Celeste QueenMessages : 10 Date d'inscription : 19/12/2012 Age : 30 Localisation : Aucune idée ~Etat civil~Race :: VampireVos Rps en cours : Vos Relations: | Sujet: Queen Céleste Fin Sam 22 Déc - 15:24 | |
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IDENTITÉ : ♔Vampire♔♔Nom : Queen♔Prénom:Céleste♔Age Apparent:18 ans♔Age Réel :80 ans♔Sang-Pur/Mordu :♔Date et Lieu de Naissance :25 Dec. A Londres ♔Orientation Sexuelle :Bisexuelle♔Nationalité:Anglaise♔Groupe :Vampire♔Classe Sociale: Une simple étoile filante qui caracterise sa chasse expert, mais avant tout elle une astrologue.
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Nombreux sont ceux, qui pourrait la décrire. Depuis ce voile de sadisme qu'elle symbolise jusqu'à chaque parcelle de son enveloppe. De cette sublime étoffe qui dissimule de nombreux secrets, son corps respire l'envie, tel un paysage admiré, le regarde perdu ce balançant dent entre les vallées et les dunes. Ce regarde laisser porter par chaque courbe parfaitement tracée... Suivant la continuité, sans jamais détourner le regard. Cependant chaque chose en son temps. Pour commencer, il y a une lierne de foret, où prennent naissance d'adorables pieds, finement sculptés, d'une taille ajustée ainsi que son poids. Remontons la vallée suivons les trajets déjà tracés par le fleuve qui se déverse calmement. Il dessine, deux sillons aux bordures finement délicates. Puis ensuite deux jambes élancées, se mêlant et se démêlant dans une chance vraiment envoûtante. Quand elle marche, on croirait presque qu'elle danse... La fluidité orchestre de chacun de ses mouvements... Passant d'un mollet à l'autre, remontant encore jusqu'à la demi-cuisse marquée de bleu et de marque, les sillons se creusent et rebondissant, ils atteignent la cuisse. Laissons une part de mystère... Un fin secret divinement bien gardé par des fines soieries aux reflets d'orée. C'est alors donc a mi-chemin qu'il faut s'arrêter. Il faut prendre le temps de respirer, d'inhaler, ces fragrances naturelles qui émanent de la terre, encore peu altérées par ces artifices que l'on respire usuellement. C'est une senteur qui est tendue à la fois, éthérée... Pure ? et non encore souillée par celles qui tenteront de l'altérer. Elle chatouille délicatement les narines, elle plaît, elle attire c'est certes un fait... Pourquoi diable le nier ? À présent, après avoir humé, nous continuons l'exploration de cette agréable peinture. Nous étions donc à mi-chemin, entre les deux sillons du fleuve qui coule paisiblement et les nouveaux horizons qu'il reste à découvrir. Au-delà; une plaise s'étend à perte de vue, lisse, sans aucune difformité... Ce sont des hanches légèrement cintrées, accentuées par une cambrure dans laquelle s'Eracine son échine avec grâce. Chaque plaine s'affaisse, peu à peu, elle fléchit et laisse place à deux nouvelles. Ce sont les pinacles du paysage, les édifices les plus remarquables... Tant ils sont abondants... leur générosité, et la forme qu'ils adoptent sont des plus plaisantes... C'est une poitrine de plus jalousée. Admirablement compressée sous de complexes assemblages de tissus, ligatures ou corsets, tous les restreints sont effilée les uns que les autres... Q"ils ne font pas que couper le souffle, non alors ils donnent aux dunes toute leur beauté, laissant, à la vue des plus curieux, une fente s'y faufiler matoisement... Selon l'intérêt que lui porte l'oeil du spectateur qui la découvre. Mais il n'est pas étrange de voir certain y faire halte. Décidant une bonne fois pour toutes que l'exploration se stopperait en ces lieux tant admirés. Laissons-les à leur appétence, le paysage, rappelons-le, recèle de nombreux trésors.C'est alors qu'on franchit ces des jumelles ou objets de convoitise, et l'on retombe dans la plaine. C'est ici que débute la clavicule, c'est ici aussi que s'enracine une ravissante nuque droite émincée. Elle est le p support de la dernière étape du périple qu'il faut achever . Voici donc venue la partie la plus intéressante sans doute, celle qui plus qu'un corps admirablement conçu, permet d'identifier n'importe quelle entité. Il s'agit du visage de la finalité. Commençons par les lèvres, encastrées entre un menton et un nez remarquablement proportionnés. Ce sont sans doute elles qui fascinent par leur mouvement contrôlé, cette valse lorsqu'elle parle, anime ces deux lippes rosées, rougies parfois mais très peu, car la spontanéité doit être primée sur tout le reste. Mais maintenant il faut s'attarder avec hantise sur ce qui captive dès les premiers instant. Le regard. Un regard céruléen, rivalisant avec le violet lilas dans champs fleuris lord qu'il fait jour, et avec celui d'une bleue nuit étoilée. L'exploration touche à sa fin, le