-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache
64.99 € 129.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Lizbeth C. Valentyne || Writings Session

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Lizbeth C. Valentyne
Marquise
Marquise
Lizbeth C. Valentyne
Messages : 143
Date d'inscription : 25/10/2011

~Etat civil~
Race :: Vampire ~ Infant
Vos Rps en cours :
Vos Relations:
Lizbeth C. Valentyne || Writings Session Empty
MessageSujet: Lizbeth C. Valentyne || Writings Session   Lizbeth C. Valentyne || Writings Session EmptyMar 24 Jan - 21:52
















ღ Un petit mot ?

Alors un petit mot un petit mot…C’est toujours aussi dur les entrées en la matière ? Oui bon j’ai du mal pour tout ce qui est introduction, ou présentation de moi-même alors ne vous attendez pas ici à un petit mot vraiment constructif…Pour ça vous avez la boîte de légos au fond de la pièce ~

Well…Je suis comme beaucoup d’Rpistes, en dehors de mes Rp qui sont nombreux, divers et variés, il m’arrive d’écrire. Des fics, des débuts de romans (qui ne trouvent étrangement jamais de fin d’ailleurs), des OS…Un tas de chose quoi. Ici seront surtout regroupés fics et OS, les romans déjà c’est trop long et ensuite je n’ai pas envie de vous laisser plantés au milieu d’un récit qui ne connaitra probablement jamais d’épilogue.

Aussi, autant vous prévenir avant que vous ne vous fassiez de fausses idées, ce que j’écris ne va pas dans l’extraordinaire ou dans le merveilleux, je suis une simple débutante alors ne vous attendez pas à des textes « sublimes ». Je prends d’ailleurs toutes remarques/critiques tant qu’elles sont constructives. Venir me dire « C’est nul. » je ne l’accepterais pas. C’est une chose de le penser et c’est votre droit. C’en est une autre de me le balancer au visage sans au moins m’expliquer ce qui vous gênes dans mes écrits. Je ne vous interdit pas de venir me le dire, bien au contraire même, j’attends même vos critiques avec convoitise, parce qu’il n’y a que comme ça que je pourrais m’améliorer.

Dans ce premier topic sera réunie la liste de mes écrits postés, avec éventuellement un petit résumé si je suis capable d’en écrire un pour chaque texte, ce qui n’est pas dit !

Merci à ceux qui ont le courage de me lire de le faire, j’espère juste que ce ne sera pas une corvée à faire.

Lizbeth ღ



ღ Memories, oh sweet memories...
Parfois, on se réveil avec un mal être dont on est incapable de se débarrasser. Cela nous hante, toute la journée, toutes les nuits suivantes...Et finalement, vous prenez une feuille, un crayon, et vous écrivez tout ce que vous avez sur le cœur. Vous pleurez, puis tout rentre dans l'ordre.

Cela vous est-il déjà arrivé ? C'est ainsi que Memories, oh sweet memories à vu le jour. Ce texte n'a aucune prétention, si ce n'est d'avoir été écrit avec le cœur.

Enjoy ღ


ღ Memories of that Day
Rien de plus qu'un sad OS qui a vu le jour dans mon esprit alors qu'une musique me hantait, dans le train, même. J'ai longuement hésité, parce que mine de rien, j'aime tellement le JeanneXFrance que j'ai peur de briser leur beauté et leur magie avec mes mots maladroits...Je tient donc à avoir votre avis sur ce point. ♥

Bonne lecture ღ




Dernière édition par Lizbeth C. Valentyne le Ven 19 Oct - 21:18, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Lizbeth C. Valentyne
Marquise
Marquise
Lizbeth C. Valentyne
Messages : 143
Date d'inscription : 25/10/2011

~Etat civil~
Race :: Vampire ~ Infant
Vos Rps en cours :
Vos Relations:
Lizbeth C. Valentyne || Writings Session Empty
MessageSujet: Re: Lizbeth C. Valentyne || Writings Session   Lizbeth C. Valentyne || Writings Session EmptyMar 24 Jan - 21:55


