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 Doux moment avec les morts... [PV]

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MessageSujet: Doux moment avec les morts... [PV]   Doux moment avec les morts... [PV] EmptyMer 20 Juil - 0:10

La pluie, c'était quelque chose que Maxwell aimait tout particulièrement. On ne voyait souvent par temps que pluie que les lycans dehors si les vampires et les humains n'étaient pas obliger de sortir. Une ambiance qu'il aimait, une sensation apaisante. L'eau glissant plus ou moins doucement sur vous avec une violence varier presque calculer, une douce grise pouvant la réchauffer ou alors un puissant vent froid vous glaçant le sang. Mais ce que Max aimait le plus, c'est cette effet de fausse nuit que la pluie donnait même à midi, les nuages noir recouvrant l'astre solaire et plongeant la totalité de la ville dans les ténèbres. Oui, il aimait vraiment la pluie, le tonnerre et les éclaires sans oublier le brouillard qui donnait un effet de ville fantomatique à la capital.

Il se leva donc de son bureau et s'approcha de la fenêtre pour y poser une main et le front, il balaya brièvement la cour extérieur du regard pour s'arrêter sur un point violet. Son jumeau n'avait surement pas attendu que le temps se dégrade vraiment pour sortir, il devait être dehors depuis que les premières goûtes étaient tombées du ciel ce qui n'étonnait pas vraiment le bleu. Il avait toujours été comme ça, pourquoi changer aujourd'hui.

Ce fut donc dans un sourire qu'il prit un manteau pas trop chaud, plus pour le style qu'autre chose. D'ailleurs n'importe qui aurait dit qu'il se rendait à une réception de la noblesse ou au château habiller comme il l'était. Portant une chemise blanche accompagner d'une cravate et d'un gilet aussi bleu que ses cheveux, il porte pour le bas un pantalon noir avec des bottines à petit talon (comme ciel Oo) noir également avec quelques petites chaines couleur or et lui arrivant aux genoux. Le manteau qu'il a prit est compte à lui également noir et lui arrive au niveau des tibias, il possède un colle blanc en pointe vers le bas, compte aux manchettes, elles sont large et comment du coude au poignet et ses cinq bouton sont du même or que ses chaussures et que ses trois chaines sur le devant de la veste. Il est donc inutile de dire qu'il est impossible de totalement le fermer et que s'il est là c'est uniquement en "décoration" et non pour se protéger de la pluie. Le tout accompagner d'incontournable gants blanc également.

Nul besoin de porter plus ou moins par ce temps et un parapluie ? C'était dérisoire et complétement idiot. Il prit tout de même un long manteau totalement noir avant de quitter son bureau. Le mettre ? Sans façon, il avertit un ou deux domestiques qu'il croisa de sa sortit et inutile de dire qu'on le réprimande, "sortir par ce temps, My Lord vous allez tomber malade", "My Lord prenez au moins de quoi vous couvrir et un parapluie" et bien d'autre encore. Mais chaque fois il montra la veste en disant qu'il attendait simplement d'être devant la porte pour la mettre.

D'ailleurs une fois celle-ci franchit, il alla à côté de son frère sans dire le moindre mot et quand celui-ci se tourna vers lui, il lui tendit le manteau en lui disant que de cette façon il pourrait faire semblant de l'avoir porter quand il voudrait rentrer. Puis sans un mot de plus il quitta son cher lui pour vagabonder dans la ville sans but précis espérant simplement ne pas être déranger dans ses pensées et que la pluie ne s'arrête pas.

Une fois au centre de Paris il ne fût pas étonner de ne voir personne ne ville, et les rares passant qu'il croisait était tout sauf humains. Combattre ? Inutile, il n'était pas le genre de loup à attaquer sans raison même un vampire. Certaine boutiques avaient fermé en avance devant le mauvais temps et le fait que les clients ne se présentaient pas. Il passa devant celle de son frère et sourit en voyant qu'elle était ouverte, il devait surement encore travailler, surement sur de nouvelles créations plus pour lui même et ses frères que pour les gens de la noblesse et autres.