passage a presque révélé tous ces secrets, il ne reste qu'une dernière étendue, elle est insolite, elle suscite un bien grand nombre d'interrogations non . C'est alors qu'une chevelure lisse et soyeuse qui tient son originalité de sa couleur inaccoutumée? peut-être est-ce un bleu clerc; Ce sont réellement de une teinte violette qu'on peut y observer, se déversant de chaque côté du visage, l'encadrement gracieusement, pour venir colorer se portait et la peinture à laquelle il est associé. Des bleus sur une peau pâle se remarque, mais il faut a tout pris cacher pour ne pas se faire remarquer. Décrire une personne où se décrire soit même n'est pas pas chose facile. Il faut chercher à l'intérieur de soi ce que l'on est vraiment, mais avant tout il faut écouter son cœur, palpitant dans sa poitrine. Ce cœur qui vous fait vivre, mais vous donne des sensations qui vous font frémir. Savoir ce que nous sommes vraiment est un labyrinthe,vous pouvez vous y perdre à vos risque et péril. Vous jugerez de vous-même ce qu'elle vaut, même si elle est une fille parmi tant d'autres, dans un monde comme les autres. Ne vous précipitez pas dehors, asseyez-vous sur une chaise confortable et écoutez ce qu'elle essaie de vous dire, elle s'offre à vous, elle se dévoile. Elle laisse s’exprimer son cœur, alors écoutez-la.... La parole est d’argent, mais le silence est d'or. «Depuis ma naissance, comme toute personne, j'ai un cœur. Ce cœur durcit au fil les années, ses sentiments venant et partant dans ce cœur nous rendent plus fort. Petit à petit des briques de pierre se construisent autour de lui, cet organe nous fait mal quand quand des évènements nous touche cet organe qui nous fait vivre. Je possède depuis trop longtemps cette chose qui me fais me maintenir debout, et en bonne santé. Ou commencer... Et comment finir, je me prénomme Celeste. Quant à mon nom de famille, Queen, ce nom qui me poursuit depuis ma naissance, mais qu'au fil des années je me lasse. Mon âge est de dix-huit ans, mais à vrai dire j'en ai plus de quatre-vingts, tant d'années que je suis sur cette terre dans ce monde si indifférent aux autres. Tant de souvenirs sont inscrits dans mon cœur et font de moi ce que je suis. Mais au fond qui suis-je ? Pour certaines personne, je suis l'enfant du diable, une fille sans cœur et sans vie, une catin sortie de nulle part, une terreur, une folle, une sorcière mais pour d'autres, je suis le plaisir intense que toute personne veut, un plaisir, un désir, une envie, une aventure d'un soir, une folie. Il n'y a plus qu'il n'est pas. Cependant je n'ai jamais su ce que j'étais vraiment, parmi ses bons nombreux d'adjectifs, mais je sais une chose, c'est que je suis une femme. Vers un chemin, où les épines vous ralentissent, ainsi que des ronces barrent votre passage, la brume vous brouille les yeux vous rendant aveugle peu de personnes empreintes ce passage, la peur envahissent le corps de cette personne qui prend ce chemin peut risquer pour certains mais pour d'autres non. Ne allez pas, dans ce chemin, autrement vous êtes pris dans ce piège tourmenté infernal, vous ne pas soutirer de cet endroit. Se nourrissant de votre peur, de votre haine, de votre colère tout comme un suceur de sang vous mourrez en vous endorment, et jamais le réveille serait un de vos quotidiens. Cette sensation, je la connais, quand vous mourrez et que vous accrochez à une faible lueur d'espoir alors que votre corps est paralysé, et que la paranoïa montant jusqu'à votre cerveau. De jour en jour j'ai aimé cette folie ses ténèbres, ce chaos qui envahit tout mon être... mon âme. Je n'ai pas peur de la souffrance ainsi que cette peur qu'ont la plupart des personnes, non loin de là je l'aime beaucoup je trouve cela si sucrer. Mais que sont devenus mais vrais sentiments, suis-je sans cœur ou une âme dépourvue de tous sentiments ? Mais derrière ce journal que j'écris c'est moi, je suis le vrai de vrais Celeste qui ne fait qu'écrire quelque mot dans un livre pour laisser un morceau de mes pensées, cependant au fond de moi je voudrais exprimer en criant et hurlant que je suis une femme de bonne aventure ! Mon corps est fragile comme une poupée, mes pensées sont aussi stupides qu'un mort, bien que je suis celle que tout le monde dit, comme toute femme, je chante, je danse, je pleure, je ris, mais au-delà de tout je suis sensible, dans le domaine de l'amour je m'emballe. Dans ce labyrinthe j'ai laissé des miettes de pain, des miettes représentant une lueur d’espoir. Sans doute un jour je retrouverai ce chemin empoisonné que j'ai emprunté, et avec mon visage innocent j'aurais de nouveau des sentiments dignes d'un être humain. Cela me semble étrange, mais il suffit que j'écrive dans ce cahier que la liberté se