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 Aelita Stones [FINIE]

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MessageSujet: Aelita Stones [FINIE]   Aelita Stones [FINIE] EmptyLun 2 Mai - 21:55

Stones Aelita



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    IDENTITÉ :


    Nom : Stones
    Prénom: Aelita
    Age : 18 a,s
    Date et Lieu de Naissance : 13 mars à Paris
    Orientation Sexuelle :Hétérosexuelle
    Nationalité: Française.
    Groupe : Humaine
    Classe Sociale: Duchesse




Description Physique :
Aelita est une jeune fille belle et désirable.
Son teint est d'une fraîcheur éclatante et ses cheveux roux tombent en cascades lumineuses sur ses hanches gracieuses, comme si la jeune fille sortait du bain, encadrant un visage rond et harmonieux, éclairé d'un sourire triste. A l'opposé des blondes sophistiquées et stéréotypées qui fait fantasmer les jeunes hommes, elle incarne une beauté naturelle et authentique, rayonnant d'aisance et d'énergie. Il flotte dans son sillage une subtile odeur de vanille musquée.
D'ordinaire, ses yeux exemple remplis d'étrangeté ; l'un est bleu océan et l'autre est d'un vert prairie, sont rieurs et remplis d'une joie enfantine. Tous deux reflètent un lourd passé et semblent cacher, par instant, une peine immense. Sa peau pâle se révèle par endroit. Aimant beaucoup avoir les épaules dégagées, la jeune fille bafoue les règles de la décence et porte beaucoup de robe dont le corsage laisse paraître une légère partie de sa poitrine ferme et délicate.
L'ensemble de son corps créer par moments un contraste avec ça personnalité changeante. Aussi bien peut-elle paraitre enfantine dans un corps de femme, que femme dans un corps d'enfant. Aussi Aelita n'a quasiment pas recourt au maquillage, juste un peu de rouge à lèvre et de fard à paupière et la jeune femme semble aussi radieuse que les autres nobles qui l'entoure.
Lorsqu'elle se déplace, sa démarche peut être aussi bien directe, rapide, décidée et ne laissant pas de place pour le batifolage et la rêverie mais lorsque la pression est relâchée, Aelita aime regarder autours d'elle, rêver et explorer les lieux nouveaux. Lorsqu'elle marche, la jeune fille est rapidement vu et peut aime se la mettre à dos. Ses hanche et ses épaules se balancent au rythme de ses pas entraînant le reste de son corps dans une grâce infinie.
Deux marques distinctes ornent le corps de la duchesse. La première, innée, est une tâche en forme d'ailes d'ange blanches, se situant dans son dos au niveau de ses omoplates, de part et d'autre de sa colonne vertébrale. La deuxième, située au niveau de son cou, juste en dessous de son oreille gauche, elle est visible lorsque ses cheveux ne tombent pas devant. Cette marque en forme de lignes entrecroisées ressort quelque peu brillante.



Description Mentale :
C'est un véritable vif-argent qu'Aelita qui possède l'art et la manière de passer d'un état émotionnel à un autre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire ! Hypersensible et particulièrement féminine, elle est un mélange de femme-enfant, charmante, sensible et douce ; et de maîtresse femme, conquérante, séductrice et entreprenante... une sacrée personnalité qui oscille entre timidité, effacement, dépendance, soumission et leur contraire. Il est vrai que bien-être et équilibre affectif lui sont nécessaires pour développer son assurance. Ainsi pourra-t-on la voir tour à tour réservée et timide, intériorisée, ravie de passer inaperçue, puis pétillante, espiègle, enchanté d'être sur le devant de scène et même effrontée, selon que l'ambiance dans laquelle elle se trouve est affective ou non... Elle oscille entre des phases d'hésitation et d'autre où elle est capable de tenter le tout pour le tout. C'est une affective qui a un grand sens de l'amitié, et montre des qualités certaines d'écoute, de finesse, et de psychologie certaines, ayant à la fois un sens aigu des détails et un intérêt pour ce qui est intimiste. L'humour est l'une de ses caractéristiques, et s'en sert souvent, tout autant pour sauver la face lorsqu'elle est dans ses phases à haute nerveuse que pour plaire ou encore faire un bon jeu de mots. Curieuse est insatiable, Aelita aime la lecture, mais son bavardage incessant devra être surveillé si vous ne voulez pas vous retrouver perdu dans des détails. Extravertie, elle aime communiquer, plaire, séduire et possède un charme fou. Elle rêve d'être le point de mire d'une assemblée ou d'un public qu'elle sait animer par sa présence et ses facultés d'expression. Tout en ayant besoin d'une sécurisation affective, elle déteste la monotonie et apprécie l'aventure et es nouveautés. Enfin, la vie est un peu un jeu pour elle, aussi possède-t-elle un coté ludique. Sentimentalement, c'est une femme agréable et de bonne humeur qui met de l'ambiance dans une maison, une hôtesse remarquable et remarquée. Certes, elle est séduisante, mais ne vous y fiez pas messieurs, à son sourire angélique : au fond c'est une insoumise qui ne se laisse pas si facilement séduire.