Il décida tout de même d'aller y faire un tour même s'il savait que celui-ci détestait être déranger quand il travaillait. Il passa donc la porte et se mit à rigoler quand il vit une masse de vêtements s'écraser à terre. Il s'approcha de la forme à terre et proposa lui proposa de l'aide pour se relever ce que la personne accepta même en râlant. Quand Max releva son jeune frère Elliot il en profita pour le prendre dans ses bras en lui disant que sa nouvelle robe blanche, jaune et noir lui allait très bien. Après avoir râler un long moment, le blond proposa quand même à son frère une tasse de café dans l'arrière boutique ce que celui-ci accepta.

Ils parlèrent longtemps, de chose et d'autre, de passé, du présent et du future. De la vie que chacun menait. Max aimait parler avec lui, pas seulement pars-qu'il était son frère, mais également parce que même s'il savait pour la mafia il ne lui posait jamais de question, il ne lui faisait jamais de remarque et même de petite allusion. Et c'était quelque chose que le bleu appréciait beaucoup, car les gens même sans raisons materne trop leur proche comme si chaque personne sur la planète était fait en sucre. Bien entendu il était normal de s'en faire pour les gens au quel on tien, mais toute chose à ses limites.

Quand ils terminèrent de parler Maxwell fût heureux de voir que la pluie et le mauvais temps était toujours là, il salua donc son frère qui lui dit de faire attention à ne pas tomber malade plus pour se moquer de lui que par réelle inquiétude.

Une fois de nouveau en ville le lycan continua de déambuler comme une âme égarer. Il aimait cette sensation de ville fantôme qu'offrait Paris à ce moment, une sensation encore plus forte que d'habitude, peut-être était-ce pour cette raison qu'il se mit doucement à marcher vers la sortit de la ville. Il ne savait pas vraiment dans quel direction il allait, c'était plus machinal qu'autre chose. Une sorte de réflexe, d'instinct lui disant de se rendre là-bas sans savoir exactement ou se trouvait ce "là-bas". Mais, faut il forcément savoir ou nous allons et surtout pourquoi nous y allons ? Bien sûr que nous, certaine chose se font sur des coups de tête, faire la chose sans penser à ce qui pourrait arriver par la suite, c'était surement l'une des caractéristiques des loups ? Ou cela était une caractéristique de l'humain ? Ce n'était pas vraiment important, en fait à ce moment rien n'était important au yeux du bleu. Rien sauf la sensation des goûtes ruissellent sur son visage, rien hormis l'effet que le vent lui provoquait en entourant tout son être pour ensuite reprendre sa course sans jamais s'arrêter.

Ce ne fût qu'après un long moment qu'il réalisa qu'il était finalement arriver au cimetière, déjà que cette endroit était lugubre sauf sous le soleil de midi, désormais il donnait l'impression que des morts allait sortir de leur tombe pour dévorer les humains, détruire le monde et d'autre chose du genre. Oui, cette endroit était encore plus lugubre, terrifiant, sinistre et inquiétant que d'habitude. Et ça plaisait au jeune homme, cela lui faisait apprécier encore plus cette endroit de repos pour les morts.

Il fit le tour des tombes lisant chaque nom sans y prêter la moindre attention, il en connaissait surement, mais nul ne peut ramenez les morts à la vie et pour les humains elle est incontournable. Il s'arrêta soudain à un nom de famille qui le titilla. Un abri pour des défunt noble avec écrit dessus "De la Roche", le lycan fit directement le lien avec sa petite protéger Adeline. Il s'agissait des ses parents il aurait donner son sang à des vampires. Il soupira et appuya son dos contre son mur avant levant la tête vers le ciel et fermant les yeux laissant le ciel continuer de pleurer sur son visage attendant simplement que sa tristesse prenne fin pour bouger.
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MessageSujet: Re: Doux moment avec les morts... [PV]   Doux moment avec les morts... [PV] EmptyMer 20 Juil - 9:39

Adeline Patience était d'humeur heureuse aujourd'hui, comme toujours après tout !