voie, et se sent comme un fruit empoisonner. J'entends des pas dans les escaliers, il faudrait mieux poser cette plume délicate, et cacher ses bleus ainsi que ce journal pour faire place au tenu d'une fille de mon âge et de faire un sourire d'une femme non battue.» Une goutte au goût doux, allant dans sa chut longue et interminable, une pente lisse et froide en même temps, conduisit tout droit sur le sol. Coulant encore et encore t-elle une rivière. Meurtre ... ou suicide parfait. Son allure lente s’accélérait au fil des minutes courant dans un chemin inconnu, elle tomba. La masse de son poids l’entraîna sur le sol froid et dur, le dégoût monta en elle. Se recroquevillant sur elle-même, elle fixait le carrelage aux formes carrer et à la couleur blanchâtre, ses larmes salées et mouiller coula part bon nombre sur sa joue ronde et douce comme une pêche. Son teint rosâtre se ternit pour avoir une couleur blafarde comme la mort. Attrapent sans un seul bruit, elle fouilla dans les poches humides et d'une couleur rougeâtre, elle fit tomber quelques pièces ainsi que des billets. Se levant sans un mot, ramassant quelques pièces ainsi que quelque billet, elle les conserva entre sa poitrine tout aussi délicate qu'elle. Elle ne compta pas cet argent, se disant une bonne raison de ce qu'elle venait de faire. Se pincent les lèvres, elle posa ses deux pieds sur ce sol froid allant vers la salle de bain traînant une de ses jambes, souffrante, endoloris. Elle avait mal... tout son corps lui ordonna de ne plus bouger mais elle ne fit rien. Poussant la porte qui séparait la chambre de la salle de bain elle vit son reflet dans le miroir. Ce visage doux et délicat était devenu un champ de bataille, des bleus, des contusions, des plais était inscrit sur son visage de poupée. Passe une de ses mains recouvertes d'un liquide visqueux et à l'odeur enivrante, sur sa joue, laissant les marques de ses doigts sur cette joue qui avait tant souffert. Quelle horreur se fut ! Qu'avait-elle fait ? Alors que son regard, descendit d'une lenteur extrême sur sa jambe endolorie, elle vit derrière sa jambe une longue marque d'ouverture part de sa cuisse pour s'arrêter péniblement sur son mollet. Cette blessure lui lança dans toute la jambe même au-delà, elle en avait vu depuis tant d'années mais jamais elle n'avait souffert comme cela. Regardent cette blessure, elle en oublia la douleur, haïssant comme elle l'avait haï, elle frappa le miroir avec une t-elle ne force que ce miroir parti en morceaux volant aux quatre coins de la pièce. Infâme créature qui a joué d'elle ! Quelle honte devriez-vous avoir pour l'avoir insulté ainsi ! Passant une aiguille ainsi que du fil a travers sa cuisse pour réparer cette ouverture, elle ne put contenir des cris, ainsi que bon nombre de bruit qu'elle n’eut jamais sortis de sa bouche fine. Oubliant finalement la souffrance que cela lui procurait, ne pouvant pas s'imaginer mourir, de saigner encore plus cas présent, et qu'au final si la mort venait la chercher, elle savait qu'elle serait encore là pour la hantée. Ordure ! Monstre ! Infâme créature !
« Je te déteste, je te déteste, je te déteste... JE TE DETESTE ! » Hurla cette demoiselle de tous ses poumons « sort de ma tête, sort donc de ma tête part...Aaaah ! » Tombent à côté du lavabo, prenant sa tête entre ses mains la balancent d'arrière en avant-elle une folle, sa main était recouverte de sang, ainsi que son visage qui fut une poupée il y a quelque temps. Certes la saleté était sur tout son corps, mais cela lui était égal, comment avait-elle pu être si naïve de cette laisser avoir par elle . « Je te jure que tu souffriras comme j'ai souffert, je te planterais des couteaux partout sur ton corps jusqu'à ce que tu me supplice d'arrêter, et je te laisserais la à souffrir, cela sera mon cadeaux d'adieu. Pourriture ! » Sa haine ainsi que sa rage était imprégnée sur son visage serrant ses poings pour contenir cette rage. Reprenant sans honte le monologue qu'elle faisait « Je couperais, au couteau aiguisé, tu n'en auras plus, et tu souffriras de douleur atroce ! Je partirais avec et les donnerais à un pauvre animal mourant de faim ! Alors que toi tu aras, tes mains en moins ! » Sa langue passa sur ses lèvres sentant un goût répugnant, voulant se relever une bonne fois pour toutes, mais son pied glissa comme une patinoire et heurta le lavabo, en perdant connaissance. * * * * * * « Mère, raconte-moi un de tes souvenirs »
« Maman et très fatiguer, et puis tu as 13 ans et puis c'est plus de ton âge, et de plus il se fait tard, va donc te coucher »
« Mais... mais... mère s'il te plaît, j'aime beaucoup me raconte des souvenirs, cela m'apaise »
« très bien, alors voyons voire »Elle réfléchit quelques instants.