AU TRAVAIL AELITA ! Il lui arrive bien d'échouer par les voies les plus accessible, en gaspillant les chances les plus évidentes, les moyens les plus à sa portée, que triompher par les détours les plus inattendus, les chemins où nul n'aurait osé s'aventurer, où tout autre se serait irrémédiablement égaré. Plus le milieu est vaste, flue, voire inconfortable, plus elle se sent à l'aise. C'est donc souvent dans les activités marginales, des carrières d'appoint, par des rencontres fortuites, des coups de fortunes inespérés, qu'elle réussit le mieux. Autrement, dans les cas les PLUS négatifs, Aelita peut être entraînée, presque malgré elle, (parce qu’elle subit les influences et se prête aux manœuvres tortueuses) dans des imbroglios d'affaires suspectes, plus ou moins légales, de procédés douteux, d'opérations suspectes ou franchement fructueuse... Son itinéraires professionnel est généralement fluctuant, instable, parfois incohérent - marche à la fois fiévreuse et alanguie sur des sables mouvants. Au reste, elle joue sur une gamme de réactions et de comportements assez variés : tout en s'immergeant dans les eaux troubles d'une glauque insécurité, dans un bizarre mélange d'erreurs, de gaffes, d'à-peu-près et d'opportunisme, elle peut se tirer parfaitement des situations les plus tordues et les plus impossibles - exploitant même les éléments les plus embrouillés, les plus absurdes, en apportant soudain des solutions miraculeuses. N'essayant jamais d'imposer son jugement, d'exercer une quelconque pression sur la volonté d'autrui, on la voit se plier devant l'autorité - par l'esquive ou la dérobade - et laisser aux autres l'entière indépendance de leurs opinions, options et initiatives. Pour atteindre la pleine mesure de son rendement, elle a besoin de se sentir soutenue, comprise, aimée, portée par un courant, une ambiance inconditionnellement favorable, bien veillant, amicale. Si elle n'est pas littéralement "dans le bain", elle étouffe et s'asphyxie. Sa faiblesse est de ne savoir résister aux tentations et sollicitations multiples et contradictoires, de mal se contrôler, de se laisser trop aisément disperser, séduire, emporter par le flot des événements extérieurs ou de sa propre effervescence, avec une confiance exagérée, un peu laxiste, aux circonstances - ou à la providence. Si elle s'agrège spontanément à l'ensemble d'une collectivité ou d'une communauté, elle ne s'accorde pas volontiers aux structures particulières d'un groupe, aux détails d'une équipe, aux impératifs d'organisation, de précision, de délai, de répartition de tâches, des compétences et des spécialisations. Certes, elle accomplit assez docilement ce qu'on lui demande, mais elle demeure étrangère aux méthodes des rationnelles, et réfractaire aux carences de la discipline. Plus épris de pittoresque et de chimère que d'efficacité, plus fantaisiste que ponctuel, elle évolue dans un fouillis, un fatras, un magma où elle est la seule à se repérer - et, qui peut même dans certains cas lui fournir les bases d'une surprenante méticulosité, véritable chaos à rebours.