Elle était encore dans son lit, pourtant c'était l'après-midi. Mais elle adorait dormir quand son maître ne lui demander pas de faire quelque chose. Elle se tournait et se retournait dans son lit. Ca l'amusait et à la fois, ça lui provoquer une sensation de douceur et de chaleur. Après s'être "amusée". Elle sorti du lit en espèrant pouvoir voir le beau visage de son maître. Elle frappa donc à la porte, et n'entendant aucunes réponses, elle ouvrit. Il était étrangement pas ici. Pourtant, le plus souvent, il était là... Soit...

Adeline Patience rentra donc dans sa chambre et s'habilla d'une longue robe blanche et des bottes noires.... Elle attacha ses cheveux noirs en couettes comme d'habitudes et elle ne se mit pas de cache-oeil. Il pleuvait aujourd'hui... C'était si dommage... Elle mit une légère veste en laine sur, son dos et sorti, elle prit en sortant en parapluie car cette Demoiselle n'aimait pas avoir froid. Dehors, elle aperçut les nombreux domestiques et un attrapa son bras en disant:


- Lady De la Roche, Lord Lightning est sorti sans parapluie et avec une veste, il va attraper froid ! Rattrapez le, nous vous prions de faire ceci.
- Avec plaisir...
Dit-elle en marmonnant.

Adeline Patience fut agacée d'entendre cela, son maître avait un don pour faire angoisser ses domestiques. Elle arbora donc un air drôlement agacé avant de partir. Elle marcha le long des rues, n'apercevant que très peu de passants, elle était seule, cherchant par tout les moyens de retrouver son maître...

C'est alors qu'elle aperçut une boutique de vêtement, elle y entra, posa son parapluie sur le côté et vit un jeune homme faire tomber une pile de vêtements. Elle se baissa pour ramasser les vêtements qui était tombés. Il lui adressa un sourire gêné et lui dit:


- Que je suis maladroit. Je m'excuse Lady...
- Ce n'est point grave...


Elle regarda ensuite la petit affiche collé sur une vitrine de sa boutique: "Elliot Diamond Lightning". Quoi ? Ce jeune homme serait...
Soit, elle se frotta la tête et sorti de la boutique en marmonnant au passage:


- Au plaisir de vous avoir rencontré, mon cher.

En sortant, elle regarda le ciel... Toujours aussi grisonnant et triste, elle soupira... Adeline Patience rouvrit son parapluie et parti à la recherche de son maître, elle chercher à chaque recoins de la ville et à chaque ruelles. Il pouvait être n'importe où... En train de faire la cour à une Lady ou à marcher "dans le vide", comme elle disait toujours, c'est à dire, n'importe où ! Elle aperçut au loin le cimetière. La Demoiselle n'avait pas du tout envie d'y aller, cela lui rappeler trop de souvenirs douloureux et poignant. Ses yeux vairons restèrent fixés sur le même objectif, tentant d'apercevoir une petite touffe de cheveux bleus dépassant quelque part, mais non, rien ! C'est donc avec remord, qu'elle s'approcha peu à peu...

Adeline Patience entra dans le cimetière, elle se mordit la lèvre et força de nouveau sur ses yeux pour tenter de voir quelque chose. Elle n'aperçut rien, et donc, elle s'enfonça peu à peu dans le cimetière. C'est alors qu'elle vit quelqu'un appuyer contre un mur, près d'une tombe. C'était lui, c'était Maxwell, elle se mit à courir pour le rejoindre et enfin près de lui, elle reprit son souffle en mettant le parapluie au dessus de sa tête, elle dit, agacée par le comportement de son maître:


- Maître Maxwell, les domestiques s'inquiètent pour vous... Pourquoi être aller dans un endroit si sinistre ?!

En reprenant son souffle, elle aperçut que son maître était toujours aussi beau... Il était habillé tel un noble, comme si il allait au château d'un Duc ou d'un Comte pour un banquet. Si élégant, comme toujours...
A chaque fois qu'elle le voyait, ce n'était pas un simple maître qui luisait dans ses yeux, mais une personne qui lui a sauvée la vie deux fois et qu'elle accompagnera jusqu'à sa mort. Son maître est pour elle, sa vie...