« Je connais bien un souvenir, mais elle n'est pas si amusante que les autres »
« Ce n'est pas grave, tu as toute mon attention » Répondit la jeune fille s'allongent sur les genoux de sa mère en ferment les yeux.
« Alors, c'est un souvenir ou une jeune fille, qui se prénommait Céleste, oui c'est bien sa Céleste, quant à son nom de famille, ma mémoire est un fromage, je m'en souviens plus à vrai dire...Qu'importe-elle n'en'a pas besoin après tout »
« Pourquoi tu dis cela ? » Demanda la jeune fille toute curieuse.
« Tu verra, tu vas comprendre comment vivre à présent . Maintenant plus de question et écoute-moi.»
S’installant dans une chaise à bascule prenant la jeune fille sur ses genoux se balancent d’arrière en avant. « Tout commence, par un matin rien de très ordinaire à vrai dire, comme le jour précédent et comme la précédente. Rien de surprenant... La petite routine habituelle, ce jour la commune les autres je me préparais pour aller au travail. Oh, je sais ce que tu te poses dans la tête comme question, qu'est-ce que je faisais comme métier ? Eh bien j'étais couturière je faisais des magnifiques robes, de marier, ou non à vrai dire je faisais plus des robes et d'autres tenus pour les femmes ainsi que des filles que des hommes, tout comme les garçons, c'était une boutique très modeste, ou l'argent rentrait plutôt bien et facilement. Mais retient cela, sans argent tu ne peux pas vivre, alors quoi que tu fasses il faut toujours avoir de l'argent . Revenons à nos moutons, j'allais donc à mon travail, dans la boutique j'étais chargé, de faire les robes, et faire l'exposition de chacune de ses robes dans le magasin, comme le style les couleurs selon les saisons, et j'en passe. Une petite fille, elle avait de longs cheveux mais ces vêtements n'étaient que poussières, elle était couverte de suie, et sa puanteur se faisait sentir dans tout le village. Chaque jour, elle venait devant ma vitrine et regarda mes nombreuses robes que je fabriquais, cette petite fille n'osait pas renter dans ce magasin même si la porte était grande ouverte lors de beaux temps, ses pieds ne dépassaient pas le seuil de l'entrée. Elle était maigre comme s'il restait plus que ses os dans son corps ses yeux pétillait de merveille et elle n'avait jamais eu le courage de voler une ses robes,quoiqu'il y avaient bon nombre de fois que je n'étais pas là. Et il faut retenir que le vol tu peux le laisser passer une ou deux fois, jamais trois tu comprends . Bien » Arrêtant de se balancer fixe sa fille « C'est mieux quand cela s'arrête on n'a plus le tournis. Bien écoute-moi avec attention. Ou j'en étais . C'est vrai les robes, elle n'en avait pas pris une et une seule le jour où je m'étais absent pendant plusieurs heures, mon petit doigt me dit que c'était elle, je l'avais laissé faire pour une bonne raison. Sache que si tu fis le choix de laisser quelqu'un voler, il ne faut pas qu'elle croit non plus que ce soit la boutique qu'on vole tous les jours ou plutôt que tout le monde, vol. Et la voilà le lendemain revenant devant la boutique à regarder de nouveau les robes, chaque jour à la même heure elle revenait et restait environ une heure avant de répartir en courant. Je me demandais, si elle avait revolé quelque chose, je ne voyais pas l'utilité de partir sans prendre quelque chose ... Mais un jour, j'ai suivi la jeune fille pour savoir où elle habitait et discuter avec ses parents pour qu'elle rééduque correctement cette petite fille sans un brin d'éducation. Courant le plus vite possible, je la suivis essaye de ne plus faire de bruit et je tournais à droite puis à gauche pour enfin aller devant une maison assez grande et majestueuse. Une jeune femme d'environ de dix-sept ans l'attendait de pied ferme, la voyant revenir d'un pas mouvementer n'ayant qu'une malheureuse pomme dans sa main, la femme leva la main à plusieurs reprises avant de la frapper sur le mur, comme si elle n'était qu'un insecte un cafard qu'il faut tuer avant que cette enfant tombe endormie sur le sol. Et écoute bien ce que cette femme a dit a cette enfant sur le sol souiller de plus belle : « Petite pourriture, incapable de prendre quelque pour sa sœur ! Mais que vas-tu devenir ! Ton avenir sera à mes côtés, tu ne seras plus ma sœur ! Sache le si tu ne sais pas m’apporter des vêtements et tout ce dont j'ai besoin tu serais bien utile à autre chose »
Et la voilà qui prenait sa sœur par les cheveux plaque son visage contre son mur et la frappe comme un chien. Je regardai chaque geste qu'elle faisait, elle avait mis un morceau de tissu dans sa bouche pour la faire taire. Quelleque bruit se fit entendre, j'aurais bien voulu l'aider, mais le travail m'attendait et tu sais il y des fois où il vaudrait mieux s’abstenir et de ne pas bouger que d'aller aider les autres si l'on ne veut pas périr à nos jours . Cette fille semblait paralyser de peur du sang coulait sur son visage et dans sa chevelure, je repartis dans ma boutique. Mais le lendemain elle revint devant ma boutique essayant de prendre une autre robe ainsi que des petits gâteaux que j'avais installé. Je la chopai par l'oreille et l’entraînai dans l'arrière de la boutique.