Lizbeth C. Valentyne || Writings Session Memori10

C’est une magnifique journée. Les rayons du soleil offrent une chaleur délectable, mais n’oppressent personne. En quête de calme, je me suis retrouvée ici, instinctivement. J’ai croisé bon nombre de personnes. Des enfants riants aux éclats, des adultes en pleine conversation…Des personnes âgées se promener, en quête d’un peu d’air frais et de changements, aussi. J’ai croisés leurs regards. Des yeux pétillants, pleins de vies. Des regards tantôt inquiets, tantôt rassurés. Des regards fatigués. Le regard est le reflet de l’âme, il parait. Je n’ai pas croisé une âme similaire à la mienne, pas une seule. Ils sont tous concentrés sur leurs présents, leurs avenirs, je peux aisément le comprendre rien qu’en les regardant dans les yeux. Moi, aujourd’hui, j’ai fait le choix de me souvenir, dans ce lieu calme ou personne ne viendra m’interrompre, en cette journée ensoleillée.

Quel âge avais-je, à l’époque ou remonte le premier souvenir que j’ai de toi ? En ce temps tu représentais tout. Une perfection. Un modèle à suivre, un but à atteindre. Une indescriptible source d’un bonheur innocent qui attirait le petit papillon que j’étais dans des flammes d’une chaleur bienfaitrice. Auprès de toi je savais que je ne me brûlerais pas les ailes. Même au-delà de ça…Je savais que le moindre de mes maux prendrais fin en ta compagnie. Mais on ne peut expliquer les effets de ce lien qui nous unissait toi et moi ; aucune de nous n’en aurait été capable. Parce que notre relation n’a jamais été exprimée…Elle s’est tout simplement toujours vécue. Les joies…comme les peines, n’est-ce pas ?

Je n’ai pas compris ce qui m’arrivait, ce qui nous arrivait. Du jour au lendemain tu avais disparu, tout était comme si tu n’avais jamais existé. Et ma vie sans toi a commencé…Jour après jour, je me suis demandé ce que tu étais devenu, pourquoi tu étais parti…Pourquoi tu m’avais abandonné de la sorte. Ta présence m’a manqué, vraiment manqué. J’ai souffert de ne pas t’avoir près de moi toutes ces années, tu sais. Pourtant je n’ai jamais pu t’en vouloir pour ça…Je tenais trop à toi pour te tenir rigueur de ne plus vouloir rester avec un être tel que moi…Je suppose. Mais le plus douloureux ne fût pas les premiers instants de ma vie sans toi, je me dois de te le confesser en ce jour…

Le plus douloureux fût lorsque j’ai osé prononcer ton nom devant lui…Si tu savais combien j’ai eu peur ce jour-là. J’aurais aimé t’avoir à mes côtés plus que jamais…J’ai eu beau te supplier de venir, ce jour-là…Tu n’étais pas là. Tu n’es jamais venu. Je refusais de croire en toute ces horribles paroles qu’on m’envoyait au visage de la sorte…Je crois que cet ignoble individu aurait tout aussi bien pu m’envoyer quelconque objet en plein visage…J’aurais moins souffert qu’en entendant ces horribles paroles que je savais fausses, encore et encore. Il me disait que tu n’avais jamais existé…Comment aurais-je pu croire un seul instant à ces menteries ? Toi et moi ce que nous avons vécu…C’était unique et je ne pouvais le renier. Mensonges, ce n’était que des mensonges…Pourtant ils m’ont fait mal…tellement mal.

J’ai eu peur de ne jamais être autorisée ou capable te voir à nouveau, j’admets que je n’ai pas vraiment cerné le problème à l’époque. Puis les années ont défilées…Sans toi. J’ai ris sans toi. Pleuré sans toi…Vécu sans toi. Et j’ai fini par comprendre que rien de tout ça n’était de ta faute, ni même de la mienne. C’était cet homme, le véritable coupable de notre séparation. Je ne l’ai jamais compris…Mais n’ai jamais eu envie de le comprendre. Il m’avait privé d’une personne bien trop importante pour que je puisse tenir à lui. Alors je l’ai hais. Pour toi. Pour nous. Comme tu devais certainement le faire, toi aussi, où que tu sois.