INTELLIGENCE OU PAS INTELLIGENCE ? La caractéristique principale d'Aelita est sa malléabilité psychique, qui conduit à une très grande plasticité mentale et à une ouverture intellectuelle aux nombreuses disciplines de l'esprit humain. Malheureusement comme elle s'intéresse à tout, elle a tendance à survoler les choses et à faire trop confiance à son intuition, par laquelle elle a l'impression d'acquérir une connaissance profonde de la réalité. Elle risque donc ainsi de surestimer ses facultés intellectuelles et risque de perdre du temps en s'engageant dans des voies qui ne lui correspondent pas réellement. La véritable "intelligence - Aelita" consiste à embrasser un maximum de systèmes de pensée, à relier les unes aux autres des idées apparemment dénudées de rapport : son intuition lui dévoile les fils ténus qui courent, indispensables, sous l'apparence des choses. Cette faculté, liée à l'imagination, peut aussi conduire à une sorte de génie créatif mais aussi un opportunisme exceptionnel. Mais tout en Aelita n'est pas "abstrait". Elle bénéficie, par exemple, d'un remarquable sens du commerce. Mais lorsqu'elle ne parvient pas à dominer, à canaliser les courants innombrables auxquels son esprit est réceptif, elle devient brouillon, étourdis, nébuleuse. Aelita a besoin d'éprouver ses capacités et d'affermir ses préférences pour telle ou telle discipline. Mais pour simplifier le problème, on peut dire qu'en règle générale, elle marque une préférence pour les carrières artistiques, la psychologie, les sciences sociales et militaires et/ou policières. Ce qui n'existe pas son imagination mobilise moins son attention. Elle apprécie peu les faits rigoureux et les leçons normalisantes. Elle est cependant portée sur les mathématiques et l'informatique car elle y a perçut depuis son plus jeune âge, leur universalité. Aelita n'ayant pas un tempérament de solitaire, préfère les activités qui s'exercent au sein d'une collectivité ou dans un but humanitaire. Elle aime venir en aide aux autres et se sentir utile au groupe. Ce qui compte avant tout pour elle, c'est de pouvoir s'exprimer, que ce soit par le biais d'une activité artisanale ou artistique, ou de sentir, pour le moins, qu'elle ne végète pas dans l'anonymat complet et que son action change un petit quelque chose dans l'ordre du mode.



† Ce qu'il/elle aime:
† Ce qu'il/elle déteste:


Biographie :

« La jalousie... Un sentiment omniprésent et incontrôlable. »


Aelita referma le livre qu’elle était en train de lire, le posa sur la table ronde juste à côté de fauteuil et s’étira, les mains au-dessus de sa tête, libérant ses membres pris de crampes et de raideurs. Quelqu’un frappa à la porte. Benjamin entra dans le bureau les mains chargées d’un plateau d’argent sur lequel était posé une théière, une tasse et deux scones. Le majordome s’avança et présenta le plateau afin qu’Aelita puisse prendre la tasse. La duchesse souffla légèrement sur le thé brûlant et en but une gorgée. Il était au jasmin. L’un de ses thés préférés importés directement de Chine. Elle se posa sa tête contre le dos du siège contre lequel elle était et ferma les yeux, laissant le doux parfum l’envahir. Benjamin était vraiment un fervent majordome. Il supportait tous ses caprices. La jeune fille restait étonné par la qualité du service donné.
« Merci Benjamin », fit elle, dans un souffle.
- Mais de rien mademoiselle Stones, répondit celui-ci en s’inclinant.
- Tu peux disposer maintenant.
- Bien.
Dès que la porte fut refermé, Aelita se leva et alla prendre un livre dans la bibliothèque avant de se rasseoire. Elle passa sa main sur le cuir épais qui avait était mis dessus. Le frottement la poussa à décrocher et ouvrir plus vite qu’elle ne l’aurait pensé le petit journal écrit par Angéla Stones, sa mère.
Elle avait une petite écriture fine et légère. Le souffle court Aelita commença à lire les premières lignes.