« Dit donc, tu as bien du cran de revenir après m'avoir volé une robe commencer et qui a beaucoup de valeur ! Ou sont donc tes parents ?! »
« Je n'en'ai aucune idée » ne regardent la jeune femme droit dans les yeux sans avoir peur. »
« Tu ne sais donc pas . » Alors je lui fis du petit chantage « Et ta sœur, elle t'attend toujours dans cette ruelle à peine visible . » Alors là, elle ne s'attendait pas à cela, elle me fixait les yeux terrifier et tremblant ! Elle ne s'y attendait pas tu peux me croire, et là je la voie en train de pleurer comme une madeleine, c'est limite si elle me suppliait pas à genoux : « S'il vous plaît, je vous en prie donnez-moi vos biscuits ainsi qu'une robe je vous en conjure, ma grande sœur va me gronder autrement ! »
Alors je me levai et pris une de ces robes ainsi que ses biscuits et de l'autre main la jeune enfant j'allais d'un pas vraiment presser dans cette ruelle et je la vis, cette sœur qui était là en train d'attendre le retour de sa sœur. Elle non plus ne s'attendait pas à me voir, je m'avançai tout près d'elle avant de balancer cette robe que j'avais sur le sol et ses biscuits en pleine tête « Honte à toi de taper une jeune fille ! Tu n'as donc aucun remords a son egart .! La prochaine fois que tu veux quelque chose va donc le faire toi-même que de le demander à quelqu'un de plus faible ! Toute chose à un prix je t'ai donné cette robe en revanche je te prends ta sœur, plus jamais tu la verras et encore moins tu la toucheras. Misérable soit tu ! Tu es qu'une...qu'une... pitoyable »
Je repartis la jeune fille dans ma main qui elle n'en croyait pas d'avoir quelqu'un qui la sauvait de sa sœur et dès ses coups qu'elle aurait pu lui en redonner davantage. À vrai dire je ne sais pourquoi j'ai faits sa sur un cou de tête, ça me ressemble guère de prendre un môme sous mes ailes surtout que ma vie était assez stable alors cela. Bien comme les dit, la sœur n'est jamais revenus, et n'a jamais remis les pieds à un endroit où j'étais, quant à la fille les rééduquer comme je voulus, les coiffer, laver, habiller nourris, et blanchis. Ayant de beaux atouts qu'elle cachait sous ses blessures, ses bleus, elle avait un joli visage et ses yeux ainsi que des cheveux vraiment magnifiques. Au bout de quelque temps déjà elle m’appelait « maman » je sais bien ce que tu dis, que j'ai eu d'enfin ou que j'en'ai abandonné une autre, mais non il ne faut pas croire que cela bout de choux, tu étais ma seule fille et tu resteras la seule que j'ai eue. Ce n'est qu'un vieux souvenir qui est long derrière toi, il ne faut pas que tu me regardes comme ça. » La mère regarda le sol, dépourvue d'émotions le regard vague alors que des larmes montèrent sur le bord de ses yeux, elle ferma celles-ci cachent le mal à l'aise de cette mère avant de remettre le regard su sa fille t t'embrasser son front. « Tu es la seule que je n'ai jamais eu, ne tant fait pas, je vais te raconter la suite de mon souvenir, écoute-moi encore un petit peu. La petite ne resta pas petite pendant longtemps tu voies, elle grandit de six ans précisément elle avait à présent elle avait 10 ans, elle était si magnifique elle avait tout pour plaire, l'intelligence ainsi que la beauté mais encore tout un corps a coupé . Je ne savais pas où elle avait pêcher cette beauté incroyable mais j'étais très fière d'elle surtout lorsque des passants nous disaient : « Votre fille est d'une splendeur, c'est incroyable ! » Depuis bon nombre d'années je n'avais jamais trouvé l'amour, mais depuis quelque temps les hommes me parlèrent en me disant que j'élevais ma fille extrêmement bien. Alors Céleste, oui Céleste car c'est ainsi qu'elle m'avait dit son prénom, elle faisait tout pour m'aider et me facilité la vie, elle sortait les poubelles, nettoyait, repassait mes vêtements, faisait à manger, elle était un vrai ange, elle te chantait des chansons me brossaient les cheveux. Et elle a continué à faire cela encore six ans elle était devenu une belle jeune femme, si tu savais plusieurs hommes avait croisé son regard et la voulait pour femme.. Au début je me méfiais un peu de ses jeunes hommes et surtout sur elle, mais au bout d'un moment je m'en moquais car elle ne semblait plus se soucier d'eux ni même en faire attention. Mais il faut se méfier des apparences au fond d'elle elle cachait bien son rôle, je la voyais revenir de temps en temps