle ne savait pas où elle allait, elle n'était pas rassuré, et ses lèvres en payait le prix, elles s'étaient donc mises à rosir doucement. De plus, la mauvaise nuit qu'elle avait passé devait lui laisser des marques autour des yeux, la domestique n'avait pas fait attention à ce détail. Enfin soit, au loin il y avait une espèce de bâtiment, mais la brune était trop loin pour distinguer ce que c'était, elle s'y dirigea alors avec nonchalance.

Il s'agissait d'une église en ruine, la jeune femme pris soin à éviter les pierres qui étaient sans doute tombée de l'édifice, y faisant glisser le bout de ses doigts. Elle se serait cru dans un autre monde. La jeune femme s'était arrêtée dans l'entrée, relevant la tête pour regarder plus en profondeur les lieux. Ce qu'elle y vit la laissa pantoise. Elle ne s'attendait pas à voir un homme ici. De nouveau elle mordit sa lèvre inférieure, se demandant qui il pouvait être et ce qu'il faisait là. Quoi que, la domestique n'avait rien à faire ici, enfin bon. Il était au niveau de l'autel, elle ne parvint pas à dire ce qu'il y faisait alors. En tout cas, elle remarqua qu'il était blessé, du sang coulait le long de son bras, et la manche de sa veste n'était plus présente. Cet homme s'était-il battu cette nuit-là ? Enfin un simple accrochage ne pouvait pas provoquer de tels dégâts. Qui était-il ? Elle était perdue dans ses pensées.

Lorsqu'un cri effroyable l'y arracha. Le regard de la brune aussitôt tourné vers l'homme. Son bras était tendu vers le ciel. Elle ne comprit réellement ce qu'il s'était passé, mais elle était comme pétrifiée sur place. Incapable de bouger, le coeur s'affolant dans sa poitrine, elle le vit s'écrouler à terre pour pouvoir mieux se relever. Sophia enfonça un peu plus sa tête dans la capuche et cacha ses bras dans le manteau pour pouvoir mieux attraper sa lame. Ses doigts serrés autour du manche, elle avait peur. Alors qu'il posa son regard sur elle, la jeune femme un pas en arrière. Les hommes ne son pas sensé hurler de douleur lorsque la croix les touche. Il avançait vers elle, avec un calme incomparable, la brune aurait voulu partir en courant, mais ses jambes ne le lui permettaient pas. Elle tressaillait à chaque pas qu'il faisait.

Sophia lâcha un long soupire, pour mieux respirer et laisser ses lèvres tranquilles. Et alors que le sang continuait de couler le long du bras de l'inconnu, elle aperçu que sa plaie était comme cicatrisée. Il n'était qu'à quelques pas d'elle, mais la domestique ne pouvait lui permettre d'avancer plus, étant donné qu'elle n'arriverait sans doute pas à fuir. De plus elle se posait des questions quant à ses origines. Ce fut alors dans un soupir et d'une voix tremblante que Sophia réagit.


"Mais qui êtes vous..?"

En effet, son état d'esprit avait totalement changé de la nuit à l'aube.
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MessageSujet: Re: Une goutte de sang coule dans les bribes de ma mémoire... [PV Sophia]   Une goutte de sang coule dans les bribes de ma mémoire... [PV Sophia] EmptyMar 2 Aoû - 17:34

Liquide de vie. Eau remplie de globule rouge et autres substances. Plus communément appelé sang. Fluide de tentation vampirique, fluide de jouissance et de massacre lycanthrope, fluide de peur et de spectacle des humains.... Tant de signification pour une même chose. Qui coule dans les veines de tout les êtres vivants de ce monde. Les animaux, les hommes, les créatures de la nuit, celles de la lune... ces gouttes sur son bras, immense tache recouvrant sa peau, rougeâtre. Une vague impression de blessure, une vague impression de meurtre. Que s'était-il passé cette nuit là ? Peu importe. Soudain, un flash, un bribe de souvenir. Le sol, de l'herbe. Le regard se relève. Un homme, droit debout, on ne voit que sa silhouette sombre dans la claire nuit. L'amnésie est un fléau. Marchant vers la personne qu'il avait vu depuis l'autel, il eut un petit moment de flottement, et faillit tomber. Il s'arrêta un instant. Sa main se posa sur le haut d'un dossier de chaise, faite en bois d'if. Le sol issu de roche sédimentaire était abîmé par endroit, visible par d'énormes impacts. Son regard légèrement flou se porta sur la personne qui lui avait parlé. Sa voix était peureuse, intimidée. C'était une femme. Se reprenant légèrement de ce souvenir morcelé, il s'approcha encore d'elle, mais toujours à quelques mètres. N'ayant pas laissé transparaître sa ''pause'', il se disait que cela ne parut rien de l'extérieur. Ou du moins il l'espérait. La plaie refermait, plus rien de coulait, seules les gouttes qui avaient déjà perlé continuait leur chemin. Filrahen n'y faisait pas attention, cette dernière était porté sur la visiteuse de la ruine, et sur son habituelle perte de mémoire post-transformation.

« Qui je suis ? Filrahen Coral. Tailleur de profession pour vous servir, et vous même ? »

Rassurant et agréable. Comme à son habitude, voilà comment définir les paroles du lycan. Il ne voulait pas se faire d'ennemi, surtout avec un bras amoché. Et l'esprit ailleurs. S'asseyant sur un siège près de lui, il regarda la jeune femme enroulée dans sa cape noire un instant avant de porter ses yeux vers son bras qu'il laissait pendre depuis la cicatrisation. Il plia son coude pour mieux examiner, serrant les dents en sentant la peau brûlée se tiraillait sous ses gestes. De sa main intacte, il fit le signe de croix en s'excusant, arrachant 2 pages à un vieil exemplaire d'une bible à moitié calcinée. Le tailleur se servit du papier pour essuyer le sang en évitant soigneusement la ligne que représentait sa cicatrice. Une fois le liquide essuyé, il jeta les pages salies au sol et il poussa un profond soupir. Il releva à nouveau ses yeux en essayant de lui montrer un visage souriant :

« Avant que vous ne demandiez, je ne sais pas comment je me suis fait cela. J'ai comme qui dirait quelques problèmes d'amnésie pendant certaines nuits, rien de grave... Un genre de somnambulisme voyez vous... et vous... que faites vous là mademoiselle ? Venue pour prier ? »

Si tel avait été le cas, alors il en aurait profiter pour faire de même et se confesser au Saint Patron, réfugiant ses moindres soucis dans la parole de Dieu. Ses péchés. Ses envies. Ses actes. Ceux de son loup. Soudain, un écran blanc, et un nouveau flash. Sûrement des infimes moments de conscience que Filrahen avait volé au loup. Et cela signifiait qu'il était concentré sur autre chose à ce moment là. Que voyait-il ? La même silhouette que tout à l'heure, une épée en main. Sur le coté, un homme en sang, une arquebuse à la main. Remuant la tête pour reprendre ses esprits, il eut alors la confirmation de ce qu'il pensait. Une bataille avait bien eu lieu. En même temps, ce n'était pas une extrême découverte étant donné qu'une telle blessure, pour un lycan, ne pouvait pas être l’œuvre d'un accident. Attentif, il patienta pour avoir les réponses à ses questions, fixant la femme face à lui.

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