Oyé Oyé populasse !

En cette journée de Saint Valentin, que diriez-vous d’exprimer sur papier votre sentiments, amicaux voir plus, envers la personne de votre choix ici-bas ?!

Vous n’êtes pas obligé d’être « en couple » avec la personne concernée ; être amoureux ou très bons amis suffit !.. Quoi que… Faire une déclaration a son pire ennemi, ça en jette aussi, pas vrai ?! Tout est permis ! Laissez libre court à votre imagination !

Pour se faire, rien de plus simple ! Envoyez-nous vos déclarations en Messages Privés sur le Compte Fondateur – le Maître du Jeu – avec le nom de la personne à qui il est destiné. Par la suite, nous le posterons ici et le soumettrons aux votes du public ! La déclaration ayant remportée le plus de succès se verra mise en valeur sur la PA et le destinataire monté en Membre du Mois ! Les identités de chacun ne seront révélées qu’une fois cette mini-animation terminée. Nous vous demandons, par fair-play avant tout, de ne pas voter pour vous-même, bien entendu :3

Merci d’avance et que cette bataille de vers commence !

Déclaration Numéro Une :

Tranchant les brumes du lac de ses ailes immaculées,
Le blanc cygne s’y fond avec une élégance inégalée.
A la manière de psaumes irrégulières,
Il surplombera cette clairière
Ou ne règne rien d’autre que l’Enfer de la guerre.
Mais malgré le fer qui au sang s’entremêle,
Je ne peux retirer de ma conscience tes yeux, précieuses gemmes.
Rutilants du vermeil poison de l’humanité,
Il m’est interdit d’en oublier, sinon d’en nier la beauté,
De même pour la candeur de tes traits,
Complétant avec grâce ta parure de lait.
En rien je ne puis prétendre pouvoir m’élever au rang de saint
Cet éphèbe de plumes et moi n’avons rien en commun.
Mais par le ciel ! que Dieu m’en soit témoin !
Cette déclaration n’est en rien la volonté du Malin.
Je me perds en mots et tournures formelles,
En espérant secrètement que tu sauras t’y reconnaître, ô, ma si frêle
D’apparence seulement car moi-même j’eusse appris à mes dépends
Que sous les plus splendides toilettes peut se dissimuler un serpent.
Je me satisfais de ce constat
Bien que les houles de mon cœur n’en font guère cas.
Tu fis fondre les anneaux de givre
Et de mon âme supprimé de désagréables bribes.
Bien qu’esseulé dans cette immensité couleur carmin,
Je ne rêve que de tes lèvres au petit matin…
Il me tarde de te retrouver, délicate comme la rosée
En ces quelques vers de poésie, j’espère voir mes sentiments exprimés.
Je t’embrasse et je t’aime, ma Fleur du Mal.

Déclaration numéro deux :

"Les mots s'en vont et viennent,
les poèmes ne sont qu'illusions que nos coeurs retiennent,
moi je vous aime
plus qu'un MOELLEUX AU CHOCOLAT et qu'à cela ne tienne, (pour la rime oui oui)
qu'on se le dise, qu'on le proclame haut et fort(et je n'ai pas de rimes en "ene" o//)