avec de l'argent mais j'étais ailleurs j'avais enfin rencontré quelqu'un qui avait une boutique de chausse un homme vraiment charment, il m’offrait des fleurs des cartes et nous, nous voyons souvent. Haaa chaque jour il venait me chercher pour m’emmener au restaurant et puis il embrassait si merveilleusement, il prenait le temps de m’écouter, il était patient et doux et aimant à la fois. Mais que j'étais naïve à cette époque tu veux savoir pourquoi . Je vais te le dire. » « Je t'écoute maman, vas-y dire moi donc la suite » dit sa fille absorbée par ses histoires enivrantes « Je m'en doutais à vrai dire, t-elle mère, t-elle fille n'est pas . Allant approche de plus près et fait moi donc un gros câlin, à l'idée de parler de ce passage j'ai un gros frisson. Ou j'en étais . Ha oui qu'un homme me faisait la cour, tu souhaites sans doute savoir son prénom, eh bien il me semble que je me souviens, il s'appelait, hm Henri .Non non Charles … non plus ! Ha je sais c'était Charles-Henri Lecourthney encore un de ces noms à rallonge qui sert pas vraiment à quelque chose.Ce n'est pas comme moi qui avait comme surnom « Miss fait tout » et bon a force je crois que je m'y suis habituée. Mais Charles-Henri était sans doute le seul homme que j'ai rencontré qu'il m'appelait par me prénom il m'aimait de tout son cœur, il me surprenait toujours dans un coin cacher dans l'arrière-boutique il murmurait mon prénom avec une douceur, et ses paroles mielleuses que je fondais littéralement en disant : « Cristal … Cristal … ou magnifique Cristal » Repetait-il sans cesse et avec une ardeur infinie chaque instant me rendait folle … J'étais littéralement ensorcelé par son charme, j'étais aussi sur mon petit nuage doux qui flotte dans les airs. Mais quelle idiote j'étais. Je suis sur que tu meurs d'envie d'entendre la suite et bien un soir, ce soir où tout se passa … Je devais livrer une de ces robes magnifique à une des Comtesse de la région, ma grande fille était venue avec moi j'avais laissé mon jeune et beaux Charles-Henri tout seul, ne voulant pas m'accompagner il préféra m'attendre. Lorsque nous sommes revenu Céleste était allé dans sa chambre pour regarder les étoiles, comme tous les soirs depuis qu'elle était petite, je lui avais même acheté un télescope pour voir les étoiles. Quant à moi je vis de la lumière dans l'arrière-boutique, j'aurais pu me dire « C'est sans doute Charles-Henri qui me fait une surprise » et bien cela est une drôle de sourire, j'entendais des bruits assez étranges et des sortes de Gémissement assez étourdi, je traînais ma robe sur le sol et des petits pas allant tout droit vers l'arrière-boutique. Poussant lentement la porte je fus premières loges, oui aux premières loges pour voir le désastre, je vais t'explique dans les détails, pas vraiment plutôt en super flux mais bon, alors il était là en train de donner le plaisir ultime dans ma boutique sur la table où je cousais et réajustais quelque robe, elle gémissait comme une vache et lui se donnait du mal à faire ce qu'elle faisait, cette femme était presque nue alors que lui il avait juste son pantalon à moitié descendue. Quel dégoût et quelle honte j'avais de croire à lui, de croire qu'il était l'homme de ma vie, il pouvait dire mon prénom autant qu'il le fallait il avait réussi à me dégoûter, lorsqu'il m'avait vue il eut l'aire surprise il faisait des gros yeux alors que la femme derrière n'en'était pas moins. « Cristal ! Ce n'est pas ce que tu crois je te le jure ! » osa-t-il dire Tu ne peux pas savoir comme je lui ai flanquée une se racler ma fille il en revenait pas ses moustaches c'est moi qui te le dis ! Je lui ai mis plus d'une claque dans le visage et pas qu'une, il avait tellement peur que je lui en donne une autre qu'il recula de quelques pas. Puis finalement il s’avança vers moi avec de la haine dans les yeux avant de me mettre à mon tour une de ces claques que je lui avais mise . Plusieurs marques étaient sur ses joues mais une étaient sur les miennes avec un bleu en prime, alors je pris toutes ses affaires lui mettant cela dans les bras avant de le pousser et le frapper avec une canne sur le dos prenant la porte. Quant à la bonne à coucher avec tout le monde je la pris par les cheveux et l'envoyai en dehors de la boutique. J'ai dit que je ne voulais plus le revoir de toute ma vie et ce ne fut le cas plus jamais les revenu.