Je voulais que cette horrible séparation prenne fin. De plus en plus alors que les années passaient. Une vie sans toi n’en était pas vraiment une. Ce manque…Rien ni personne n’aurais jamais su le combler. Et même s’il nous arrivait de nous voir en cachette, de façon rare mais tout de même non négligeable, je ne parvenais pas à m’en contenter. Est-ce que je suis égoïste ? J’aurais voulu profiter davantage de toi, de ta présence si…essentielle.

Je n’ai jamais été aussi heureuse que le jour où cela a enfin été possible. J’étais mal, tellement mal…Et avoir ce loisir d’être de nouveau avec toi…Plus que nous n’avions jamais pu l’être…C’en était presque un rêve éveillé. Comme si toutes ces années de séparation n’avaient jamais existées…Nous nous sommes comme retrouvés. Inséparables comme j’avais toujours voulu l’être avec toi. J’ignore ce qu’aurais pu devenir ma vie sans toi, en ces instants de plus en plus douloureux. De nouveau j’ai apprécié la vie que je menais, malgré les mauvais moments…Car tu étais là pour m’aider à y faire face. Quand j’y pense, jamais nous n’avons pu être si proches, toi et moi.

Pourtant tout a pris fin une seconde fois. Une nouvelle fois tu as disparut. Une nouvelle fois tu m’as laissé seule. Une nouvelle fois je n’ai pas pu t’en vouloir. Une nouvelle fois, rien de tout ceci n’a été de ta faute. Et tout n’en a été que plus douloureux.

Aujourd’hui, j’ai fait le choix de me souvenir de chaque parcelle de passé, de chaque souvenir que j’ai avec toi. Parce que je n’ai plus que mes souvenirs désormais. Consciente de cela, je m’accroupis face au monument qui me rends si nostalgique. J’en contemple les moindres détails, tente d’y trouver un défaut mais ne peut rester que froidement fasciné par sa perfection. Et dans un geste désespéré, je tends le bras vers l’avant. Et du bout de doigts, je viens doucement caresser le marbre. J’ai beau prier pour que la main passe au travers, ou pour que cette pierre disparaisse, pour que quelque chose, n’importe quoi, me prouve que rien de tout cela n’est vrai. Mais je ne peux me rendre compte qu’à une évidence bien trop douloureuse pour moi.

Il pleut…Pourtant le soleil est haut dans le Ciel. Je ne comprends pas…

Tu me manques tellement…Grande sœur.
Revenir en haut Aller en bas
Elisabeth Henning
Baronne
Baronne
Elisabeth Henning
Messages : 60
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 27
Localisation : Dans la cour du chateau

~Etat civil~
Race :: Vampire (Mordu)
Vos Rps en cours :
Vos Relations:
Lizbeth C. Valentyne || Writings Session Empty
MessageSujet: Re: Lizbeth C. Valentyne || Writings Session   Lizbeth C. Valentyne || Writings Session EmptyDim 26 Aoû - 5:07

C'est très joli et très émouvant.

Malgré le fait que je ne comprends pas tout dans les moindre détail, cette histoire m'a émue et j'aime ta faon d'écrire.
Si j'ai juste un petit truc a dire c'est que je trouve qu’on ne comprend pas bien cette petite histoire.