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MessageSujet: Re: Doux moment avec les morts... [PV]   Doux moment avec les morts... [PV] EmptyMer 20 Juil - 20:43

Depuis combien de temps et pourquoi était-il là ? Il ne savait pas, il n'avait pas fait attention et de toute façon qui s'en préoccupait, il était bien là, seul avec lui même et avec les morts. Il se posait beaucoup de question, sur son passé, sur son présent et sur son futur. Il baissa le visage et regarda ses mains en se demandait qu'il était vraiment, après tout ce temps il avait fini par oublier, autant son véritable prénom que sa date de naissance. Il ne se souvenait même plus d'où il venait exactement, triste ? Oui ça l'était surement pour n'importe qui venant de l'extérieur, mais en fait lui ne trouvait pas cela si important, ce 'était qu'un détaille comme un autre, un passé parmi tellement d'autre. Et pourtant, il avait vu les humains grandir, évoluer, se détester, s'aimer, se faire la guerre pour ensuite de réconcilier sous de faux sourire hypocrite. Il verrait surement encore beaucoup de chose, il vivrait encore de longues années. En fait le plus ironique dans la chose, c'est que malgré le temps qui avait passer, il n'avait pas vieillit, il avait garder le même âge que le jour de sa transformation et il trouvait cela vraiment drôle, car les autres lycées mordu ou née eux continuer de voir le temps passer même si cela se produisait plus lentement que les humains normaux. Enfin, c'était une bonne chose dans le fond, sa le rendait encore plus unique....

Il releva la tête vers le ciel se demandant la mort allait venir le prendre à son tour, aurait-il le temps de revoir Reven, rattraperait-il le temps loin de ses frères, verrait-il les gens baisser les yeux et s'incliner au passage d'Adeline. Ou alors perdrait-il la vie longtemps après qu'eux se soit tous étaient ?

Il l'avait sentit depuis qu'elle s'était approcher du cimetière, il savait qu'elle était quelque part par la et qu'elle n'allait pas tarder à le trouver. Donc deux choix s'offrait à lui, soit il partait très vite pour la faire enrager en cherchant encore plus et il s'arrangeait pour rentrer avant elle, soit il attendait simplement qu'elle arrive profitant encore un moment de la pluie, du vent et de la préséance des morts. Après mur réflexion, il choisit tout de même la deuxième option, après tout il savait qu'elle n'aimait pas la pluie et elle avait beau jouer les braves elle restait humaine et elle s'enrhumait mine de rien très rapidement.

Elle arriva finalement à sa hauteur pour le réprimander en lui disant que les domestiques s'inquiétaient, son subtile subterfuge n'avait donc pas fonctionner, dommage il allait devoir faire mieux la prochaine fois. Enfin, le point positive était que son frère c'était lui aussi surement fait réprimander pour être rester aussi longtemps sous la pluie.

Après que la jeune fille est terminer de parler de parler il tourna simplement la tête en lui faisant un petit sourire pour lui dire que tout allait bien et que ce n'était pas bien grave un peu d'eau, il n'allait pas en mourir.

Oui, en la voyant il se remit les idées en place, il n'avait pas le droit de mourir, il n'avait pas le droit de la laisser et de s'en aller. Elle avait encore besoin de lui et il devait encore prouver au monde entier qui elle était, éliminer tous ce qui avait oser lui faire du mal et faire couler ses larmes, car c'était un père et que pour lui elle était comme sa fille. Bien entendu elle ne remplaçait pas Reven, ce ne serait jamais le cas et personne ne pourrait remplacer sa fille, non pour lui elle était simplement comme une seconde enfant et c'était son rôle de la protéger. Parce-qu'elle était différente et que les gens avait oser la rejeter à cause de cela.

Sans rien lui demander il lui prit la main et l'amena à l'intérieur d'un petit abri pour se protéger de la pluie, enfin c'était plutôt pour la protéger elle. Une fois à l'intérieur il ferma la porte et alla faire un petit tour pour revenir avec deux serviette, il en mit une autour autour des épaules d'Adeline et l'autre sur sa tête. Puis il repartit pour revenir quelques minutes plus tard avec deux tasse, l'une contenant du chocolat chaud qu'il donna à sa protégée, l'autre remplit de café qu'il garda pour lui. Il se mit ensuite devant la fenêtre regardant dehors, puis en se tournant vers elle avec un petit sourire aux lèvres il dit :