« Maman, ma maman » dit-elle d'une petite voix
« Oui ma chérie ? » Répondit sa mère
« Mais la fille, elle est devenu quoi ? » dans un aire curieux
« La jeune femme était dans sa chambre et quand je voulus la voir, elle n'était plus dans sa chambre ni n'importe où dans ma boutique elle avait disparu... Il semblerait que sa sœur la surveillait, et elle la reprit quand elle avait treize ans et qu'il se fait tard »
Regarde sa fille à la limite de la folie, caresse les cheveux doux et aimant
« Mais maman raconte-moi la suite » supplia la jeune fille
« Non ! Cela suffit je me moque de ce qu'elle est devenu elle passait ses journées à rêver, avant de courtiser avec des garçons »
« D'accord maman … » sans la forcer d'avantage
« Allez bonne nuit, et maman a assez parler pour aujourd'hui » Elle posa sa fille sur son lit et ferma la porte derrière elle
* * * * * * La tête contre le sol, les cheveux remplis dans son propre sang qu'elle avait créé par son cou sur le lavabo, les yeux fermés. Pâles... nous aurions pu la prendre pour morte, tant que son corps était inerte et que son thorax était presque absent. D'ailleurs c'était ce qu'elle était en train de faire, elle passait dans l'autre monde, mais bien avant la douleur ainsi que la souffrance, t-elle fut la sienne qu'elle en criait . C'était bien sûr son souvenir qui ne voulait pas la lâcher, mais elle ne savait pas pourquoi c'était se souvenir si souffrant qui était là ? Il ne l’épargna pas une seule seconde et c’est ainsi qu’elle se mit à revoir passer, l’épisode le plus rebutant de sa vie. Elle le voyait elle qui n'avait aucun retenu que chaque soir elle la frappait sans aucun remords et qu'elle faisait tout pour ne pas se faire voire part cette Cristal . Depuis un âge indéterminé elle se faisait battre, et elle se laissa faire, alors cas présent il n'y avait plus rien à voler, elle n'avait jamais voulu. Mais il faut croire que sa sœur , c'était fait une raison de taper de nouveau sa sœur qui avait pris un peu d'âge depuis ce temps-là. Elle n'arrivait pas à supporter cela chaque fois qu'elle voyait sa sœur elle levait la main sur elle en disant les pires chose de sa vie alors qu'elle pouvait la frapper à sang personne ne l'entendait dans cette même ruelle, elle n’arrivait pas à se défendre pour la simple raison c'est que sa sœur avait grandi qu'elle avait encore plus de force qu'avant. Son rêve était de revenir là où elle était d'aller vers cette femme qui l'avait aidé et éduqué qui l'avait sauvé de ses mains, mais elle n'avait pas eu d'autres choix que de revenir près d'elle de force...
« Tu n'es qu'une bonne n'a rien » Son corps ne tenait plus debout ainsi que ses jambes, elle devait se poser... se reposer. Alors elle essaya de chercher un coin de rue tranquille, histoire de se reposer et de se détendre... rien qu'un petit peu quelques instants seulement . À l'arbi des regards indiscrets, elle se laissa tomber entre deux murs se cambrant les germes à la douleur qu'elle avait, passant une main dans son dos elle sentis des traces dans son doux délicat. Le simple fait de passer ses doigts sur ses blessures qu'elle sentit du sang, qui coulait… Chaud, sur sa peau, abondamment, bien trop abondamment, ses yeux, entrouverts, débordaient de larmes... Elle voyait mal, tout était flou, elle crut même que c’était sa fin. Sa tête devenait de plus en plus lourde à porter, et à maintenir debout, elle tint encore quelques minutes, avant de s’écrouler sur le côté. Baignant dans son propre sang, sur le sol crasseux qui l’entourait. Elle mourrait petite à petit sombrant alors qu'elle voyait le jour ou elle avait tué sa propre sœur... C'était une simple soirée elle avait pris les devants et qu'elle avait abattus sa propre sœur sur ce carrelage sur froid...La pièce où elle fit tuer était l'endroit la plus loque de tout le sang était étalée sur les murs ainsi que sur le sol tout en était recouverte . Elle rendit un dernier souffle avant de finalement tomber dans les ténèbres noir et obscure en même temps * * * * * * «Je pense que cela était une mauvaise idée...une grossière erreur tu n'aurais pas du »
« Pour la mort du ciel je sais ce que je fais, je n'allais pas la laisser sur ce sol répugnant. Tu n'aurais pas fait cela je suppose hein »
« J'aurais pris que son sang cela aurait suffi. Je l'aurai pas sauvé » « Sauver .Les pas sauver les plutôt condamner tu veux dire »
« Regarde elle ouvre les yeux, elle est plutôt jolie , même plus que jolie »
« sa tu la dit » D'un geste très fluide il passa sa main dans la nuque de la jeune fille. Relavant la jeune fille approche son visage du sien . Il l'observa attentivement regarder les moindre très de son visage de très près ses cheveux longs d’une couleur inaccoutumée. Ils étaient si longs, regardent le reste de son corps, elle était sur pâle, ses blessures étaient toutes réparées même si ses vêtements étaient assez déchirés, elle était si délicate, si belle à présent il ne fallait pas l'abîmer. Encore heureux qu'elle fût devenus comme avant. « Vous m'écoutez? Vous m'entendez » demandant l'homme à regard d'une verte instance « N'avez pas peur ce n'est que moi, même si vous me connaissez par c'et moi qui vous ai sauvé, n'ayez pas peur »