Journal d’Angéla Stones

Ces lignes sont ma vie, elles sont mes pensées, mes peurs, mes craintes, mes amours, ma solitude, mes joies, mes réflexions mais elles sont aussi des incompréhensions et des douleurs. Aelita, elles sont pour toi. Tu y découvriras ta famille, des réponses à tes questions et des erreurs qui t’ont menées où tu en es aujourd’hui. Mais ne sois pas trop dure quant à celui que tu appelais père car il ne fut qu’une victime de ce triste théâtre sombre et vengeur.


J’ai commencé en tant que simple fille de paysans. Les conditions de vie n’étaient vraiment pas favorables en dehors des villes, de plus avec l’industrialisation beaucoup de familles des campagnes sont allées s’installer dans les villes. La mienne n’échappa pas à ce phénomène et je partis à l’âge de six ans pour me retrouver au cœur de Londres, une ville dans laquelle tu as toujours vécu.
Ma mère alla travailler dans une industrie de vêtements. Elle travaillait toute le journée assise derrière une machine et ne gagnait guère plus qu’avant et toute la famille vivait dans la misère, je me mis donc à danser tout les jours sur des places et durant les marchés afin de gagner un peu d’argent pour mes parents et mes frères et sœurs. Je n’apportait pas grand-chose de plus mais s’était mieux que rien.
Un jour, alors qu’il pleuvait des cordes, il eut un accident. Je me fis renverser par une voiture. Qui aurait pu penser qu’un problème de se genre pouvait m’amener à se que je suis maintenant ? Georges Stones, le propriétaire de la voiture, était un duc revenant d’un voyage en France. Il n’était pas comme ces autres aristocrates qui m’auraient tenue responsable et qui m’auraient laissé dans la rue tel un chien. Bien au contraire, il me ramena chez lui et appela son médecin qui me soigna et lorsque celui-ci n’était pas là, s’était lui qui s’occupait de moi.
Les semaines passant, il arriva une chose auquel je ne m’attendais pas. Un affront pour sa famille. Nous tombâmes amoureux l’un de l’autre. Si j’avais su se que cela impliquerait, je me serais abstenue. Mais le mal était fait, il était impossible de revenir en arrière.
Cela se passa le dix-sept septembre 1660.
Cette date fut pour moi la plus belle de ma vie. Ce jour là, le duc Stones et moi, nous nous mariâmes. A ce moment là je ne me souvenais plus d’un homme que j’avais rencontré par le passé. On avait fait connaissance alors que je n’avais que douze ans. Il avait toujours été très intéressé par moi et durant un certain temps il ne me lâchait plus. S’était le comte Cutler Beckett. Un homme qui a toujours était charmant avec moi bien que sa réputation laisse à désirer car son père était mort peu avant notre première rencontre et beaucoup pensaient qu’il était son meurtrier car il était son seul héritier mais faute de preuve, il fut laissé en liberté...

Aelita referma le journal et le rangea dans l’un des tiroirs de son bureau.
Elle venait d’entendre du bruit dans le couloir. Deux secondes plus tard, on frappa à la porte. Angelo entra, le sourire aux lèvres, et alla devant Aelita, avant de remonter ses lunettes du bout des doigts. Angelo était le précepteur de la jeune fille et il venait tous les jours afin de lui montrer les bonnes manières, lui apprendre à bien se tenir et à gérer l’entreprise qui avait été autrefois celle de Georges Stones.
« Mademoiselle, c’est l’heure de votre cours de musique. Veuillez prendre votre violon et vous mettre devant le pupitre, s’il vous plait.
- N’êtes-vous pas censé dire « Bonjour » avant de commencer un cours, monsieur White ?
- Bien sûr, je vois que vous êtes de plus en plus perspicace mademoiselle. Mais passons. Je suis censé vous apprendre tout se que je sais pour votre bien et c’est se que je compte faire. »