    - Mieux vaut attendre que la pluie s'arrête pour rentrer. Tu risques de tomber malade sinon.
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MessageSujet: Re: Doux moment avec les morts... [PV]   Doux moment avec les morts... [PV] EmptyMer 20 Juil - 21:10

Après l'avoir réprimandé tel un parent réprimande son enfant arpsè qu'il ait fait unebêtise, Adeline Patience soupira de désespoir, attendant la réaction de son maître, lui, se contenta de sourire naturellement, comme toujours, car il savait que cette réaction avait le don d'énerver la jeune fille, elle avait l'impression qu'il se moquait littéralement d'elle, ce sourire rusé qu'il arborait sans cesse... Maxwell l'a fit entrer dans un petit abri qui étrangement était très confortable, même si elle ne contenait que deux pièces et qu'elle érait vraiment lugubre, contenant une fenêtre pour avoir une vue sur le cimetière mais bon... il faisait plutôt chaud à l'intérieur, Maxwell lui dit en gardant son sourire malicieux:

- Mieux vaut attendre que la pluie s'arrête pour rentrer. Tu risques de tomber malade sinon.

Elle hocha la tête, admirant de nouveau la beauté délicate telle une douce rose de son maître au passage... Non, elle n'était pas amoureuse de lui, et de toute manières, elle ne pouvait pas... Elle baissa donc les yeux à l'idée... Adeline Patience n'aimait pas penser trop à son maître. C'est après que son maître vint lui déposer une serviette autour des épaules, qu'elle garda, malgré qu'elle avait peu froid. Maxwell, lui, s'essuya les cheveux. Et peu après, il re-partit et re-vint avec deux tasses. Adeline Patience sut tout de suite ce que contenait sa tasse, du chocolat chaud, Maxwell savait qu'elle en raffolait tant, lui, siroter tranquillement un breuvage dont la jeune femme ne savait pas ce que c'était et Adeline Patience posa sa tasse mais elle lui sourit pour le remercier.

Peu après en gardant sa serviette sur ses épaules, elle s'approcha de son maître et saisit la serviette qu'il avait utiliser pour s'essuyer et elle se mit à délicatement lui essuyer le cou dont quelque cicatrices se faisait voir, mais elle le caressa si doucement avec sa serviette... Comme si elle avait peur que son maître se brise, elle tenait tant à lui, c'était comme si il était fragile et peu solide. Elle adressa un sourire charmant à Maxwell et lui dit en riant:


- Il ne faudrait pas que vous attrapez froid, sinon les domestiques vont me disputer comme quoi je m'occupe mal de vous, maître Maxwell.

Ses yeux brillaient de sincérité... Lorsqu'elle prononça le mot "maître", elle frémissa doucement, cela lui rappeler le passé, où Maxwell s'était occupée si bien d'elle ! C'est alors qu'elle tourna la tête vers la petite fenêtre. Elle s'y pencha doucement et s'aperçut qu'il pleuvait toujours, elle se re-dirigea vers son maître et lui dit d'un air peu heureux:

- Il pleut, c'est si triste... Le ciel est gris, ça désespéré tellement ! C'est comme si le ciel... Devenait jaloux du soleil ou bien qu'il pleure...

Adeline se re-mit à l'essuyer tendrement et admira son regard azure si touchant. Il avait le même air que d'habitude, sincère... Mais enjôleur ! Ce fut après l'avoir lentement essuyer qu'elle posa la serviette et se retourna pour se diriger de nouveau vers la fenêtre...
C'est alors qu'Adeline remarqua quelque chose de très gênant sur elle. Sa robe était devenue transparente à cause de l'eau, donc à travers cette parure, on pouvait apercevoir ses seins. Elle se les cacha donc en tentant d'être discrète mais ce fût dur, car elle rougissait et se mit à pousser des petits gémissements de gêne mais elle fit tout de même semblant de regarder de nouveau à travers la fenêtre. Adeline Patience se retourna vers son maître et cacha sa poitrine avec sa serviette et son gilet en laine, hélas son petit gilet était également trempé, ce qui n'arrêtait pas d'humidifier la robe donc sa gêne ne faisait que commencer, elle demanda à Maxwell en bafouillant:


- Maître, vous voulez que je vous essuie encore ou... Ou ça ira ?