« Je suis ou … ? Chez le diable peut-être » Répondis Céleste
« non… Enfin… Presque. » Lui répondit l’homme dans un rire glauque, mais sombre. « Vous êtes chez moi. » Ouvrant les yeux pour regarder tout autour d'elle, elle comprit que c'était une chambre tout ce qu’il y avait de plus normal, en réalité, la seule chose d’anormal dans cette pièce, c’était lui. Il possédait un visage ensorcelant. Nous aurions dit que c'était les dieux tout-puissants qui l'avaient conçus, mais il dégageait à la fois une odeur appétissante si appétissante qu'elle lécha sa langue, comme si la nourriture était en face d'elle. « Allez-y, ne vous retenez pas faite comme bon vous semble » le jeune homme libéra son cou ainsi que sa chemise pour lui laisser plus de place. » Elle fit guider par son nouvel instant dans le cou du jeune homme, elle savait ce qu’elle avait à faire, alors elle le fit. Elle planta ses canines de succube dans le cou de l’inconnu et se mit à boire son sang avec entrain.Chacun gorger qu'elle était en train de prendre était un doux délice, et elle sentait sa force redevenir elle-même. Elle avait compris qu'elle respirait encore, et qu'elle avait la même apparence mais qu'elle n'était plus une humaine. Elle était comme celui qui était devant lui lors de sons réveille, un vampire. Finalement elle avait bien vendu son âme au diable, et la voilà à présent qui goûtait se liquide rougeâtre. Elle en absorba jusqu’à être rassasiée, puis retira ses crocs et passa un doigt sur ses lèvres pour apprécier la dernière goutte de liquide qui s’en échappait. « J'ai bon goût . » Demanda-t-il avait un petit sourire « à la vitesse que tu as bue je n'en doute pas »
Fascinée par les yeux de son interlocuteur, elle répondit regarder partout autour d'elles bégayent comme une jeune enfant.
« Mais... Qui êtes-vous donc ?»
« Je m'appelle Gabriel, je suis la personne qui vous a sauvé » faisant un sourire au coin de ses lèvres, allant tout près de ses lèvres pour effleurer les siennes sensuellement « Mais cela a un prix, comme toute chose » cependant la jeune femme ne put riposter ayant beaucoup trop fort pour lui, elle se résigna à le laisser faire … Gabriel n'était pas un ange loin de là, il était sans pitier et aimait tuer pire que tout, c'était comme la chose la plus existant de toute sa vie, il aimait le luxe au-delà de tout. Il était très possessif et m'entra avec lui partout, où il voulut mais à chaque fois qu'il rentrait il la voulait à lui tout seul . À force de rester pendant les chasses à ses côtés elle était devenu comme elle, un soir elle descendus à moitié habiller se mettant sur lui embrasse son cou avant de lui donner une boisson empoisonnée, elle n'en prit pas, elle ne se doutant de rien le bus d'une gorger. Finalement elle se recula et le regarda souffrir en silence. « Mais que ma tu fais . » Dit-il voyant flou
Le regardent mourir petit à petit« Tu t'es joué de moi... je te rends la même chose »ayant un fin sourire aux lèvres Comme chaque personne qui avait osé lui faire du mal, elle l'avait très volontairement. Elle repartit dans ce mondes remplis d'humain ou elle se fit petite, par plusieurs personnes elle avait entendu que sa sœur était encore en vie, elle ne sait pas comment elle avait réussit au début... mais elle comprit qu'elle avait été elle aussi vampire. Un beau jour elle alla chez sa sœur une femme très riche, elle entra chez elle en douce l'attendant dans sa chambre. Elle tua dans un meurtre sauvage sa sœur encore et encore lui donne le même poison qu'elle avait donné à Gabriel.
« Plus personne ne se jouera de moi » fit-elle C'est ainsi qu'elle se réveillait avec une larme qui descendit sur sa joue c'était un bien mauvais rêvé qu'elle avait fait. Et qu'elle espérait de ne plus avoir à faire alors qu'elle était une femme qui aimait simplement regarder les étoiles sauvages. Elle était devenu se qu'elle avait toujours été, une chasseuse, mais avant tout son metier principal dans l'astronomie lors de ses yeux, et chasseuse pendant le jour On la surnommait étoile filante, partout ou elle passait elle ne laissait aucune trace. | ♔Pseudo :Shiby♔Age: 17 ans♔Comment t'es-tu retrouvé parmi nous?:Dans le Top 50 ♔Des Remarques ou impressions?Très Zolie forum♔As-tu lu le règlement ? Oui ( :♔Code du règlement :Validé par le King ♪
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Dernière édition par Celeste Queen le Lun 7 Juil - 15:08, édité 10 fois |
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