Aelita fit la moue mais néanmoins se leva, alla chercher son instrument de musique et s’installa devant le pupitre. Elle jeta un coup d’œil à la partition que sont précepteur venait de mettre devant elle avant de pousser un cri de stupeur.
Angelo se tourna vers elle, une baguette à la main, un sourire cruel s’étirant sur son visage pâle.
« Oui ? »
La jeune fille leva les yeux vers lui.
- Je ne peux pas jouer cela ! C’est trop compliquer pour mon niveau. Monsieur White…
- Et moi, je ne veux pas entendre vos gémissements. Je vous ais donné cette partition à apprendre et à jouer donc vous ferez se que je vous dis de faire. Vous n’êtes pas assez concentrée, ceci vous permettra d’être un peu plus rigoureuse. Donc maintenant, je vous donne quinze minutes pour l’apprendre et après vous me la jouerez. Me suis-je bien fais comprendre ?

Il s’approcha, l’air menaçant, d’Aelita qui ne pu que souffler avant de jeter un coup un autre coup d’œil vers le pupitre et de nouveau se mettre devant afin de lire les notes de musique qui noircissaient la page blanche. Tandis qu’elle apprenait, Angelo alla devant la fenêtre et regarda dehors, le soleil faisant briller son visage.

...Un jour il passa au manoir. Georges l’accueillit en ami, bien qu’il était l’un de ses concurrents pour l’acquisition d’une entreprise d’épices. Ils passèrent la journée à parler affaire. Se fut tellement long que je partis faire une ballade à cheval avec une servante dans le jardin. Lorsque je revins, le comte Beckett sortait du manoir à toute allume, l’air furieux. Apparemment, l’entretien avec mon mari ne s’était pas très bien passé mais je restais muette, échangeant juste un regard avec Alina.
J’ai trouvé mon mari seul dans le salon, une tasse de thé brisée, laissant son contenu se répandre sur la moquette épaisse. Georges se tenait la tête, le souffle court. Je ne l’avais jamais vue ainsi. Mais se n’était pas lui qui avait lancer la tasse par terre. Il resta silencieux à mes questions sur se qui s’était passé et semblait, a chaque fois qu’il me voyait, que se serait la dernière fois.
Je ne pouvais plus aller nulle part seule, comme si il avait peur que je disparaisse.
Quelques mois plus tard, un homme s’est présenté à nous, après le départ du majordome de la maison Stones. Il venait pour le poste à pourvoir et fut accueilli tout de suite par mon mari qui le mit à l’épreuve à l’instant même. L’homme se révéla être très doué et dont les services étaient plus que bien. Il faut aussi dire qu’il était plein de charme, très compétant et ce, dans tous les domaines. Un mot le décrivait : IMPRESSIONNANT. Il exécutait toutes ses tâches et trouvait même le temps de rester avec moi lorsque j’étais seule.
Mais une relation comme celle-ci ne reste pas et nous fûmes tous deux amants. Je l’avoue, s’était une grande erreur car je n’aurais pas dû tomber sous son charme. J’ai été très naïve. Nous nous retrouvions de plus en plus souvent et un beau jour, nous avons fais l’amour. S’était en Juin, l’année qui précéda ta naissance, alors que Georges n’était pas au manoir. Il était en voyage d’affaire en Inde.
Au départ, je me le suis caché car je n’y croyais pas moi-même mais un jour ou l’autre il faut se rendre à l’évidence. Et tu n’es donc pas la fille de Georges Stones mais bien d’Angelo White...
Aelita déglutit.
Elle ne croyait pas se qu’elle lisait, pourtant s’était vrai. Elle le savait. Cela voulait donc dire que son précepteur était, en faite, son père ? Cela semblait aussi impossible que de toucher la lune. Par ailleurs, Angelo ne semblait pas si âgé que ça. Il devait avoir une trentaine d’année et ne pouvait avoir connu sa mère. Non, s’était complètement illogique ! La jeune fille se sentait prise de nausée.Elle décida de ne pas continuer sa lecture pour le moment et posa le journal sur son bureau afin de « digérer » se qu’elle venait d’apprendre. Rien que de savoir qu’elle n’était pas la fille du duc Stones, la rendait malade.
Elle se leva et alla dans son petit salon afin de boire une tasse de thé.
Son majordome la lui apporta.
« Avez-vous besoin d’autre chose mademoiselle », demanda-t-il, soucieux.
- Oui, en effet, la duchesse. J’aurais besoin des nouvelles d’aujourd’hui.
- Bien, my lady.