Sinon tu as un très beau style, c'est doux et posé Smile j'espère te relire bientôt! ♥️

Revenir en haut Aller en bas
http://dydreams.illustrateur.org/
Lizbeth C. Valentyne
Marquise
Marquise
Lizbeth C. Valentyne
Messages : 143
Date d'inscription : 25/10/2011

~Etat civil~
Race :: Vampire ~ Infant
Vos Rps en cours :
Vos Relations:
Lizbeth C. Valentyne || Writings Session Empty
MessageSujet: Re: Lizbeth C. Valentyne || Writings Session   Lizbeth C. Valentyne || Writings Session EmptyVen 19 Oct - 21:32

Merci beaucoup Elisabeth ^^
Pour ce qui est de ne pas bien comprendre l'histoire, je pense que c'est normal. J'ai préféré rester évasive, je ne sais pas trop comment expliquer pourquoi mais cela me paraissait nécessaire. Enfin, je me comprend xD Merci encore en tout cas ^^



Lizbeth C. Valentyne || Writings Session Memori10

Lizbeth C. Valentyne || Writings Session 10376110 Lizbeth C. Valentyne || Writings Session 10729810 Lizbeth C. Valentyne || Writings Session Jda10 Lizbeth C. Valentyne || Writings Session 10376111
Memories of that Day


Il fait chaud.
Et c’est sous cette douce chaleur, presque bienfaitrice, qu’elle se souvient. Un fin sourire vient s’afficher sur ses lèvres. Son simple souvenir la rend, à lui seul, si heureuse.

Il était si différent.

Le jour où elle l’a rencontré, elle n’avait jamais rencontré d’hommes tels que lui. Encore aujourd’hui, il demeure le seul. Elle ignorait tout, absolument tout de lui, de sa situation et de ce qu’il était réellement, à ce moment-là. Tout ce qu’elle savait, c’était que c’était bel et bien la première fois qu’un homme ne la considérait pas comme une moins que rien mais bel et bien comme son égal. Les hommes, à cette époque, avaient tendance à n’avoir une estime de leurs homologues féminins que très limités. Mais pas lui. Elle avait toujours eu du mal à y croire. A le voir autrement qu’un rêve inaccessible.

Un rêve que l’on contemple, mais que l’on ne tente jamais d’atteindre, de peur qu’il disparaisse.

Elle s’était laissé aller à ses doux sourires, à sa gentillesse et à son charme. Ses longues conversations avec lui devenaient presque ses seuls instants de joies et il devenait la cause la plus importante de ses peines. Elle s’y était refusée, longtemps, mais au final elle n’avait pu qu’admettre ses sentiments pour lui. Des sentiments grandissants sur lesquels elle mettait un point d’honneur à garder pour elle. Il y avait en lui ce petit quelque chose qui le rendait tellement…Inaccessible. Différent.

Il fait tellement chaud.
Elle sent sa tête lui tourner. Pourtant elle se rattache à ses souvenirs, elle se rattache à lui. C’est ce qui lui a permis d’accomplir tout ce qu’elle a accompli jusqu’ici.

Il était sa force.

Malgré les limites qu’elle s’était fixée et les barrières qu’elle avait tenté d’imposer entre elle et lui, un jour, tout avait simplement disparut. Petit à petit il avait su tout briser, sans qu’elle ne réussisse à s’en rendre compte avant que les choses n’aient franchis un seuil qu’elle ne voulait surtout pas franchir. Cela avait commencé d’un rien. De simples doigts qui s’effleurent. Une main qui vient prendre captive son homologue. Des bras qui viennent avec douceur enserrer une taille. Et finalement un baiser venu se déposer sur ses douces lèvres. Il avait été si délicat qu’elle ne l’avait vu venir qu’au dernier moment. Lorsqu’il était trop tard pour qu’elle se détache de lui.

Le rêve était comme devenu réalité…Mais à quel prix ?

Il lui avait tout avoué, ce soir-là. Tout ce qui le concernait et que personne n’avait jamais su. Ce que personne ne saurait jamais, à part elle. La seule, l’unique, à ses yeux comme dans son cœur. C’est pourquoi il n’avait rien voulu lui cacher. Rien. Pas même le côté sombre de ce conte de fée. Il lui avait parlé d’Arthur, son semblable de Grande-Bretagne, comme de la situation actuelle. Quelle horrible erreur il avait faite là. Des centaines d’années plus tard, il lui avait encore de verser une larme en resongeant à ces horribles instants.