Le rouge lui monta aux joues et elle se mit à cligner des yeux de nombreuses fois de suite, ses sourcils battaient donc sans cesse tel un oiseau battant des ailes.
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MessageSujet: Re: Doux moment avec les morts... [PV]   Doux moment avec les morts... [PV] EmptyVen 9 Sep - 20:58

Max regarda Adeline se lever pour venir l0essuyer. Elle savait pourtant qu'il n'allait pas attraper froid comparer à elle. Il avait après tout survécu à la peste, au choléra et d'autre maladie du genre et si jamais il lui arrivait quelque chose il n'avait qu'à attendre la pleine lune ou se nourrir de sans et ainsi il irait mieux ensuite. Alors que elle, il faudrait l'amener voir un médecin, lui acheter des médicaments et attendre sans savoir si elle survivrait ou pas. Bien entendu pour elle il n'hésiterait pas à donner tout ce qu'il avait pour acheter des remèdes et faire venir les plus grand médecin du pays, mais il ne voulait pas devoir attendre de savoir si elle allait le quitter, s'il devrait la mordre pour qu'elle survive. Cette attente tellement longue et douloureuse, cette peur de voir partir l'un de ses proches, non il ne voulait pas subir cela. C'était égoïste de sa part pensée uniquement à son mal à lui. Mais il savait qu'il aurait du mal à s'en remettre si elle devait partir surtout qu'il resterait à ses côtés jusqu'à la toute fin et plus encore. Et pourtant... Elle ne semblait pas se rendre compte de cela ce qui le peinait grandement.

Il la laissa pourtant faire sans rien dire. Sa lui faisait plaisir autant que de l'appeler maître, alors il ne disait jamais rien même si au début cela l'avait quelque peu déranger et qu'il lui avait souvent fait la remarque, désormais il la laissait toujours faire.Quand elle termina et qu'elle se mit a tripoter sa serviette entre ses mains Maxwell remarqua que sa robe blanche était devenu transparente. Bien entendu cela se serait produit avec n'importe quel autre femme il l'aurait tout de suite remarquer. Mais avec Adeline ce genre de chose n'avait plus d'importance, pas à cause de sa différence loin de la même, seulement... Avec elle il regardait simplement quelque chose d'autre. L'apparence passait au second plan. Chez elle il aimait voir et admire sa fidélité et son sens de l'honneur, sa façon d'être et de vivre, ses pensées et ses choix. Bref avec elle la beauté prenait un tout autre sens et cela la rendait encore plus particulière à ses yeux. Elle n'était ni un homme ni une femme, elle n'était ni un jouait ni un pion et encore moins un outille qu'il jetterait quand il n'en aurait plus besoin. Elle était simplement Adeline et il appréciait tout cher elle.

En fait pour tout dire, elle lui rappelait parfois Elliot. Pas dans le fait qu'elle soit différente au niveau de son hermaphrodisme, même si son jeune frère n'avait pas l'air totalement homme pour certain, serte il avait des traits très féminins et se plaisait à s'habiller en femme ce qui portait parfois à confusion. Mais ce n'était pas cela qu'ils avaient en commun. Dans ce cas de quoi s'agissait-il ? Le fait de rejeter leur inquiétude sur d'autre peut-être avec des remarque tel que "X personne va me disputer", "Y ne va pas apprécier", "Z va se faire du soucie" et bien d'autre encore. Oh, il y en avait d'autre des similitude tel que le fait de lui cacher ou des choses ou de ne pas tout lui dire. Généralement cela n'avait jamais grande importance sur lui après tout pour le lycan chacun faisait sa vie comme il l'entendait et tout le monde avait son jardin secret qu'il ne voulait pas révéler. Mais il savait qu'il fallait mieux faire attention avec ses deux. Car, étant chef d'un gang certaines personnes ne lui voulaient pas que du bien et il n'était pas assez naif pour penser que tout le monde lui voulait du bien. Il ne s'en faisait pas autant pour Zack sachant que celui-ci pourrait très bien se débrouiller tout seul, mais Adeline était humaine et même si elle se donnait à fond elle ne pourrait pas faire grand chose contre un vampire ou un lycan et Elliot n'avait jamais vraiment apprit à se battre se qui en faisant bien entendu des cibles de choix surtout pour l’atteindre. Oui il n'y avait pas à dire ses deux la se ressemblait vraiment et s'il venait à se rencontrer et se voir régulièrement il ne donnait pas chère de la suite des événements et de sa tranquillité même si parfois elle était vraiment minime.