Il quitta le salon et revint quelques minutes plus tard.
- Il y a des nouvelles de l'Assassin, mademoiselle. Il a de nouveau frappé. Tenez, regarder.
Aelita prit le parchemain et jeta un coup d’œil à la première page. Un cri lui échappa.
Elle se leva comme si elle venait de se brûler. Sur la la reproduction se trouvait une femme qui ne lui était pas étrangère. Elle était sur de l’avoir vu quelque part dans un passé proche. Soudain, tout lui revint en mémoire : durant sa dernière sortie en ville, une femme d’une trentaine d’année l’avait abordé pour quelques pièces. Aelita se souvenait qu’elle lui avait parlé d’un bébé qu’elle portait, et par acte de charité la jeune duchesse lui avait donné un peu d’argent.
Encore perdue dans ses souvenirs, elle ne s’entendit pas demander à son majordome de préparer la voiture pour la ville ni prendre son manteau avant de franchir la porte d’entrée.
Dehors, de gros nuages noirs planaient au dessus de Londres.
Aelita monta dans la voiture et ne parla quasiment pas durant le voyage. Benjamin ne cessait de jeter des regards en biais à la jeune fille, soucieux de sa santé et du fait qu’elle ne prononce le moindre mot. Il voulut lui prendre la main mais juste au moment où il se pencha pour la prendre, Aelita retira la sienne, le regard toujours tourné vers la fenêtre.
Soudain, la foule se fit plus dense.
Aelita demanda au cocher de s’arrêter et descendit, le pas sûr et rapide.
Elle marcha jusqu’à se qu’elle arrive en première ligne. Devant elle, passa deux hommes transportant un brancard recouvert d’un drap blanc, cachant à la population la vue du corps lacéré. La jeune duchesse sentit son cœur se serrer sans arriver à en déterminer la cause. Arrivant devant elle, l’un des hommes trébucha et l’un des bras de la victime glissa hors du brancard, faisant tomber un objet brillant que la jeune fille prit, tendit que les hommes remettaient le bras sous le drap.
Aelita n’eut pas le temps de regarder l’objet qu’elle venait de ramasser. La foule s’écartait, laissant passer le comte Georges, accompagné de plusieurs personnes.
Benjamin se raidit et grogna en voyant le groupe s’approcher du lieu où le crime avait eu lieu. Il sentait une présence étrange et se ne fut qu’au bout de quelques minutes qu’il en détermina la cause. Sebastian Michaelis accompagnait son jeune maître.
« Nous devrions partir mademoiselle », fit le majordome d’une voix inquiète. Il y a beaucoup de monde, et le meurtrier pourrait être là à guetter sa prochaine victime.
- Oui, allons-y,
répondit la jeune fille.
Elle tourna les talons et repartit dans la voiture, serrant l’objet qu’elle avait garder dans la main sans savoir se que s’était. Se ne fut que lorsque qu’elle fut loin de la foule qu’elle ouvrit sa main, découvrant un pendentif en or en forme de cœur pouvant s’ouvrir sur le côté laissant apparaître une photo de femme que la jeune fille connaissait bien.
S’était sa propre mère.

...Je sais que s’était une erreur et que tu dois m’en vouloir et je ne t’en blâme pas. Lorsque j’ai accouché de toi, j’ai tout de même mentis à mon mari, et prétendis que tu étais bien la fille de Georges se qui t’accorderais le rang de duchesse et la reconnaissance de celui que j’avais toujours aimé.
Mais la nouvelle que tu ne sois pas la fille de Georges atteint les oreilles du comte Beckett. Un peu plus tard, il tenta de renverser mon mari afin de prendre son entreprise en créant un scandale dont tu étais le centre. J’appris qu’il avait un lien avec Angelo White et que celui-ci lui avait proposé de me mettre enceinte. Cutler accepta en pensant que je viendrais vers lui lorsque Georges aurait des ennuis mais il ne s’attendait pas à se que je reste auprès de l’homme que j’aimais et que je l’aiderais à remonter la pente après lui avoir tout avoué et que celui-ci me pardonnerait.
Tu as été reconnu par Georges comme ta fille se qui a calmé les ardeurs de la presse et nous a permis de reconstruire une vie saine et de pouvoir ressortir sans créer un nouveau scandale. Beckett avait échoué dans son entreprise. Mais un homme comme lui n’abandonne jamais...