C’est douloureux.
Le feu s’agrandi, et s’approche, doucement, comme le sournois prédateur qu’il est. Lentement, il commence à venir lécher ses pieds et ses jambes. Et la douleur s’invite. Pourtant, elle s’efforce de sourire.

Elle l’aime.

C’est pourquoi elle ne regrette rien. Rien, du jour où elle lui a fièrement annoncé qu’elle l’aiderait. Qu’elle lui prouverait que s’il ne laissait pas abattre, il pourrait bien avoir le monde entier à ses pieds. Qu’elle le lui prouverait elle-même. Pas une seconde elle n’avait regretté de ne pas l’écouter, de ne pas être resté à ses côtés, car elle avait réussi. Elle avait fait tout ce qu’elle pouvait pour lui, et elle avait réussi. Elle avait mené la France contre les anglais et en était sortie victorieuse, toujours. Jusqu’à ce qu’elle se fasse bêtement capturé. Mais même cela, elle ne le regrettait pas.

Pour le bien de l’être aimé, on est capable de renoncer à sa propre vie.

Tout avait été mené pour lui, du début à la fin. Pour ses sourires, pour ses joies. Pour sa liberté. Elle s’était battue fièrement, elle avait triomphé. Elle avait fait ce qu’elle avait pu. Elle pouvait partir sereine à présent. Elle le sait capable d’accomplir de grandes choses. Persuadée qu’il n’aurait plus besoin d’elle, elle avait simplement accepté la fatalité sans se débattre davantage. A quoi bon ? Tout était terminé à présent.

Tellement douloureux.
Sa progression s’effectue à une vitesse folle. La douleur est présente, de plus en plus. Dès l’instant où elle n’en peut plus, elle se laisse aller aux hurlements.

Elle l’aime.


Des larmes coulent sur ses joues, mais elles ne sont pas dues à la souffrance que l’élément rouge lui inflige. Elle-même n’aurait su expliquer leur présence. Ses sentiments mêmes ne sont pas en accords. Elle est si heureuse de l’avoir rencontré, de l’avoir connu, aimé et aidé. Elle est si fière de la courte vie qu’elle a menée. Mais d’un autre coté la tristesse de ne pouvoir revivre ces doux moments la tiraille de tous côtés.

Joie et tristesse se mélangent dans une ultime rencontre.

Puis, plus rien. Un silence macabre s’impose. Et alors que, loin du lieu sordide de l’exécution, Francis ne se doute encore de rien, tout est déjà écrit, comme dans le marbre.

Tout est terminé.
Revenir en haut Aller en bas
Charles de France
~Sa Majesté le Roi Charles~
~Sa Majesté le Roi Charles~
Charles de France
Messages : 422
Date d'inscription : 25/10/2011

~Etat civil~
Race :: Humain
Vos Rps en cours :
Vos Relations:
Lizbeth C. Valentyne || Writings Session Empty
MessageSujet: Re: Lizbeth C. Valentyne || Writings Session   Lizbeth C. Valentyne || Writings Session EmptyDim 21 Oct - 11:08

... Tu sais déjà ce que j'en pense, pour avoir manqué de t'étrangler sur msn/shype hein?èwé
Pour moi rien a redire, l'ensemble est bien travaillé, on ressent les sentiments des personnages, on se sent a leurs places, on a envie de changer leurs histoires. C'est un sans faute que j'acclame haut et fort pour ma part ♪♥
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Lizbeth C. Valentyne || Writings Session Empty
MessageSujet: Re: Lizbeth C. Valentyne || Writings Session   Lizbeth C. Valentyne || Writings Session Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Lizbeth C. Valentyne || Writings Session

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Lizbeth C. Valentyne || Absences
» Lizbeth C. Valentyne || White Rose
» Viens à moi, que je t'observe. [PV : Lizbeth Catherine Valentyne]
» L'écho d'un reflet résonant de différences. {Lizbeth C. Valentyne.
» Quelques tribulations sur un clavier { Maiden's Session

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
My Lady...My Lord. :: Divertissements :: ~Coin Ecriture~ :: ~Vos écrits~-