Perdu dans ses pensées il ne répondit à aucune des remarques de la jeune fille. Non il l'écoutait, il avait simplement parfois envie de prolonger son silence. Pas pour l'énerver ou la taquiner.... Enfin pas toujours mettons-nous d'accord après tout faire enrager Adeline était l'un de ses petits plaisirs d'on il ne se lassait pas, non parfois il n'en trouvait juste pas l'utilité. Attention, elle ne disait bien entendu pas n'importe quoi, mais certaines questions ou remarque méritait parfois de rester en suspend. Pour quelques minutes, quelques heurs, des jours, des mois voir des années. C'était le cas parfois pour ce qu'elle disait, de plus il n'avait pas besoin d'ouvrir la bouche pour qu'elle comprenne ce qu'il voulait dire. Donc s'il pouvait garder le silence il ne se privait pas de le faire. Après tout, bien que la parole soit d'argent le silence lui est d'or.

Il la regarda avec un doux sourire, retira son "manteau" et l'entoura avec. Bien que se ne soit que décoration et qu'il ne se fermait pas totalement sur lui, il n'y avait aucun problème pour Adeline. Il la recouvrait totalement et il était désormais impossible de voir ne serait-ce qu'un peu de sa robe. Maxwell lui prit ensuite par les épaules et la réinvita à s'asseoir avant de retourner vers la fenêtre prendre son café pour aller se poser à côté d'elle. Il le sirota doucement avant de dire :


    - Entre nous deux je suis celui qui a le moins de chance de tomber malade. Mais c'est vrai que tu n'aimes pas la pluie. Moi voix-tu, je la trouve au contraire reposante et apaisante , les goutes sont comme les larmes de notre mère à nous lycan, comme s'il s'agissait de la seul chose qu'elle pouvait nous donner physiquement. De plus.... La pluie est la seul chose qui n'a pas changer depuis tous ce temps....


Après avoir poser sa tasse Max se mit a cherché assez frénétiquement et comiquement quelque chose sur lui. Finalement après plusieurs longue seconde c'est heureux qu'il sortit l'arme la plus dangereuse qu'il avait sur lui. Sa pipe japonaise ! Un très bel objet bleu et or qu'il avait apprit à grandement apprécier ainsi que cette langue et ses coutumes durant sa vie là-bas. C'est donc tel un enfant fier d'avoir ouvert un cadeau tant attendu qu'il se mit à l'agité devant la jeune femme en riant. Puis il se leva, alla dans la cuisine et quelques minutes plus tard reviens avec sa pipe allumer. Maxwell retourna de nouveau s'asseoir en savourant son précieux ainsi que son café.

Bien entendu le bleu aurait aimer retourner sous la pluie, mais il doutait fortement que la brune soit du même avis et donc il attendit simplement. Aimant bien entendu trompé son monde et garder ses petites secrets pour lui il fit mine de ne pas connaitre et tourna la tête doucement de tous les côtés pour imiter une découverte qu'il mimait à la perfection. Laissant son regard se poser sur une cheminé il tourna ensuite la tête vers sa protégé. Elle allait vraiment tomber malade et sa veste n'allait pas arranger les choses au contraire, après tout avec le temps qu'il avait passé sous la pluie il doutait qu'elle sèche rapidement surtout dans un endroit aussi humide. Encore une fois il se leva et se mit devant le petit foyer afin de l'allumer et quand il fut certain que le feu n'allait pas s'éteindre et qu'il était donc assez fort pour réchauffer la pièce il alla derrière Adeline et la déplaça pour la mettre devant les flemmes dansante.


    - Voilà, comme ça tu sècheras plus rapidement. Mais dit moi, Zack était-il à l'interieur quand tu t'es réveiller et qu'on t'as demander de venir me chercher ?
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