Aelita soupira en lisant les dernières lignes du journal d’Angéla Stones, avant de le refermer et de le poser sur le bureau.
Des larmes étaient apparues dans ses yeux.
A présent, elle connaissait toute la vérité. Elle en déduit que s’était Lord Beckett qui avait commandité le meurtre de ses parents mais qu’en tant que comte, il n’avait pas pris le risque de se salir les mains et avait sûrement ordonné à Angelo de les tuer tous. Mais qu’il avait échoué à son sujet et que maintenant, s’était pour cela que le meurtrier de ses parents avait refait surface.



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    Comment t'es-tu retrouvé parmi nous?:Comme ça..
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Dernière édition par Aelita Stones le Jeu 5 Avr - 22:19, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Aelita Stones [FINIE]   Aelita Stones [FINIE] EmptyLun 9 Mai - 17:51

Cette fiche est-elle terminée ?
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MessageSujet: Re: Aelita Stones [FINIE]   Aelita Stones [FINIE] EmptySam 28 Mai - 9:47

oui, je n'ai pas d'icone :s
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MessageSujet: Re: Aelita Stones [FINIE]   Aelita Stones [FINIE] EmptySam 28 Mai - 17:54

Oh Oo ! De retour à ce que je vois, j'en suis ravi ^^.

Bon eh bien, j'ai lu ta fiche.

Ton histoire me plaît, elle est bien écrite, et bien réfléchie. Le seul bémol dans ta fiche, ce sont tes descriptions, elles sont trop courtes. Ainsi pourrais-tu ajouter quelques lignes, décrire plus son caractère et enlever les "ce qu'elle aime" ...."ce qu'elle n'aime pas".... pour les remplacer par de belles phrases (ce que tu sais faire en plus!)

Développe donc tes descriptions, sois plus précise, permet nous de mieux comprendre Aelita, c'est tout ce que je te demande, et je te validerai =)

Bonne journée, préviens moi dés que tu as finis !
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MessageSujet: Re: Aelita Stones [FINIE]   Aelita Stones [FINIE] EmptyDim 29 Mai - 8:45

Oki, je m'excuse de ne pas avoir pu répondre plus tôt mais j'ai eu des soucis d'ordi.

Je fais ce que vous m'avez dis tout de suite... Wink
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MessageSujet: Re: Aelita Stones [FINIE]   Aelita Stones [FINIE] EmptyVen 10 Juin - 6:47

Bonjour !!

Ta fiche est-elle terminée à présent ? ^^
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MessageSujet: Re: Aelita Stones [FINIE]   Aelita Stones [FINIE] EmptyVen 29 Juil - 17:07

Fini (j'ai très étoffé la description mentale - peut-être trop :S)
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MessageSujet: Re: Aelita Stones [FINIE]   Aelita Stones [FINIE] EmptyVen 29 Juil - 17:45

Aaaah ! Ravi de te voir de nouveau avec nous ~

J'ai lu tes modifications. Et je trouve que tu as bien étoffé le mental, c'est parfait.
Le physique aussi, moins, mais tu l'as fais. Quant à l'histoire je l'avais déjà approuvée.

Il n'y a donc plus rien qui puisse m'empêcher de te valider.
Je te valide donc. En tant que Duchesse, dans le groupes des Nobles/Humains.

Tu peux faire une demande de Rp, mais aussi une demande d'appartement privé aux château (car tu es une noble). N'oublies pas de créer ton Journal de Rp et tes Relations et Liens.

Amuse toi bien parmi nous, bonne soirée.
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MessageSujet: Re: Aelita Stones [FINIE]   Aelita Stones [FINIE] EmptyMer 3 Aoû - 17:29

Merci
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